Les plus mauvais films français selon Gael_Violet

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Film bavard et creux, qui arrive à allier les pires clichés du film intimiste et du lyrisme. Je ne mets qu'un Breillat pour ne pas encombrer la liste, mais il vaut pour tout ce que j'ai pu voir de la dame. Le plus étonnant c'est que les quelques fois où je l'ai entendue en interviews elle m'a plutôt semblé intelligente - ce qui tendrait à prouver que l'intelligence n'est pas une qualité suffisante pour faire des bons films.

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Là encore, je n'en mets qu'un mais ça vaut pour tout Besson. Cette créature navrante et sans talent embarrasse le cinéma français de sa bêtise de brute depuis bien trop longtemps maintenant.

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Là encore, j'aurai pu... Pecas ne vaut que pour l'absurdité de ses titres. Le cynisme décomplexé de ses bouses me rend complètement horripilante l'habituelle comparaison avec Ed Wood, qui n'avait certes pas plus de talent, mais dont toutes les bobines transpirent l'amour du cinéma.

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Du néant en brochettes. Rien à ajouter.

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Ah! le bon vieux temps. Y'a pas, Poujade ferait encore de beaux scores aux élections, si je me fie au succès du machin.

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Dumont est un cinéaste puant, qui méprise ses personnages et son public, une espèce de Haneke français en quelque sorte. Comme Haneke, il lui arrive tout de même de réaliser des bons films - si on met de côté ce mépris. Ce film-ci, en plus d'avoir la puanteur habituelle, est chiant, plat et creux.

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Une production Besson. C'est vrai que c'est trop marrant des voitures qui vont vite. J'en ris encore.

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Maudit soit l'ami qui m'a joué le sale tour de me convaincre que ce film avait en fait été injustement critiqué. Je pense qu'il cherchait surtout à se venger sur ses potes d'avoir supporté cette daube.

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Le poujadisme avant Poujade. Je hais ce film pour sa morale, et pour la fin qui en fait étalage avec fierté.

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Comment transformer un chatoyant film anarchiste en le privant de substance. Va chier, Jugnot, ça sera toujours plus productif que de faire des films.