Cela commence comme un 7/10, avec de nombreux moments de 8/10 grâce à l'habile peinture de l'homosexualité à Hollywood notamment, mais pourquoi succomber à autant de niaiseries dans la seconde partie, sans donner si bien que cela l'impression que l'on a mérité ce qui s'annonce comme un happy ending universel ? Pour pinailler un peu plus, dans ce que la série présente comme des moments de pure grâce, les scènes du film Meg où l'on voit enfin les acteurs à l'oeuvre... ceux-ci ne sont pas aussi crédibles que Hollywood veut nous le faire croire, vraiment dommage...