Critiques de Au revoir l'été

Au revoir l'été respire les mêmes substances qu'un film de Rohmer. Un Rohmer exotique où la plage, toujours, demeure le lieu des rencontres : celles furtives, qui prennent leur temps d'exister, par...

Pour construire un récit d'apparence simple, il faut le nourrir de mille détails presque invisibles et faire preuve d'un sens de l'observation acéré. Limpide et lumineux, Au revoir l'été mêle...

On dit toujours que Hong Sang Soo est le Rohmer asiatique (Coréen en ce qui le concerne) alors que j'ai toujours trouvé qu'il devait plus à Garrel qu'à Rohmer. Mais surtout, je pense qu'Hong Sang Soo...

Alala y sont trop mignons les adolescents là, déjà les intertitres qui m'envoient des vibes d'Ozu dans la tronche c'est comme recevoir du gros amour direct dans le ventre. Et puis l'été infini...

Dimanche 26 août. Mikkie et sa nièce, Sakuko, reviennent dans leur village natal, où cette première revoit son ancien amant, Ukichi, tandis que l’autre fait la connaissance de Takashi, neveu d’Ukichi...

J’imagine que le parallèle a déjà été fait plusieurs fois tant c’est flagrant donc je ne vais pas faire original, Au revoir l’été évoque ouvertement Rohmer. Et Fukada le revendique. Autant dans le...

Dès la première scène, la femme vivant seule dans un coin reculé qui s'absente et laisse sa maison à sa sœur et sa nièce préfigure l'immense solitude des protagonistes et le thème principal du film...

Koji Fukada adore Eric Rohmer et ça se voit dès les premières images d’«Au revoir l’été», son troisième long-métrage, qui transpose dans une station balnéaire japonaise l’univers délicat du grand...

Bildungsmovie léger et ensoleillé comme des stories postées sur Instagram par une ado désœuvrée, échouée pour quelques jours entre ennui et curiosité dans une ville de bord de mer pas spécialement...

Dans le paysage du cinéma japonais contemporain, plutôt morose, Koji Fukada fait figure de sage trublion. Ses films sont en effet au premier abord très convenus, très lisses, en un mot très japonais...