Cette poésie de la misère, cette violence des corps et des âmes, ce bourdonnement lyrique dans le chaos du monde. Et au milieu de tout ça émerge une lumière : Mioup.
vincentbornert
Il vaut mieux lire les autres pour les non connaisseurs.
Le livre est sympa, mais on sent que ce n'est pas un texte fignolé comme les autres.
kibab
Le chapitre 4 dans lequel Ferdinand se découvre une vocation pour la médecine est à mon sens un des meilleurs de l’œuvre célinienne.
NoctisSolid