Les meilleurs films de 2019 selon Albator_Larson

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On a encore une fois une démonstration du postmodernisme dans la veine d'Inglorious Basterds où l'on réécrit l'histoire avec l'utilisation de la puissance du cinéma pour venir à bout des pires atrocités, donc ceux qui n'ont pas aimé cette première réécriture de l'histoire, n'accrocheront toujours pas à ce nouveau film de Tarantino !

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Un drame particulièrement puissant sur la déconstruction de la famille (que voulez vous dans une société ultra-libérale, on pense d'abord au potentiel de deux foyers séparés qui consommeront donc deux fois plus, en ne comptant pas l'argent que dépenserons les parents pour s'attirer les foules de leurs enfants s'ils en ont, que de manière compatissante), la juridiction américaine et notre société actuelle où des personnes qui étaient hier prêt à tout pour l'un, l'autre se détestent finalement ... et c'est là l'une des plus grandes forces du film, car il présente ses personnages et ce qu'ils aiment chez l'autre pour que la rupture soit dur non seulement pour eux, mais pour nous également !

Marriage Story fera ensuite tout en sorte pour développer son sujet tout en ne quittant jamais ses personnages !

Et que serait ses personnages sans leurs interprètes de génie : Scarlett Johnasson qui signe selon moi, son meilleur rôle depuis Lost In Translation ! Adam Driver m'a laissé bouche bée dans deux séquences que je vais vous laissez découvrir, mais vous saurez surement après le visionnage, quels sont ses scènes ;)

On retrouve également Laura Dern et Ray Liotta en avocats véreux, et leurs personnages sont détestables au possible, mais j'avoue que je donne la palme à Laura Dern qui me répulsait au plus haut point !




*spoiler*



Sinon niveau réal, il y a un découpage, comme lors de la séquence du tribunal où on a des plans ressérés sur l'ensemble des personnages durant la chamaillerie entre avocats puis le cadre s'ouvre finalement pour laisser apparaître les gens qui attendent pour pointer du doigt le nombrilisme des différentes parties ...

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Venom version C'est arrivé près de chez Vous !

La performance de Jean Dujardin, la dualité entre Georges et le Daim, le côté totalement absurde des prémices et des blagues qui fonctionnent du feu de dieu et la réal maîtrisé souvent en discontinuité avec les codes attendus du genre dans lequel le film va pour justement crée de l'humour et renforcer la marginalité des événements et du personnage, font en sorte d'élever ce Daim comme l'un si ce n'est le film français de l'année !

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L'un des meilleurs OAV DB pour l'instant !

Les combats déchirent, l'animation envoie, mais j'aurais préféré avoir une dramaturgie plus soutenue tournant autour de Broly, le super saiyen de la légende, la raison pour laquelle Freezer a tué tous les saiyens, ainsi qu'une meilleure exploitation de certaines scènes clés !

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Ce film n'apporte pas forcément énormément de chose à Breaking Bad, mais après le film, j'en voulais encore !

Vince Gilligan nous donne une telle came que l'on ne peut pas détester El Camino qui arrive à restituer le rythme lent et réaliste de Breaking Bad dans un film de seulement deux heures !

En bref, si vous êtes fan, vous devez voir El Camino !

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Un film sur l'envers des tournages du cinéma avec des personnages qui ont leurs drames, leurs espoirs et leurs intérêts, qui se lient le temps d'un film, qui prend les 30 premières minutes du film et qui est nanardesque et assez chiant, mais qui laisse ensuite une aventure humaine qui passe comme un petit beurre grâce à la maîtrise de différents humours.

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Revu et qu'est-ce que c'était bon ! Après Brie Larson, Nicky relève la barre et même si j'ai beaucoup remis en question la légitimité de Philippe Lacheau à faire ce film, on voit qu'il a grandi avec le Club Dorothée et que ce n'est pas qu'un yes man qui fait ce que ces producteurs lui disent et je ne peux que l'encourager !

Après c'est vrai que le film a des défauts, Mammouth est en retrait, les personnages de Tarik Boudali et Julien Arruti (Pancho et Skippy, une petite réf. aux Inconnus) ne sont pas d'une grande importance et ralentissent le récit, mais ils ont quand même leurs moments.

Sinon, Didier Bourdon qui c'était pas mal moqué de Bernard Minet à l'époque du Club, fait sourire dès qu'il est dans une scène, l'alchimie Nicky / Laura est identique au manga, cette adaptation n'a pas le côté film noir du manga, mais les personnages principaux sont totalement fidèles en particulier Laura et les cameos feront sourire tous ceux qui ont déjà vu le Club Dorothée !

