Les meilleurs films avec Will Smith selon QuentinBombarde

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En inversant les rôles, ce deuxième volet s'avère plus fou, plus drôle et plus ambitieux. Jouant avec une mythologie encore plus vaste et fourmillant d'idées, Men in Black 2 est réjouissant de bout en bout.

En devenant central dans l'intrigue, Will Smith prouve qu'il n'est ainsi plus le jeune nouveau mais une valeur sûre et bankable du cinéma international.

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Mix réussi entre buddy-movie, SF et action, Men in Black ouvre les portes d'un univers drôle et riche autour d'un duo hilarant. Définitivement cool et rafraîchissant, Men in Black à tout pour revenir.

Premier et seul volet où Tommy Lee Jones est mis en avant par rapport à Will Smith, l'acteur y joue son rôle de jeune homme talentueux se foutant de la hiérarchie.

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Un troisième volet plus modeste, qui loin des conflits inter-espèces s'attaque au passé trouble de l'agent K. Plus humain et moins délirant ce Men in Black 3 demeure le plus faible épisode de la trilogie mais aussi le plus touchant. On ne peut pas tout avoir.

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Will Smith reprend son rôle aux côtés de Martin Lawrence ; Si son rôle est ici moins centré sur le fou de la gâchette et prend ici une tournure plus responsable, ce deuxième volet est à l'image de ce qui arrive à son collègue ; en roue libre assumée.

Bad Boys premier du nom a des allures de mise en bouche sympathique à côté de ce deuxième volet qui éclate littéralement tout sur son passage. C'est un Michael Bay remonté poussant encore plus haut tous ses curseurs ; Du mauvais goût à foison et des scènes carrément surréalistes de par leur mauvais goût ouvertement revendiqué.

Si Bad Boys était son coup d'essai, rien ne peut arrêter Bay sur Bad Boys II ; Ni les studios, ni le budget, et ça se ressent. Ce deuxième film n'a aucune limite, et c'est clairement son parti pris. Même les supérieurs de nos héros n'en auront finalement rien à carrer ; Tout explose dans tous les sens pour un but ultime ; émerveiller et imprimer les rétines jusqu'à l'overdose assumée.

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Cette adaptation d'Isaac Asimov passe la réflexion à la trappe pour se concentrer sur l'action, donnant des scènes prenantes et parfois impressionnantes. Will Smith y retrouve son personnage de flic cool, avec une Audi qui m'aura fait rêver , et des Converses aux pieds.

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Oubliez Michael Bay, Bad Boys n'est ainsi plus ce qu'il était qu'un nouveau film de Will Smith, qui s'empare du projet comme il s'était emparé de son rôle de Deadshot dans le piteux Suicide Squad. Ce troisième volet lui doit son ton inégal, sortant cependant de la moyenne basse des blockbusters grâce à un certain sens de la mise en scène, travaillée, offrant de belles scènes d'action lisibles et de jolis plans.

Bad BoyꞨ for Life résonne donc au singulier. Difficile de donner tort à Will Smith , car le film démarre fort et un quatrième volet serait déjà en préparation. L'occasion, peut-être de voir l'acteur qui à la place de s'affronter lui même, acceptera enfin de se frotter à la concurrence.

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Will Smith rencontre Michael Bay et Martin Lawrence pour l'une de ses franchises les plus prolifiques en termes de popularité et de dollars.

Michael Bay fait littéralement exploser ce qui n'aurait pu être qu'un simple buddy movie. Si le style épileptique du réalisateur semble parfois alourdir un récit qui aurait pu être plus simple et beaucoup plus lisible, c'est pour marquer Bad Boys de son empreinte.

Blagues lourdingues, explosions à foison (dont il a financé une partie) , montage et scènes clipesques, tout est ici réuni pour lancer la carrière d'un réalisateur à part dans le monde du blockbuster d'action. Bay dégouline ainsi de toutes les pores de ce premier volet marqué par son mauvais goût parfois jouissif qui permet au film cependant échapper au buddy movie lambda qu'il aurait pu être.

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Si le projet pouvait remettre Will Smith sur le devant de la scène avec une belle mise en abîme du cinéma actuel et de sa carrière, il n'en est rien qu'un projet technologique complètement vide au scénario absent.

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David Ayer retrouve Will Smith dans un thriller SF qui s'avère quelque fois cool, sombrant trop dans le risible. Si l'univers s'avère cool, que le duo Smith/Edgerton fonctionne parfaitement, Noomi Rapace, ridicule en méchante, illustre parfaitement cette production Netflix oscillant entre le franchement divertissant et le ridicule vite fait torché. C'est pas un désastre, mais à ce prix on aurait pu s'attendre à mieux. Peut-être pour le deuxième volet?

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Ce remake d'Aladdin semble aussi désincarné que ses interprètes. Rattrapé par un Will Smith qui à l'air de s'amuser, le film n'a que son numéro pour sortir du pilote automatique, de la resucée sans imagination. Comme écrasé par la tâche, Guy Ritchie demeure aux abonnées absent, comme le souffle et l'imagination.