Ca m'apprendra à lire trop de SF dans un même mois : j'ai enfin été déçu. Critiques majoritairement dithyrambiques, j'ai que finalement peu accroché à causes des dialogues plats qui font patauger le récit. Un monde capitaliste où tout se monnaye jusqu'à la porte d'entrée, une pointe de fantastique avec des pouvoirs psy (télépathie, précognition) et anti-psy (nullification des pouvoirs psy), le concept de «semi-vie» rappelé récemment par Inception et enfin la régression dans le temps ! Ça présageait bien et beaucoup mais c'est pas le labyrinthe narratif tant attendu mais plutôt comme si l'auteur cherchait où aller pour enfin s'enfoncer dans une thématique jusqu'au dégoût. Ubik aurait sans doute gagner en intérêt dans un format plus court.