Critique de Un violent désir de bonheur par Roland Comte
Présentation
L’action se passe en 1792 dans un pauvre couvent isolé de la vallée de La Roya, faisant à l’époque partie du Comté de Nice. La poignée de moines qui y vivent prient et travaillent leur potager tout en entretenant la vaste oliveraie qui entoure le couvent. Parmi eux, Gabriel (Quentin Dolmaire), un jeune moine à la foi sincère et profonde.
Cette ambiance paisible va...
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À toutes nos révolutions
“Un violent désir de bonheur”… d'abord il y ce beau titre. Et puis un générique d'une élégance trop rare : typo noire sur fond blanc, du Jannon, un caractère typographique du xvııe siècle, sur du Gil Scot Heron (ou quelque chose comme ça). Pour évoquer la Révolution française, le décalage musical est étonnant, mais pour parler de toutes nos révolutions, intimes ou politiques, comme d’"un...
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Journal d’un moine de campagne
Un monastère isolé du reste du monde, format 1.33, quelques personnages bien identifiables et qui ne varient que très peu tout au long du récit, et puis, surtout, un débit de parole monotone au sein duquel les acteurs récitent leurs texte sans déborder : c’est la proposition, très théâtrale, de Clément Schneider dans Un violent désir de bonheur, son second long-métrage, présenté à l’Acid. Il...
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