Critiques de Nostromo

Silentum
8

Monstre fin

Œuvre imposante et intimidante, tant par l'ambition que par la longueur : plus de cinq cent pages, soit le plus long roman de Conrad. Parfois considéré comme le meilleur, même si Lord Jim et l'Agent...

le 19 août 2016

18 j'aime

HammerKlavier
10

La défaite des ambitions.

Joseph Conrad est un écrivain hors pair, capable de marier roman d'aventure, et littérature plus sérieuse dont l'ambition va au delà du plaisir de divertissement. Nostromo ne fait pas exception...

le 8 août 2013

10 j'aime

1

Coriolano
9

Un magnifique roman, à la fois riche et sombre.

Le thème du livre est la vie d'un pays d'un Amérique du Sud, le Costaguana,symbole de l'Amérique du Sud avec son cortège de corruption et de révolution. Le talent du romancier est véritablement...

le 23 janv. 2011

9 j'aime

momoshaouse
8

p. 127

L’activité est la plus grande consolatrice, l’ennemie des rêveries vagues et la mère des illusions flatteuses. C’est elle seule qui nous donne une sensation d’empire sur la Destiné.

le 24 sept. 2019

1 j'aime

SofianeShl
10

Le temps et rien d'autre

Nostromo est un roman remarquable à plus d’un titre : acuité habituelle du regard de Conrad sur ses personnages, complexité et finesse parfaitement maîtrisées de leur interactions, souci évident du...

le 3 déc. 2016

1 j'aime

llisa
7

Histoire et aventure au Costaguana

Nostromo est un personnage tout d'abord anecdotique dans ce livre. Puis il prend de l'importance quand l'histoire prend un tournant: elle glisse d'un livre qui conte l'histoire des révolutions d'un...

le 11 févr. 2022

batdoct
8

Une oeuvre magique

Toute l'Amérique latine est là, puissante, vive, vivante. Chaque personnage est possédé par son envie de vivre, est emporté par la révolution en marche. Chaque personnage serait une idée de livre à...

le 3 sept. 2017

Frédéric_Chaumont
9

Attention chef d'oeuvre !

Un (autre) livre lu par hasard - et je ne remercierai jamais assez le hasard et les heureuses trouvailles qu'il permet parfois. C'est une histoire d'aventuriers, d'idéalistes, de rêveurs impénitents,...

le 31 déc. 2016

GrandGousierGuerin
8

Critique de par GrandGousierGuerin

Roman fleuve où j’ai bien failli me noyer au milieu bien que je fus loin d’être emporté par le courant. Vais-je me permettre de critiquer Conrad (Joseph et non Robert), quitte à passer pour une tête...

le 15 mai 2014