Vu, visionné et commenté, en 2022.

Annotation :

Pas très malin, bouffe un peu à tout les rateliers de Deadpool au dernier mangaz à la mode, mais périle jeune never say die.

Annotation :

Le chaos au service du coeur. Flashy et flashant. Rick & Morty like this.

Annotation :

Don't look up.

Annotation :

"And think of the summers of the past
Adjust the bass an' let the Alpine blast
Pop in my CD an' let me run a rhyme
An' put your car on cruise an' lay back
'Cause this is summertime"

Annotation :

Ne se regarde pas sans bières et chips. Boom shake the room, comme matraquaient DJ Jazzy Jeff et le Fresh Prince, dans les chambres des années 90.

Annotation :

"j'en peux plus de tout ces connards, ça me rend haineux". Pas mieux. Un des films de l'année, polar implacable et questionnement sur la toxicité masculine au programme. N'aide pas à se réconcilier avec le genre humain. Ni avec Hulk Hogan ( mais ça, c'est une autre histoire )

Annotation :

Une certaine idée de l'été. A défaut d'être d'une originalité à se relever de son linge de bain, une fois echoué sur la plage après avoir avalé trois kilos de glaces, aide à bien digerer.

Annotation :

Passez notre tonnerre à la machine, faites le bouillir. Voir si les couleurs d'origines peuvent revenir. Spoiler : Cela marche pas. Nouvel échec made in Marvel. Toutes possibilités dramatiques, tout développement narratif est explosé en vol sur le temple de cette version wish du premier Gardien de la galaxie, qu'ils tentent de répliquer en boucle.

Usant.

Annotation :

Aucune tentative de 360' à la NBA Jam, pour cette enième redite du laissé pour compte, qui se bat pour son rêve étoilé, médaillé. Reste que le rythme et les émotions sont au rendez-vous.

Faut être client.

Netflix, ça lui va bien au père Sandler.

Annotation :

Elvis has left the building. This is the way the world ends. Not with a bang but a whimper. L'intro est magnifique.

Annotation :

Entre quatorze écoutes du Black Album, c'est plus réussi que cela en a l'air.

FIRE. FIRE. FIRE. FIRE.

Annotation :

Que c'est sage, que c'est compliqué de retranscrire l'univers de Fabcaro ailleurs que dans les cases made in bande-dessinée. Si on arrêtait les frais, ou du moins si on arrêtait d'engraisser la poulette. Pas mieux.

A défaut d'aller chanter sur la colline.

Annotation :

Ode au cinéma fauché, ode à la joie.

Annotation :

Les dinosaures, c'était mieux avant.

Annotation :

Et c'est le temps qui court, court. Ou qui vole. Mais oui . Un grand oui. Je suis avec toi Tom. Vive les années 80.

Annotation :

Remontées d'acide chez les vikings. Conan like this.

Annotation :

Au milieu d'une sorte d'épisode de Rick and Morty wish ( c'est un compliment ), certaines scènes laissent imaginer ce qu'un Sam Raimi nous aurait offert libre de contrainte. Foutu cahier des charges made in Marvel.

Annotation :

Michael Bay. Il déborde de passion et est particulièrement sympathique dans la dernière émission "vidéoclub" sur Konbini, l'indulgence est grande du coup. Fast, Furious, toujours plus haut, toujours plus loin, Ivan Drago au lieu de Rocky Balbo quoi.

Annotation :

That 70's massacre. L'angoisse de la mort et pire que la mort en elle-même balancait Steven Seagal entre deux high-kick, et ça Ti West semble bien l'avoir compris dans son ode aux classiques de l'horreur du samedi soir.

Je regarderais plus jamais les vieux de la même manière.

Misère.

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Le confinement cétait mieux avant.

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Quelques pas de danse, de rires et de rêves entre deux/trois bons ( gros ) sentiments. En corps, en mouvement. En language. Tant qu'on se rencontre.

Annotation :

Dent de lait et boule sous le bras.

Annotation :

Entre deux rayons de soleil sur de vieux HLM, intelligent et sensible réçit d'apprentissage. Destinée tu m'auras pas.

Annotation :

Un David contre Goliath qui vaut particulièrement le coup, pour le personnage terrible de Pierre Niney. Un Homme pressé. La parfaite représentation du cynisme crasse de son camps, sans foi, ni loi, ni affect, capable de tout pour fausser le réel.