Critiques de Nadja

raoulle
10

Critique de par raoulle

À l'armée je lisais « Nadja » du totem Breton et l'adjudant me regardais de façon oblique en me garantissant que tout ça, c'était des trucs de communistes (c'était avant la chute du fameux mur)...

le 16 nov. 2010

37 j'aime

1

Clment_Nosferalis
10

Un chef-d'oeuvre

"Nadja" est un des meilleurs livres du XXème siècle, et l’un de mes préférés dans toute l’histoire de la littérature. Le surréalisme atteint ici son point culminant, sa véritable cristallisation, et...

le 15 sept. 2014

32 j'aime

4

Eggdoll
3

Anti-roman : sous-roman.

Je n'aime pas André Breton, parce qu'André Breton est un surréaliste à la noix qui renie le roman au nom d'idées réductrices et réfutables par un gosse de 13 ans. (Par exemple, les personnages de...

le 16 févr. 2012

26 j'aime

18

-Valmont-
3

189 pages pour rien, un exploit bien réel

Ca prétend nous embarquer dans une forme de catharsis - par les déambulations urbaines, un détachement à l’égard des lieux, des objets et des passions - et ça se termine en bouffonnerie narcissique...

le 6 sept. 2018

20 j'aime

13

FanzineleChancr
5

L'intérêt, c'est pas tellement la vitesse, c'est le nombre de figures qu'on va faire.

Les choses les plus élémentaires. S'oublient le plus vite. "S'pas ma faute !" qu'il dirait, le Valmont des plages, enterré dans le sable à Knokke-le-Zout, avec ses deux louloutes en coquillage...

le 12 août 2012

14 j'aime

7

kaderwan
1

Critique de par kaderwan

Nadja, ou comment justifier l'adultère, l'observation malsaine d'une pathologie et enfin l'abandon autant moral que physique d'une personne dont André Breton ne peut plus rien tirer, et tout cela...

le 26 sept. 2010

14 j'aime

2

Azoun
9

Méandres savoureux d'un être

Je ne connaissais de Nadja que la dernière phrase, phrase magnifique : "La beauté sera convulsive ou ne sera pas"... J'ai découvert avec beaucoup de plaisir le reste du roman, petit bijou...

le 7 févr. 2015

9 j'aime

Nicolas_Zaural
4

L'impasse avant-gardiste

Nadja est l’exemple parfait, en littérature, du grand paradoxe de l’avant garde : à la fois novateur mais à certaines pages, proche de “l’oubli” total de son lectorat. Expérimental, novateur, Nadja...

le 5 janv. 2021

8 j'aime

1

Vernon79
8

PTSD

Hélas ! Je crois à la vertu des oiseaux. Et il suffit d'une plume pour me faire mourir de rire. Joseph Delteil Ce n'est pas une question d'ennui, les gens m'intéressent beaucoup... et il m'intéresse...

le 17 sept. 2018

6 j'aime

Camille_Austen
1

Critique de par Camille_Austen

André Breton est tombé amoureux d'une prostituée cocaïnomane. Jean-Luc Delarue devrait lire ce livre pour arrêter. Et sinon, c'est mauvais.

le 26 sept. 2010

6 j'aime

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