Mes souvenirs dans les salles.

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Tout premier film vu en salles. J'avais 7 ans.

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J'ai vu le film 3 fois en salles.
Il faut dire que, replacé dans le contexte de l'époque, c'était révolutionnaire de voir des dinosaures "en vrai" !

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Quand j'étais au collège, les profs nous emmenaient voir des films, dont celui-là.
Je me rappelle très bien d'une scène, au ralenti, où Jésus attrape un livre tombé dans une cascade, et avoir eu un fou rire (moi et le public en salles) tellement ça me semblait ridicule.
Depuis, je n'ose plus revoir le film, de peur d'affronter cette scène.

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Le plaisir d'avoir vu Dragon Ball Z au cinéma, et d'entendre We gotta power !

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Je me rappelle avoir bien flippé sur ce film, avec le maquillage improbable de Robert De Niro.

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Pas de souvenirs particuliers du film, mais c'est à ce moment-là que ma cinéphilie s'est réveillée, et que depuis, je bouffe du film à longueur de temps.

Pourquoi sur Thomas Crown ? Mystère...

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A ma séance, il y avait beaucoup de monde, dont des jeunes sans doute alléchés de voir le corps de Marine Vacht.
A une scène particulière, une scène sexuelle menant à la mort, beaucoup d'entre eux sont sortis de la salle. Pourquoi ?

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Voir ce film en salles, et avoir les larmes aux yeux dans une des plus belles scènes qui soient.

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Premier film vu en 48 images par secondes. L'innovation technique est à saluer, même si c'est déstabilisant au départ.

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Voir ce film en présence de son réalisateur et se rendre compte que, même j'avais déjà vu le film en dvd, l'émotion est beaucoup plus forte dans une salle de cinéma.

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Premier film vu en avant-première, et avec un public assez âgé.

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Au début du film, on commence à dix spectateurs ; 6 jeunes gens, un couple de personnes âgées, un homme seul et moi.
Au fur et à mesure de l'histoire, ça commence à se trémousser, et dès la première scène de sexe avec Robert Pattinson, les jeunes fuient la salle : sans doute ne s'attendaient-ils pas à voir le gentil vampire tringler une femme aussi crûment.
Ensuite, le couple de personnes âgées part aussi, en répétant "Je comprends rien".

Puis, le film se termine, on est deux. L'homme se rapproche de moi et me serre la main en me disant "Bravo d'avoir survécu à ce film !".

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J'ai honte ; j'ai raté sa sortie en salles en 1998, pensant que c'était un film "pour gonzesses".
Quatorze ans plus tard, et vingt visions plus tard, je rattrape mon erreur en allant le voir au cinéma pour sa ressortie 3D. L'émotion marche toujours, au point que je le verrais deux fois.

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Premier (et à ce jour, le seul) film vu en Imax 3D, et il faut dire que ça en jette !
Le film, moins...

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Durant ce film, je voyais des gens qui s'endormaient, ou qui quittaient la salle.
Je me rappelle de cette phrase : "Je ne paie pas pour voir un économiseur d'écran !"

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Les diverses ressorties font que j'ai pu voir la totalité de la saga Terminator au cinéma. C'est un de mes rêves qui s'est réalisé ; voir Terminator 2 en salles, et contempler mon sourire béat durant la projection...

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Je pensais avoir vu ce film quand je le voyais en dvd ou en blu-ray.
Je le vois en salles (dans une copie splendide) ; je me suis trompé, car 2001 est un film fait pour le grand écran.

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Voir ce film et planer de bonheur devant cette histoire que j'aimerais tant vivre.

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Forte émotion en voyant le film en salles ; à la fin du film, des gens se mettaient spontanément à prier à la mémoire des prêtres disparus.

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Premier film que je vois en salles ... sans aucun spectateur !
Depuis, il y a eu L'an 1, des débuts difficiles, Lascars, Max & les Maximonstres, Dressé pour tuer et Le pacte des loups.

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Avec un pote, on prend la voiture pour voir assez loin ce film ... uniquement pour la V.O. !
C'est durant ce film que j'ai eu trois crises de fou rires qui me faisaient pleurer comme jamais.

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Aussi merdique soit ce film, il restera néanmoins dans mon esprit car c'est durant sa projection que j'ai su que ma nièce était née.

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Quand je suis allé aux Etats-Unis, j'ai voulu voir un film en salles. Et, par défaut, je suis tombé sur Crank.
Si le film est assez consternant, je reste encore frappé par les réactions du public lors d'une bande-annonce d'un film avec Sandra Bullock (La proposition), qui était écroulé de rire !

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Comment se sentir violé en regardant un film ? Il suffit de voir Dragonball evolution !
Sans doute le pire film vu que j'ai vu en salles.

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Je découvre le film lors d'une ressortie. Tout se passe bien, jusqu'aux dernières minutes, où les personnages bougent à l'envers, et parlent donc de manière inversée !
Stupeur dans la salle, jusqu'à ce que la projection s'arrête, le temps de remettre la bobine en place.

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Ma boulimie de films m'a fait voir des tonnes de films, mais avec celui-ci, j'ai atteint le pompon ! Depuis, je me suis juré que je ne verrais plus une comédie populaire française au cinéma. Promesse que je n'ai pas tenu une seule fois (à la suite d'un pile/face perdu) en voyant Les profs, mais je tiens au maximum, quitte à ne pas voir le même film que des amis quand on va ensemble au cinéma !

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D'habitude, je ne suis pas du genre à saboter une séance en faisant le con, mais je ne sais pas pourquoi, moi et un ami étions décidés à rigoler sans arrêt, ou à caricaturer le film.
Quand sa copine était émue par le film, on était morts de rire.
J'ai un peu honte d'écrire ça, mais c'est le jeu, mais ce fut la seule et unique fois.
Depuis, j'ai vu le film de manière posée, et il est vraiment réussi.

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Un des films où j'ai vu un tout petit peu le tournage de certaines scènes.
L'histoire se passant en partie à Nîmes, je travaillais tout près des arènes, l'occasion de croiser Gérard Depardieu ou Claude Chabrol.

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Très beau souvenir de cette séance où je voyais les gens autour de moi répéter les dialogues par cœur !
En temps normal, j'aurais baffé, mais comme je connaissais déjà le film, c'était touchant de voir tous ensemble un film qui est important dans notre imaginaire.

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En 2009, près de mon lieu de travail, de fortes pluies emmènent à une crue de la rivière, menaçant de noyer certains commerces. La mairie nous avait donnés l'ordre de quitter notre lieu de travail, car nous étions en danger, et j'en profite pour partir de la ville en voiture. Je ne pouvais plus rentrer chez moi, la porte étant sous 60 centimètres d'eau.
Bref, je ne peux pas rentrer chez mes parents (trop loin), je suis hébergé chez des amis non loin, et en attendant qu'ils reviennent de travailler, je me réfugie dans un cinéma (pour changer), en costard-cravate trempé jusqu’aux os !