
Takeshi Kovacs rempile avec sa nouvelle peau dans cet univers riche et un peu déroutant par sa complexité.
On continue d'empiler à tout va les personnages dans les enveloppes : deux dans une, un dans deux et un dans aucune : Poe, l'I.A., seul protagoniste émouvant de cette saison très artificielle.
Les combats sont toujours chorégraphiés aux petits oignons mais tout cela semble un peu vain.