Le Pont de la Rivière Kwai à la sauce Oshima = sexe + choc culturel
Un film des plus étranges qu'il m'a été donné de voir, tant par son sujet que son traitement.
Cette oeuvre, de production néo-zéoledaise, britannique et japonaise, fit beaucoup de bruit à l'époque, de par son casting (David Bowie, Tom Condi, Ryuichi Sakamoto, Takeshi Kitano, ....) que par les thèmes abordés dans ce film.
La sexualité, thème cher au réalisateur, y est toujours présente (le...
Lire l'avis à propos de Furyo
Merry Christmas, Mr.Lawrence
Furyo, Senjō no Merry Christmas au Japon, Merry Christmas Mr. Lawrence (littéralement, « Joyeux Noël M. Laurence ») dans certains pays, est un film dramatique anglo-japonais coécrit et réalisé par Nagisa Ōshima, sorti en 1983. « Furyo » correspond au nom donné aux...
Lire l'avis à propos de Furyo
Bourré tous les jours, ce serait mieux.
En 1983, après une bonne petite fournée de films reconnus comme L’Empire des Sens, Oshima Nagisa décide de réaliser un film avec des acteurs occidentaux, qui pourrait s’adresser à un public universel.
Furyo ressemble sur le papier à un drame de guerre comme on a déjà pu en voir, avec une relation prisonnier – geôlier un peu plus développée que la moyenne. Sauf que...
Lire l'avis à propos de Furyo
Critique de Furyo par ghyom
Je n'ai pas grand chose à dire sur ce film. Ma critique sera donc courte.
Un sous "Le pont de la rivière Kwaï" avec un sous-texte "so gay" ! Ca manque de rythme et c'est moyennement réalisé i.e. : la scène où s'avance Jack Celliers (David Bowie) pour s'opposer à la décapitation du Capitaine est juste ridicule avec cette musique. Les quelques moments intéressants sont les discussions...
Lire l'avis à propos de Furyo
Les opposés s'attirent
Véritable chef d'oeuvre du cinéma asiatique réalisé par Nagisa Oshima, Furyo se distingue tout d'abord par son casting plus qu'alléchant, entre un David Bowie qui crève l'écran dans le rôle de Jack Celliers, définitivement taillé pour lui, un Tom Conti particulièrement touchant et humain, un Takeshi Kitano qu'on a...
Lire la critique de Furyo
Si je le haïssais, je ne le fuirais pas.
13 Janvier 2016. Dans deux jours, cela fera 3 ans que Nagisa Oshima nous a quitté. Bowie lui est parti il y a tout juste 3 jours. Alors qu'Arte rediffuse ce soir Furyo, il apparaît donc difficile de le revoir à nouveau (ou de le voir tout cours) sans une pensée particulière pour les deux hommes. Et pour cause : l'écho sinistre de l'actualité trouve sa parfaite réponse dans ce...
Lire la critique de Furyo
Passion(s)
Pourquoi s'attarder sur Furyo ? Evidemment, la mort de David Bowie a précipité chez moi le visionnage de ce film de Nagisa Oshima, auteur emblématique de la Nouvelle Vague japonaise, qui a ensuite, et dans une certaine mesure, exporté son cinéma à l'étranger (Furyo donc mais aussi Max, mon amour avec Charlotte Rampling). Du monsieur, il ne m'avait été, jusque...
Lire l'avis à propos de Furyo
Critique de Furyo par Teklow13
Furyo est un des rares exemples de grandes réussites de cinéaste pour une production étrangère. Ôshima ne perd ici rien de son cinéma, au contraire, il s’adapte parfaitement à ce nouveau cadre, ce nouveau décor (l’île de Java durant la seconde guerre mondiale) et offre une très belle œuvre, intelligente, envoutante (bien aidée par la belle musique sorte de mélange entre Vangelis et Joe Hisaish )...
Lire l'avis à propos de Furyo
Critique de Furyo par AMCHI
Remarquablement interprété ce très beau film nous montre les conditions horribles des soldats alliés aux mains des Japonais.
Emporté par une belle musique on suit l'étrange relation mêlée d'une fascination réciproque entre le chef japonais du camp des prisonniers et le héros anglais incarné par un magistral David Bowie refusant de perdre dignité et honneur dans sa captivité...
Lire l'avis à propos de Furyo
Deux grands esprits se rencontrent
J’ai eu quelques à priori concernant ce film, notamment pour ce qui est du réalisateur et de ses œuvres antécédentes. Je m’attendais à y retrouver le Oshima engagé des années 60, au côté des syndicats étudiants d’extrême gauche. Par conséquent, je pensais me confronter à un film antipatriote, sur ce sujet tabou qu’est la seconde guerre mondiale.
Et j’en fus...
Lire la critique de Furyo