Les meilleurs albums de 2019 selon noireau299

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Chef d'oeuvre ambulant qui malgré un style peut-être trop calme pour certains, à su tomber au bon moment dans ma vie, tout en me racontant la vie d'un père qui n'a jamais réellement voulu laisser son fils partir au paradis. Un groupe qui s'est définitivement révélé à moi comme un groupe majeur de ma vie. Grandiose moment lors du live d'avant-première.

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Tuerie monumental qu'est le groupe Swans qui nous offre ici sans doute leur album le plus accessible, mais aussi le plus abouti qui, malgré des compos plus courte, ne nous ennuie jamais. Michael Gira prouve une fois de plus la grandeur du cygne et son caractère de merde avec des titres impressionnants comme "Sunfucker" ou "The hanging man".

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L'album de l'année, ni plus, ni moins (ou presque vu que ça bouge). J'en ai attendu beaucoup. Trop peut-être ? Mais non, cette album est dans la veine de ce que Tool avait déjà su nous proposer 13 ans en arrière. On y retrouve donc les interludes étranges et les derniers morceaux un peu moins bons, mais qui forme un tout qui ne peut être séparé.
Le renouveau, c'est la longueur des 7 titres principaux, leur monté en puissance, la voix de Maynard peu présente, mais toujours suffisante et l'univers plus atmosphérique que d'habitude.
Le gros plus pour moi, c'est bien évidemment la batterie qui, dans cet album, arrive à atteindre des sommets.

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Cult of Luna fait définitivement partie de ces groupes qui me foutent une claque monumentale à chaque album écouté. Ce côté post-métal bien brute et ses titres passant de la violence au calme sont gravé à vie dans ma mémoire, et je retrouve sans doute ici mon album préféré du groupe.

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Enfin un album qui deviendra culte dans ma mémoire pour cette année 2019 ! Tout y est parfait à l'intérieur. L'évolution du groupe est totale et à aucun moment, on ne s'ennuie. Entre morceau triste ou totalement fou, on a envie de danser dans cette folie que créé Cage The Elephant.

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Un album bien rock avec quelques titres bien pétant comme "Do Your Worst" ou "Feral Roots". Hors titre single, on retrouve quelques trucs sympa comme "Shooting Stars", et le reste devient assez sympa au fur et à mesure des réécoute. Le groupe réussi grandement son changement de thème musical ici plus gospel.

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Second album de l'année pour le King Gizzard avec un côté plus thrash Metal que j'attendais depuis l'écoute de l'incroyable 'Planet B". Malgré un album qui peut paraître répétitif, on ne trouve pas vraiment le temps de s'ennuyer sur 30min de disque. Puis les nombreuses références à Iron Maiden ou d'autre groupe culte de métal sont le bienvenue.

There is no Planet B, but there is a Planet V !

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A la fois une B.O. et un album déjà teasé de longue date, Thom Yorke nous présente ici un album tout en douceur électro ambiant. Nombre des morceaux de l'album démontre à quel point le leader de Radiohead est un maître en la matière.

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On retrouve enfin une trace du succès passé d'Opeth. Enfin presque. L'album n'est pas parfait, loin de là, mais possède un côté prog rock mieux géré que précédemment, des solos excellents, des passages acoustiques très bons, mais surtout, la voix d'Åkerfeldt est juste excellente. De plus, c'est la première fois que le groupe chante dans sa langue natale.
Un opus qui se range parfaitement dans la discographie du groupe.

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Moins incroyable que Kodama, ce nouvelle album de mes français métalleux préférés nous offre tout de même une petite pépite. Bien que j'ai été beaucoup moins intéressé par les titres longs de cette album, les plus courts comme les deux singles ou "Le miroir" sont incroyable, comme à leur habitude. Manque peut-être ce petit renouveau qui faisait la spécialité du précédent.

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Changement radical d'avis sur cette album quelques jours avant le concert. En effet, l'album est à réécouter plus d'une fois, tout comme ses singles, afin d'en apprécier pleinement le style 70s qui en découle. "The Devil's Master" devient mon titre préféré du groupe, et des morceaux comme "Demons in My Mind" ou "Long Forgotten Song" ne font que remonter la note.

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Album moins incroyable que prévu mais mon avis évoluera sans doute. Une chose est sûr, c'est qu'Hypno5e réussi pour moi un gros tour de force avec le titre "Tauca", mais aussi avec ce côté toujours autant cinématique propre au groupe. Le son y est toujours bon, mais un poil déjà vu.

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Un groupe sacrément surprenant qu'il me tarde de découvrir en live avec leur puissance musicale. La voix de la chanteuse est parfaitement accordé à se délire post-punk et post-rock voir noise. J'apprécie beaucoup la démarche.

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Un album de Mars Red Sky, c'est toujours sympa. Et encore une réécoute qui me sera bénéfique pour apprécier ce magma au départ informe qu'est cette album. Tout prend son sens avec ce calme de la ballade de fin, car en réalité, cet album est bien plus complexe qu'il n'y parait, notamment avec "Collector" ou "Hollow King".