Enfin, étant donné la fidélité et tout le respect de l'équipe pour le matériau de base, ne pas aimer ce film, serait comme ne pas aimer City Hunter et renier une grande partie de mon enfance même si j'ai toujours une préférence pour l'adaptation Hongkongaise : Mr. Mumble (https://www.senscritique.com/film/Mr_Mumble/425614)

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Un film assez sympa même si la dramaturgie est assez faible à cause de grosses facilités et d'une volonté de ne blesser personne, mais l'humour est efficace, la réal a quelques bonnes idées (c'est pas fou, mais le plan en miroir des fêtes du personnel pour montrer le parallèle et quelques autres idées de découpage servent le fond), il y a des thématiques abordées (le côté laissé pour compte des cités, le communautarisme, la difficulté de s'élever dans l'échelle sociale ou encore les choix de vie) et les acteurs sont bons en particulier Alban Ivanov, Moussa Mansaly et Redouane Bougheraba.

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Chris Hemsworth / 20, j'avais bien aimé Infinity War (même s'il y avait des problèmes dans le découpage) sans vraiment attendre quoi que ce soit de ce Endgame et finalement, ce n'est pas incroyable (il y a encore des problèmes de lisibilité et de découpage, mais les effets spéciaux envoient, à tel point, qu'il faudrait créditer le directeur des effets spéciaux avant les réal qui ont plus un rôle de technicien que d'artiste !) même s'il y a des moments forts (apportés en grande partie par Thor Lebowski aussi drôle que touchant ainsi que Thanos, une des plus grandes réussites du MCU ! ) !

Mais le plus gros point faible du film, est sûrement la fin (et la musique …), le twist final passe encore, mais le combat (en particulier un moment totalement ridicule) m'a laissé sur ma faim …

Après, ça reste un bon petit divertissement, avec un ton se rapprochant plus du premier Iron Man (qui m'a fait revoir la trilogie) que de Captain Marvel !

Pour conclure, Marvel à réussit son pari, il fallait le tenter et il l'a réussit !

Star Wars s'est planté, DC s'est planté et Marvel a comprit les comics et a fait de son mieux pour proposer quelque chose à son public, respect !

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Un divertissement agréable.

Mention spéciale à Ryan Reynolds qui m'a bien fait rire !

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Un film de noel sympa, mais sinon il n'y a rien de plus, le film manque d'ambition, ainsi que d'une meilleure écriture et réalisation pour faire plus.

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Un remake inutile et filmé avec les pieds ... sérieusement, le découpage est si mauvais que si le film a été storyboardé, le réal était soit en roue libre, soit incompétent … malgré tout, Bryan Cranston, Kevin Hart et Nicole Kidman ont une alchimie si puissante que cela permet pour moi, de préférer ce remake à la version française !

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A part les passages avec François Civil aidé par un convaincant François Berléand (comme quoi ce film est le film des François), le film a beaucoup de mal à tenir plus de 5 minutes avec son concept de montrer à quel point malgré le fait que l'ont soit dans une ville remplie de gens, on peut être au final, incroyablement seul (en sachant qu'Orelsan le fait mieux que ce film : https://youtu.be/cz-PLtXh7Lo) ...

Alors Deux Moi compte sur ses personnages dont on explore les traumatismes, mais le personnage d'Ana Girardot manque cruellement de personnalité et le film n'arrive pas à travailler assez bien son problème pour le rendre intéressant, selon moi.

Sinon, la réal joue toujours sur la même note (mais au moins il y a un découpage contrairement à de très nombreux films français), les acteurs sont bons (en tête de liste François Civil dont on m'avait dit beaucoup de bien), même si la B.O n'est pas mémorable.

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Ne va ni aussi loin dans sa réflexion que Solaris de Tarkovski, n'a pas une réal aussi à couper le souffle que 2001 et ne propose pas un drame humain aussi prenant qu'Interstellar, ce Ad Astra n'a pour lui que quelques panoramas et un Brad Pitt toujours aussi convaincant.

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Je n'ai jamais réussi à avoir la moindre empathie pour Adonis Creed qui se fait voler la vedette par les Drago qui ont une relation père et fils très touchante avec une résolution que j'ai trouvé belle au profit d'un Rocky qui à l'air de vouloir devenir Mickey …

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L'idée de départ est cool, étant en plus un grand amateur des Beatles (en particulier Revolver), j'étais enthousiaste, mais le film se limite à son concept du fantasme de remplacer son idole qui n'est pas aidé par une réal en dessous de ce que l'on pourrait appeler académique, malgré des personnages pas trop mal écrits et des moments de grâce ...

