Un regard sévère par en-dessous à la Signoret, une voix rauque unique et un talent certain, non ce n'est pas Charlotte Rampling mais Lauren Bacall. Hommage au Look qui m'a appris à siffler. Comme ça.

Annotation :

Le coup de foudre. L'alchimie avec Bogey emporte tout sur son passage.
Le sommet du genre "Bacall-Bogart movie".

Annotation :

Elle embauche Newman pour retrouver son mari. Mais la belle est retord. Elle en profitera même pour séduire Pau-paul. Pardon Paul.

Annotation :

Elle est la fille de l'immense Barrymore et l'otage du moins immense Robinson. Elle a beau être la veuve d'un ami décédé de Bogart, ça n'empêchera pas ce dernier de lui mettre la main dessus. A moins que ça ne soit l'inverse. Comme à chaque fois qu'il joue ensemble en fait...

Annotation :

Que celui qui a compris le film à son premier visionnage se lève.
Même sans tout percuté, c'est encore l'alchimie transpirante du couple qui emporte le suffrage. Au revisionnage, on se rend compte qu'en plus, c'est un grand film et que Bacall a trouvé son meilleur rôle.

Annotation :

Au côté du futur centenaire Bruce Bennett et de son inénarrable mari, elle trouve sinon un de ses meilleurs rôles, celui qui m'a littéralement rendu accro à son regard. Surtout dans sa voiture.

Annotation :

Le film ne vaut que pour son casting quatre étoiles. Du trio qu'elle forme avec Grable et Monroe elle est celle qui empoche, de ma fenêtre, le gros lot.
Jackpot!