Critiques de Un tueur sur la route

Pipock
8

Critique de par Pipock

Un livre particulier dans l'oeuvre de James Ellroy. Pas de complot, pas d'enquête (enfin c'est secondaire), pas de destins croisés, peu de personnages historiques.... La trame nous conte à la...

le 7 nov. 2013

4 j'aime

1

Eve
9

a couper le souffle !

En prenant comme personnage principal et narrateur un tueur en série, James Ellroy nous transforme en lecteur coupable. Coupable d'aimer cet anti-héro, servit par une écriture toujours aussi...

Par

le 24 févr. 2010

4 j'aime

PaulStaes
8

"Le mal existe" ou l'exaltation du calvinisme ellroyen.

La différence fondamentale entre un écrivain moyen et un auteur majeur réside en la faculté dudit artiste à créer autour de ses œuvres un véritable cosmos, avec ses lois, ses valeurs, ses principes...

le 21 juil. 2018

3 j'aime

djanet
6

Critique de par djanet

Un livre très loin d'être mauvais, mais qui, si au début m'avais fait frissonner, m'a plutôt ennuyée sur la fin. Il y a malgré tout de bonnes choses dans ce livre, de la matière et de la profondeur...

le 20 juin 2016

1 j'aime

Cherlin
5

Critique de par Cherlin

Tout simplement pas rentré dans la peau du tueur, ce qui forcément, ben m'a certainement fait passer à côté du bouquin. Son amant j'aurais pu, le flic j'aurais pu, mais lui, un mélange de trop froid...

le 24 mars 2015

1 j'aime

Shonagon
5

Encéphalogramme plat.

Pour tout dire je ne l'ai pas vraiment achevé. Après m'être ennuyé avec "Au-delà du mal" de Stevens, je voulais comparer avec le livre d'Ellroy. Et bien, c'est un peu la même. Le récit à la première...

le 10 avr. 2012

1 j'aime

LolaDivaG
10

Critique de par LolaDivaG

Sans doute un des plus grands chefs d'oeuvre en la matière, qui est même étudié à l'école de police, tellement les tréfonds de l'âme humaine y sont mis à nus et disséqués.

le 10 janv. 2012

Raskolnikov
8

"Le mal existe" et persiste

"Un tueur sur la route" témoigne d'une Amérique du Nord profondément déstabilisée par une criminalité sans limite et une justice bancale presque inefficace. Ellroy défie la subjectivité du narrateur...

le 20 août 2011