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Un vrai retour en force que je m'encours de réécouter, car Rammstein me cachera toujours ses subtilités. Un groupe que j'ai toujours apprécié et qui revendique ici son aspect brutal avec un son enregistré plus directement, et toujours ces envolées lyriques que j'adore.

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Un album en réalité beaucoup trop cool, avec un niveau de variété musicale beaucoup plus intéressant de ce que j'avais pu écouter précédemment. Puis beaucoup plus de punch dans cette album totalement expérimentale dans certaines idées, surtout sur les deux longs titres de l'album.

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Un première album aussi bon, ça en serait presque illégal, de nos jours. Le groupe qui réussit à monter en popularité grâce à l’algorithme de youtube sort enfin son premier album, et c'est génial. Ce hard-rock mongol donne un côté plus qu'atypique, et la plupart des compos arrivent à amener une touche très subtile, rendant chaque titre très différents.

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Ici ce retrouve le troisième album de Sigur Ros en cette année 2019. Et je ne sais pas d'où sort cet album, ni ce que signifie sont titre, mais ce que je sais, c'est que pendant 2h30, j'étais au pays du sommeil.
Seul regret, c'est ce manque de batterie et de chant depuis l'affaire du batteur du groupe et son départ. Depuis, Sigur Ros ne sort plus que des titres ambiant, A la fois plaisant et triste. Comme leur musique.

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Le petite album live servi aux oignons, qui ne fait que confirmer que ce groupe est l'une des meilleurs découvertes de cette fin de décennie. Un album encore mieux accompagné de ces clips, et qui relatent les meilleurs titres du groupe, comme une sacrée compilation jouissif.

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Un album de Midnight Odyssey, ce n'est jamais à prendre à la légère. Ayant créé une des plus grandes odyssée musicale avec son précédent album, l'unique maître à bord de ce projet nous livre un album avec un aspect plus court, plus futuriste, mais toujours autant grandiose. Certes, il manque cette aspect "odyssée", mais l'album arrive tout de même à nous servir de pur chef d'oeuvre du Black Metal.

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Sur leur projet d'Avril, Sigur Ros nous à servit deux album. L'un plutôt bon, et celui-ci, plus qu'excellent, avec deux titres prouvant que le groupe à toujours beaucoup à nous offrir, permettant un voyage envoûtant et mélancolique. Toujours un de mes groupes préférés.

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Du très très bon en perspective. Contrairement au dernier titre du groupe Mayhem, Gaahls, ancien vocaliste de Gorgoroth me prouve ici que je peux apprécier du Black Métal s'il n'est pas rébarbatif. Ici, on sent une approche plus expérimentale du Black, et j'apprécie plus ce style.

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Un peu décevant par rapport à ce que j'attendais, mais "Anna-Leigh" est vraiment incroyable, ainsi que les autres singles. Puis quelques autres morceaux sortent du lots, mais c'est pas grand chose. Ça reste bon dans l'ensemble.

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Un album musicalement surprenant et bien plus entraînant que le dernier Lomepal. Roméo Elvis m'a enfin conquis pour de bon grâce à cette variété de morceaux autant calme que violent. Je valide.

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Du Post-Rock que le groupe japonais avait teasé en concert bien à l'avance. Et en studio, c'est explosif. Une claque ambiante avec "After You Comes the Flood", "Sorrow" et bien évidemment, l'incroyable "Nowhere Now Here" d'une puissance incommensurable.

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Je suis désormais sur d'être un fan de ghost après avoir écouté ce single de seulement deux morceaux, et de l'avoir carrément kiffé. Certes, le second titre est oubliable à mon goût, mais que ce soit "Kiss The Go-Goat", ou simplement le délire d'un ancien groupe du Papa Nihil, donnant ce style très sixties aux titres, j'adhère.
Prochaine étape, Papa Emeritus IV.

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En sois, un album qui claque. Certes des recompositions, mais avec cet ajout orchestrale qui s'avère ne pas être des moindres. Au final, une sacré claque, entre Talk Talk et Genesis. Un groupe qui se réinvente sans recomposer.

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Un album de post-rock assez inégale par moment, mais qui détient son lot de morceaux poignants comme "Out of Sigh". Oiseaux-Tempête arrive à garder tête à sa renommé et ce dernière album, surtout en live, continue à prouver qu'ils détiennent une originalité sans pareille.

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Étonnamment plus que très bon. Un album qui, entre les passages classique de nu metal bas de gamme (sorry, j'aime pas ça) et ceux plus industriel, frolant le Nine Inch Nails, l'album s'offre un véritable set varié. Puis "Unsainted", c'est toujours autant un plaisir. Faut rajouter "Spiders" à la liste maintenant.

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Sincèrement, oui. C'est le premier bon album du groupe depuis sa reformations. Certes, tout n'est pas à retenir, mais on y trouve quand même son compte. Avec les deux premiers singles, le surprenant "Silver Bullet", voir encore l'inattendue "Daniel Boone", l'album regorge de pépites.