Les meilleurs albums de Pink Floyd selon GioGio

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Que dire. Rien à jeter sur cet album composé de 5 pistes quasi parfaites, parmi lesquelles Shine on you crazy diamond trône fièrement en surplombant la quasi intégralité de l'univers Rock.

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Peut être l'album le plus culte de tous les temps. Sorti en 1973 et encore en avance sur son temps aujourd'hui, la perfection n'est encore une fois pas loin tout au long de l'écoute fascinante et ultra cohérente.

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Pas facile d'accès, Animals révèle toute sa puissance à force d'écoutes prolongées. Il se révèle alors comme un disque d'anthologie ou chaque morceau se renouvelle sans cesse en laissant des images plein la tête.

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Le disque le plus oublié de la disco de Pink Floyd est pourtant excellent! En plein dans leur période la plus prolifique (et la meilleure), en sandwich entre Meddle et DSotM, Obscured by clouds est loin de faire pâle figure en comparaison, à écouter absolument.

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Un peu le pendant lumineux de Meddle, pas grand chose à jeter sur cet album pourtant rejeté par ses propres parents! J'apprécie même la "suite" Alan's psychedelic breakfast que tout le monde semble détester. Un disque qui donne le sourire.

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Double album jouissant d'une énorme réputation et contenant sans doute le morceau le plus connu du groupe, The wall est pourtant un disque long et difficile d'accès, et comme tout bon double, il est très déséquilibré: Des morceaux sublimes côtoient du pur remplissage. Peut être un peu trop ambitieux.

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Tour à tour effrayant, glauque, burlesque, drôle, Meddle est avant tout un disque sombre dont le point d'orgue est son final: Echoes, morceau culte, long, complexe et dépressif.

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Le dernier album du groupe et leur chant du cygne est un bel hommage à l'ensemble de leur carrière (et à Richard Wright): sobre, élégant et explorant toutes leurs facettes, même s'il ne révolutionnera rien. Surement ce que PF a fait de plus PF depuis The Wall.

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PF a l'apogée de sa période psychédélique, un disque cohérent et immersif qui marque aussi la fin de la période Syd Barrett. Sympa et le son s'étoffe, mais on est quand même loin de la profondeur de leurs futurs disques.

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Un peu la suite de The Wall qui en partageait déjà le principal créateur, The final cut est en réalité quasiment un disque solo de Roger Waters. On y trouve tout son génie créatif mais sans la puissance du groupe, qu'il a perdu en route à force d'égocentrisme.

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The division bell marque l'apogée de l'empreinte de David Gilmour sur le groupe après le départ de Waters. Si on est loin de la créativité et de la puissance des anciens albums, il constitue malgré tout un disque cohérent ou High hopes surnage.

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Un pot pourri un peu cash grab dont la moitié des pistes vient d'albums studios, l'autre moitié est malgré tout intéressante et comporte plusieurs singles sympas, on explore un peu plus la facette psychédélique de PF période Syd Barrett. Pour les amateurs des deux premiers disques.

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La première BO du groupe pourrait être coupée en deux: la première moitié est très bonne et à la hauteur de ce que le groupe a pu faire de mieux, malheureusement la seconde moitié constituée principalement d'instrumentales est un peu trop bordélique pour être appréciable.

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Le groupe cherche son identité après le départ de Roger Waters et c'est David Gilmour qui prend la barre tant bien que mal. Pas mauvais, AMLoR souffre surtout de la comparaison avec les précédents disques, se révélant un peu trop fade et parfois à la limite du ringard souvent imposé par les 80's.

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Premier album du groupe souvent encensé, Piper est pourtant un disque bizarre et difficile d'accès marqué par la fin des 60's et l'utilisation intensive de drogues. Parfois simpliste, parfois trop complexe, il est marqué par l'empreinte de Syd Barret, premier leader du groupe.

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Ummagumma est le fruit du délire de 4 drogués qui ont du penser en plein trip que tout ce qu'ils composaient était d'or, même leurs expérimentations les plus improbables et débiles. Malheureusement ce n'est pas la première matière qui me vient en tête à son écoute... Il a le mérite d'avoir imposé une crise de conscience pour le groupe.