Les meilleurs films de 1983 selon babibel

Annotation :

Vu en 2020.

C'est par hasard, en zappant un soir que je suis tombé sur Outsiders sur ARTE. Le film m'a tout de suite interpelé de part son titre et le spitch de présentation, et je me suis donc laissé porter par les aventures de ces jeunes paumés américains et leurs rixes entre gangs.

Alors que les films de gang ont pour habitude de me plaire, j'ai perdu progressivement l'intérêt à suivre l'histoire. Le manque de réalisme des scènes de bastons et avec des acteurs qui passent complétement à coté selon moi, alors que nous avons à faire à ce qui sera des grands noms du cinéma par la suite, font de ce film de gang un mélodrame ou tour à tour chaque protagoniste y va de sa larmichette. L'œuvre que nous sert Copola a mal vieilli, c'est une certitude, mais même pour l'époque je trouve beaucoup trop de défauts dans cette critique de la jeunesse américaines des années 60. En rajoutant cette volonté de rendre les scènes trop théâtrales, comme ce dialogue entre les 2 fugitifs sous un couché de soleil orangé, retire définitivement toute crédibilité à l'ensemble de l'histoire.

Pour finir, là où les films de ce genre nous font souvent réfléchir sur les conséquences qui poussent la jeunesse vers la violence, la mise en avant de scène de pleurs et de réflexions quelque peu niaises des protagonistes, font que le film rate totalement sa critique sociale.

07/10/2020.Vu en 2020.

C'est par hasard, en zappant un soir que je suis tombé sur Outsiders sur ARTE. Le film m'a tout de suite interpelé de part son titre et le spitch de présentation, et je me suis donc laissé porter par les aventures de ces jeunes paumés américains et leurs rixes entre gangs.

Alors que les films de gang ont pour habitude de me plaire, j'ai perdu progressivement l'intérêt à suivre l'histoire. Le manque de réalisme des scènes de bastons et avec des acteurs qui passent complétement à coté selon moi, alors que nous avons à faire à ce qui sera des grands noms du cinéma par la suite, font de ce film de gang un mélodrame ou tour à tour chaque protagoniste y va de sa larmichette. L'œuvre que nous sert Copola a mal vieilli, c'est une certitude, mais même pour l'époque je trouve beaucoup trop de défauts dans cette critique de la jeunesse américaines des années 60. En rajoutant cette volonté de rendre les scènes trop théâtrales, comme ce dialogue entre les 2 fugitifs sous un couché de soleil orangé, retire définitivement toute crédibilité à l'ensemble de l'histoire.

Pour finir, là où les films de ce genre