
L'académisme de Fincher, si pénible dans House of cards, est cette fois un véritable atout pour cette série passionnante (bien qu'un peu erratique au début), précise et glaciale, à la fois dans son élaboration hasardeuse d'un protocole expérimental fiable et dans la lente contamination de personnages par le mal, rattrapés par l'impossibilité d'en sortir sans accrocs.