2010
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À trop désirer la mort, on y brûle son âme. Paris, 1900. Prisonnier de son succès, un écrivain décide de tout quitter pour entrer au plus profond de ses cauchemars, de ses abysses, explorer ce qu'il y a de pire en lui. Dans ce terreau de peurs se cache la matrice des monstres enfouis en chacun de nous. Un Léviathan d'ombres, un golem de violence. Guy de Timée voulait déterrer la fange, il va rencontrer le Mal. Des cercles ésotériques de la capitale aux démesures de l'Exposition... Voir plus
Critique positive la plus appréciée
From Hell
Paris, 1900. Guy de Timée est un écrivain à succès. Riche, bien marié, il mène la vie bourgeoise idéale. Jusqu'à ce qu'il fasse une double découverte fatidique. La première découverte s'appelle...
Par
le 19 déc. 2012
10 j'aime
14
Critique négative la plus appréciée
Critique de Léviatemps par Brice B
J'ai une affection toute particulière pour Maxime Chattam et ses romans, et après avoir lu la quasi intégralité de ce qu'il publiait au fur et à mesure, j'arrive un peu à cerner l'écrivain derrière...
Par
le 17 avr. 2011
5 j'aime
1
Critique de Léviatemps par Fredo
Belle description du Paris de 1900, qui devient un personnage à part entière. J'ai également beaucoup aimé la mystérieuse ombre qui plane sur ce roman. Par contre, j'ai trouvé le héros trop agaçant,...
Par
le 4 oct. 2010
8 j'aime
1
Chattam et le mal
Maxime Chattam lance son héros, un écrivain, aux trousses d'un tueur. Pas pour faire justice, mais pour contempler et comprendre le Mal en action. Quand on ouvre un thriller de Maxime Chattam, on...
Par
le 6 déc. 2010
3 j'aime
Critique de Léviatemps par Engagé-Guignol
Après quelques égarements, revoici le vrai Chattam! Léviatemps reprend les dynamiques sombres de la trilogie du mal et l'adapte dans un Paris du 19ème glauque et torturé à souhait! Pour le final, on...
le 25 janv. 2011
2 j'aime
Une belle perte de (lévia)temps!
Si j'avais été prévoyant, je n'aurais jamais acheté ce livre. C'est vrai quoi, j'aurais dû savoir que les 150 dernières pages du "Jugement de César", de Steven Saylor, ne me tiendraient pas trois...
Par
le 5 sept. 2014
2 j'aime
2
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