Les meilleurs films de 1999 selon Aeladir

Annotation :

Paul Edgecombe travaille au bloc E, le couloir de la mort. Un colosse noir arrive : John Coffey.

Frank Darabont aime décidément adapter les écrits de Stephen King. Ce récit magistral dans le couloir de la mort, cette relation qui se tisse entre un prisonnier et ses gardiens et les seconds rôles incroyables (Sam Rockwell en particulier) créent une atmosphère très particulière, à la fois tendue et douce.

Annotation :

D'après la règle n°1, il m'est interdit de parler de ce film. D'après la règle n°2, pareil.

Annotation :

La vie d'une famille américaine part en lambeaux quand le père tombe amoureux de l'amie de sa fille.

Sam Mendes frappe fort pour son premier film. La satire sociale voit ces personnages se déliter au fur et à mesure, à un rythme crescendo. La photographie, très particulière, permet d'immortaliser certaines scènes (les roses, le sac en plastique)...

Annotation :

Un épisode souvent décrié par les fans de la trilogie originale, criant à la trahison de l'esprit d'une saga culte.
J'apprécie beaucoup cet épisode, qui arrive à mêler scènes sous-marines, combat en forêt, combats spatiaux, course de modules et un affrontement épique au sabre-laser en bouquet final.
Un superbe film d'aventures, dynamique et plutôt convaincant.
Deux gros bémols néanmoins : Jar-Jar Binks qui en fait des tonnes et les dialogues souvent faibles.

Annotation :

Scénario bien foutu et Haley Joel Osment est excellent !

Annotation :

Des combats époustouflants et un concept novateur. Dommage que les dialogues ne soient souvent pas à la hauteur.

Annotation :

Comédie romantique à voir pour son casting et ses péripéties surprenantes.

Annotation :

Après un excellent début plantant le décor, le scénario devient confus. La recherche du meurtrier passe au second plan pour faire la part belle au cavalier. Mais c'est avant tout le mélange des genres entre comédie et horreur qui m'a le plus dérangé. J'ai vraiment eu l'impression que l'ami Tim avait du mal à faire son choix.

Annotation :

Isao Takahata nous fait découvrir le quotidien des Yamada, famille japonaise assez ordinaire. Le film n'exploite pas un fil conducteur mais tient davantage de la collection de sketches sans lien entre eux. Certaines réflexions quasi-philosophiques ouvrent des perspectives rafraichissantes et permettent de s'amuser des travers des familles.

Annotation :

Un bon premier film dans lequel Nolan montre qu'il aime dérouter et jouer avec le spectateur. Dommage qu'il y ait souvent des longueurs (malgré la courte durée du film).

Annotation :

Cette comédie romantique arrive à se démarquer des autres grâce à un pitch accrocheur : une star de cinéma tombe amoureuse d'un parfait inconnu.
C'est la différence entre leurs univers qui créé un décalage et permet de nombreuses situations cocasses (les fausses interviews entre autres).
Aidés par des seconds rôles touchants et un humour omniprésent, le duo Grant/Roberts fonctionne à la perfection.

Annotation :

Comment un film peut-il être à la fois aussi kitsch et épique ? Un grand mystère du cinéma...

Annotation :

Inspirée en grande partie des albums "Le devin" et "Astérix chez les Goths", la première moitié du film est de bonne facture, nous livrant son lot de gags franchouillards et pas toujours très frais (Comment ça, il est pas frais, mon poisson ?). J'en profite pour saluer la performance de Daniel Prévost, parfait dans son rôle de devin/arnaqueur. Puis vint le drame : Claude Zidi a voulu inventer un scénario original. Et voilà les deux héros obligés de répondre à des énigmes de niveau CM2 posées par un champignon ambulant pour sauver leur village. Triste fin pour nos gaulois préférés.

Annotation :

Un début haletant avec une sublime course poursuite sur la Tamise, puis le film perd peu à peu son rythme, en particulier à l'arrivée de Denise Richards. Son rôle de physicienne n'est pas crédible une demi seconde.

Annotation :

Un scénario trop classique, sauvé par l'interprétation inspirée de Kevin Bacon.

Annotation :

Un mystérieux monstre enlève des souris chaque nuit. Fievel en est terrifié et se rend au journal. Avec l'aide d'une reporter expérimentée, il enquête pour comprendre l'origine de ces attaques nocturnes et pouvoir enfin dormir sur ses deux oreilles.

Vu par hasard à l'occasion d'une rediffusion sur Gulli, le quatrième volet des aventures de Fievel est le premier que je vois. Plutôt rebuté par les graphismes et déçu par un scénario minimaliste, je n'ai pas particulièrement apprécié les personnages assez stéréotypés. Cependant, le propos de fond se révèle incroyablement pertinent. Cette critique acerbe du "journalisme à sensation" s'avère juste et permet d'encourager nos jeunes têtes blondes à développer leur esprit critique.

Bref, il est regrettable que l'intrigue soit si faible car le film disposait d'un réel propos de fond...

Annotation :

Bonne idée de départ, mais j'ai trouvé le reste du film complètement vide.

Annotation :

Un des nanars les plus connus. Je confirme, c'est n'importe quoi !