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Le film le moins Burtonnien de tous, pour peu que l'on enlève le nom de Burton de l'affiche, on ne remarque même pas qu'il s'agit d'un de ses films !

Les scènes sont aseptisées en particulier celles des éléphants roses …

Et le côté auto-dérisoire du film en devient cynique quand on sait ce qu'a fait Walt Disney …

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Film vu et revu avec un petit délire égocentrique de Will Smith qui si on change le métier du protagoniste de tueur à acteur, prend un nouveau sens …

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Un prometheus like qui se pète la tronche en milieu de film pour s'enfoncer toujours plus bas dans la connerie en voulant se diriger vers du Carpenter ... pourtant, avec les prémices, il y avait de quoi faire surtout quand on voit ce que Shutter Island, l'Echelle de Jacob ou les jeux Silent Hill ont réussi à faire, mais à la place, on a des thèmes jetés à la tronche avec la subtilité d'un éléphant dans un magasin de porcelaine sans aucune substance ...

Après, la réal est pas trop mal, pareil pour les acteurs même si leurs personnnages sont soient totalement incohérents ou manquant cruellement de characterisation pour en avoir quelque chose à faire ...

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Le film tente d'être aussi fataliste et imposant que Infinity War, mais vu qu'Hellboy n'en a rien à faire et subit le film, alors qu'il se passe quelque chose qui pourrait détruire le monde, on se fiche d'Hellboy et on s'ennuit, car le film risque de nous sortir un deus ex machina pour tout résoudre ...

Après il y a le problème des personnages, même le personnage d'Hellboy n'est pas présenté et vu que c'est un reboot, le film ne peut pas se permettre de prendre pour acquis les bases des films de Del Toro, du coup à la fin du film, les seules choses que je sais d'Hellboy est qu'il est bagarreur, qu'il subi le film et qu'il tient à Ruiz, un catcheur métamorphe, sinon rien ...

Et voilà le plus gros défaut du film, et qui était la force du film de Del Toro : ses personnages !

(après les combats sont plaisants à suivre et ne se censurent pas)

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J'en ait entendu beaucoup de bien, mais bon sang, c'était pas terrible !

Certes, Ari Aster réalise mieux et différemment que beaucoup de gars dans le cinéma actuel (même s'il pompe beaucoup chez Kubrick jusqu'à ne même pas avoir son propre style, en plus d'être du sous Kubrick). Au début, on a même l'impression d'avoir des cartes postales postales de la Suède avant d'avoir quelques clichés visuels du film d'horreur pour briser cet aspect tourisme : le coup de la courte focale sur un grand plan !

Un cliché de réalisation utilisé par des cinéastes bien plus talentueux et expérimentaux pour d'autres choses : comme Alfonso Cuaron dans les Fils de l'Homme pour exprimer le Chaos tout en ayant en objectif qui lui permettrait d'instaurer une présence qui explique l'utilisation de plans-séquences. Ou encore dans les Anges Déchus de Wong Kar-Wai pour pointer du doigt la marginalité des personnages, qui servira ensuite de pilier pour le style de Jean-Pierre Jeunet qui l'utilisera dans Alien 4, depuis cela est devenu un cliché de réalisation ...

Bref, les pires éléments du film sont sans aucun doute l'intrigue et les personnages.

En oubliant même le fait que le personnage de Dani est juste construit autour de : ma vie est un drame, je suis triste, caractérielle et totalement stupide. Son copain Christian (subtilité !!!) n'est charactérisé uniquement par sa relation avec Dani, qu'il est étudiant en anthropologie et le fait qu'il tient à ses potes ... un peu près pareil pour Josh, sauf qu'il n'est pas avec Dani. Pelle ... et bien ... un outil scénaristique on va dire ... tandis que Mark n'est bon qu'à se faire tuer et dire que les mecs peuvent être cruels (sans blague ! Les filles aussi, mais bon, quand on a pas de couill**) ...
Ils n'ont pas de buts, pas vraiment de conflits intérieurs à part Dani, mais elle n'évolue pas et est absolument insupportable et on attends que la mort de ses parents par sa soeur soit relier à la secte, mais non, ça serait intelligent, le film doit rester con !

Pour passer à l'intrigue, c'est simple, imaginez que vous êtes entre potes et qu'un de vos potes ramènent sa copine SJW, qui passe son temps à se plaindre, ruinant totalement la soirée. Voilà l'intrigue, saupoudrez ceci avec un soupçon de secte, de stupidité et de tourisme suédois et c'est bon !

