Réactions de Dinozor

L’Oréal est bien sûr visé, mais il ne faudrait pas y voir une critique sérieuse. Le sujet est avant tout prétexte à un délire humoristique kitsch et assumé. Voilà longtemps que je n’avais pas tant ri.

Finalement, 3 — Tolstoï aura au moins eu le mérite d’exposer la faillite des théories esthétiques l’ayant précédé (même si la sienne ne vaut guère mieux), et le chapitre sur Wagner est hilarant.

4 points pour le film + 1 point pour chacune des actrices principales = 7 (oui, c’est souvent comme cela que je note les films zuniens grand public — il faut bien se donner une raison de les voir).

Un des films les plus émouvants qu’il m’ait été donné de voir. Adolescent, je n’avais pas perçu la référence à Don Quichotte, qui aujourd’hui me paraît évidente.

Naufrage de Tolstoï ! Si c’est un réel plaisir de lire la manière dont il dézingue les théories de l’art absurdes qui l’ont précédé, il est affligeant de le voir en proposer une plus ridicule encore…

S’il ne fallait produire qu’un exemple du génie de Gombert, ce serait cette déploration sur la mort de Josquin, sublime entre toutes. Ma version préférée à ce jour, celle de l’ensemble Cinquecento.

Le plus beau Regina cœli que je connaisse. Joyeux et majestueux tout à la fois, un contrepoint d’une densité extraordinaire qui vous emporte vers les cieux.

Spieluhr, et Lindemann se fait conteur. Tout improbable que soit ce récit d’enfant enterré vivant parce qu’il se faisait passer pour mort juste pour avoir la paix, j’adore cette chanson et ses images.