Frank Castle assiste à la mort de sa femme et de sa fille ; il décide alors de rendre une justice expéditive et fatale.
The Punisher est d’une brutalité comme on n’en a jamais vu dans une série Marvel/Netflix pourtant innombrables ; certaines scènes sont réellement difficilement supportables. Mais ceci occulte une série méandreuse aux épisodes lents et confus. On finit par se lasser rapidement avant d’être agrippé par le coup de boost de la fin. Néanmoins, Frank Castle est un héros profondément touchant et humain.
Une jeune fille est poursuivie inexplicablement par une secte religieuse, elle croise la route du Punisher qui en plus de la secourir, s’y attache.
L’intrigue est étirée jusqu’à plus soif. Ce qui aurait pu tenir en quelques épisodes s’étale sur treize. Les deux arcs sont peu palpitants : l’un avec Amy est excessivement distendu, l’autre avec Russo est inintéressant au possible. Le moment avec les femmes tuées aurait pu être alléchant en montrant les éventuelles conséquences de sa folie meurtrière mais c’est bien trop vite balayé.