En effet, j'irais même jusqu'à dire que les personnages sont plus que stupides, on est au niveau de la parodie ! Je m'attendais à ce que quelqu'un débarque pour dire que c'était un canu

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C'est vraiment rare que j'ai autant envie de dormir devant un blockbuster comme celui-ci voire devant un film en général (pour exposer mon casier, j'ai vu Andrei Roublev qui fait 3h04 et Il était une Fois en Amérique qui fait quant à lui 3h50 comme des petits beurre !) ... tout cela grâce à un des protagonistes les plus ennuyants que j'ai jamais vu (bon sang, même Yukiteru Amano de Mirai Nikki est moins ennuyant qu'elle, c'est dire !), c'est simple au bout de 16 minutes de film, elle n'a déjà plus de conflit extérieur (en sachant que ce même conflit extérieur se limite à : oui j'ai vu un alien un jour et des men in black n'ont pas vu que j'avais vu l'alien, alors je veux devenir men in black ! C'est nul !) !

Alors, étant donné qu'elle n'a pas non plus de conflit intérieur (ou du moins, les scénaristes ont essayé d'en bricoler un au moment où elle arrive au bureau des men in black, en prétextant que les gens disaient qu'elle est cinglée, alors que durant l'introduction, son collègue lui apporte son soutien et le FBI souhaite la recruter, car elle est parfaite dans tout les domaines et se fait recruter parmi les men in black en moins de temps que Will Smith dans le premier film pour ensuite se faire considérer quasiment comme la nouvelle apparition du christ ... syndrome Rey de Star Wars ...), à quoi bon suivre cette protagoniste ? Ah t'inquiètes Michel, on va faire en sorte qu'elle tombe sur un objet qui va lui permettre de pouvoir être indispensable à l'intrigue !

Wouhou ! Merci Jean-Michel scénariste de merde !

C'est sûr qu'écrire un personnage comme celui de J qui est loin d'être parfait, mais qui sort du lot par son intuition, son charisme et qui évoluera par sa collaboration avec K qui lui aussi changera au contact de J pour être plus détendu, c'est dur !

Sinon pour revenir à MIB Internationnal, heureusement que Chris Hemsworth comme dans le S.O.S Fantômes féministes, sauve la barre par son charisme et ses vannes !

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Par où commencer pour dire à quel point ce film est nul ... alors : Nick Fury perd son oeil en se faisant griffer par un chat. Fury a appelé les Avengers d'après l'avion de Captain Marvel, qui se permet de détruire un poster de True Lies avec Schwarzi, alors qu'au moins True Lies est un bon film, le jeu d'acteur de Brie Larson est horrible et sa diction la rend antipathique au possible (au contraire de Schwarzi dans True Lies !). La construction du récit est tout aussi horrible, remplie de flashback digne de Naruto détruisant le rythme, car les scénaristes ne savent pas faire de l'exposition, tout en étant incohérent par rapport au MCU à cause du personnage Captain Marvel beaucoup trop cheaté par le pouvoir du féminisme et de la bien-pensance (qui aurait pu venir plus tôt et démonter toutes les menaces les unes après les autres facilement si Nick Fury n'aurait pas voulu faire souffrir les Avengers) détruisant également tout enjeu, d'ailleurs son parcours est totalement inintéressant, car elle n'évolue jamais (elle se comporte comme une énorme connasse la plupart du temps, du moins avec les hommes, mais personne ne lui dit ...), mêmes les " drames " qu'elle rencontrent n'ont aucun impact sur son personnage, sans parler de sa conclusion des plus décevantes ...

En bref, même si Marvel fait passer la pilule en parlant des fameux problèmes de représentation féminin que Captain Marvel ferait en sorte de relever, la condition humaine en elle-même ne suffirait-elle pas à nous prendre aux tripes ?

Je n'ai pas besoin d'être représenté dans un film pour l'aimer (et tant mieux, car sinon tous les films ressembleraient à Whiplash), j'adore Terminator 2 et pourtant je ne suis ni une mère dont personne ne croit et qui doit protéger son fils du jugement dernier et d'une mort prochaine (en étant le personnage que Captain Marvel aurait voulu être), ni un adolescent sans père, délinquant sur les bords, ni une machine à tuer !

Tout ces problèmes identitaires ne sont que du marketing et de la politique à deux balles, promulguant de manière vicieuse la haine pour faire de l'argent, il n'y a rien de plus pathétique, bien joué Marvel, depuis que vous êtes chez Disney, vous n'avez plus aucune honte !