Top 262 King Gizzard (j'ai peur de rien)

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Qui a dit qu’il fallait faire des trucs très compliqués pour être le meilleur ? Slow Jam II remplit le rôle à merveille, entre sa partie chantée contenant une suite d’accords puissante et émouvante, espacée de solos de jam entraînants.

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Sorte de dreampop/Shoegaze dirigée par les synthé, ce morceau est d’une telle beauté ! À voir aussi la version live qui nous offre en prime un excellent solo de guitare (mais je préfère nettement le chant de la version studio)

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Le crossover ultime de Nonagon Infinity. Faisant suite à la "pause" Mr. Beat, il contient le riff le plus puissant de l'album, et profite pour ramener les gimmicks d'à peu près tous les autres morceaux.

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La plus grosse surprise de Fishing for Fishies. Alors que l'album se présente comme un délire boogie/blues entre copains, Real's Not Real débarque avec une lourdeur inattendue, en opposition franche avec des couplets à la Beatles

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Dirigé par le séquenceur (un Moog je crois ?), King Gizzard décide de décliner la boucle pour en faire un morceau soft rock des plus charmants. Sans aucun doute le titre majeur de Butterfly 3000

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Énorme surprise venant d'un album sur lequel je n'avais aucune attente. Si les microtonales se font discrète, le morceau est maîtrisé par une structure qui semble ne jamais se fatiguer, et gagner en énergie à chaque nouveau couplet.

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Un des morceaux les plus doux du groupe. Gracieux par son joli thème à la clarinette, Sense est une ballade folk avec un commentaire doux-amer sur un monde perdant tout son sens.

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Toujours le morceau le plus joué en live , même s'il se fait de plus en plus rare depuis 2019 (maj : plus mtn c'est Gamma Knife) ... mais il y a bien une raison à sa popularité ! Robot Stop ouvre la spirale infatigable qu'est Nonagon Infinity sans faire de chichi : passé l'intro de 8 secondes, la patate est immédiatement balancée et présente les différents thèmes que l'on rencontrera dans l'album. Et déjà un foreshadowing du microtonal pendant un petit solo !

Je ne résiste pas à vous mettre un lien vers ce super clip : https://www.youtube.com/watch?v=9p_Si21ig7c

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Partie centrale du triptyque Inner Cell/Loyalty/Horology, le morceau est la synthèse parfaite pour présenter l'album Polygondwanaland. Grande part faite aux synthés, ainsi qu’aux basses organiques, et une construction riche pour quatre petites minutes qui passent à toute vitesse. On en regretterait presque que ce soit si court !

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Le morceau est ultra récent, alors ça risque de bouger encore un peu. Mais c'est une réussite fantastique, 10min de metal brutal dont les différentes parties s'enchaînent sans problème (ce qui contraste avec le reste de l'album)

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Jam psyché-jazz à l’ancienne, ou les 10 minutes passent à toute vitesse. La grande idée de génie de ce morceau est de faire évoluer le thème chaloupé en 5/4 vers un thème en 4/4, plus carré, mais surtout plus rapide !

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Suite spirituelle de l'album de thrash metal Infest the Rats' Nest. Le riff est zinzin, et c'est tout ce qui compte.

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Alors que Sketches of Brunswick East semble comme un album de jazz tout doux et tout mignon, apparaît alors the Book. Le thème en microtonal lui donne alors une atmosphère très particulière, néanmoins facilement entraînante.

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Le morceau le plus intense de l’album le plus intense… Le riff est diablement efficace, la légère accélération au deuxième couplet nous emporte de plus en plus. En guise de coda, peut-être le sommet de l’album, pour une montée en adrénaline toujours plus forte.

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Étonnante jam, qui évolue lentement d'une intro jazz/blues vers un sommet psyché presque metal.

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Sublime conclusion pour Polygondwanaland. Le meilleur moment ? La partie “cachée”, la dernière minute, ou le groupe déchaîne toute son énergie (ça ressemble plus à une chute de Crumbling Castle, mais ça s’incruste quand même trop bien)

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Extinction est un morceau très étonnant, au sein d’un album déjà étonnant. C’est pas le plus innovateur, ni le plus compliqué. Mais la mélodie du refrain est tellement efficace qu’elle pourrait être répétée pendant des minutes que je pourrais en demander encore.

En fait ça existe déjà. C’est la version extended, ça dure 12 minutes et j’en demande toujours encore.

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Le single du medley "Mind Fuzz", autant appréciable isolé que dans la suite.

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Morceau majeur de Infest the Rat's Nest, vaguement stoner, un riff en béton, le solo de basse est super, devenu un classique en live.

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Ce qu’il y a à retenir, c’est la seconde partie. Instrumentale, tout se base sur l’arpégiateur, et tout le monde déballe autour de lui. Véritablement un morceau unique dans la carrière du groupe.

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Le groove microtonal ultime.

(La première chanson de cet album n'est que 20e ? je hais cette liste)

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Sur fond de krautrock et motorik, le groupe y déploie de la bonne synthpop. Chanson sympa (et positive), dont les parallèles avec les confinements sont évidents.

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Très bonne conclusion pour Quarters! Riff entraînant, ça tient parfaitement la longueur.

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Excellente conclusion d’un groupe en voie de devenir l’un des meilleurs. À privilégier les versions live qui s’étalent (en particulier le Live in Brussels ‘19), amplifiant toute la dimension psychédélique.

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Gros coup de cœur pour la signature rythmique, qui ressemble à un 4/4 amputé d'un milli temps (dsl de pas être plus précis)

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Chanson pop assez atypique, tout en microtonales, menées par le zurna (c’est la sorte de flûte turque qui ressemble à des cris nasillards) et la voix d’Ambrose. Un pilier de l’album.