Les jeux vidéo surestimés jusqu'à la folie

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Jeu générique piochant dans les oeuvres post-apo du moment, sorte de patchwork de La Route, The Walking Dead et autres qui n'a rien à dire et rien à ajouter au sujet. Gameplay limité à base d'ennemis binaires (les sourds et les aveugles) et d'humains limites aveugles, jouant la carte du "Je pousse le stick" en guise de narration lourdingue, une purge de tous les instants.

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Avant sa sortie ça ressemblait au western vidéoludique ultime. Finalement un jeu Rockstar où on joue moins qu'on assiste à des dialogues, un scénario incohérent et invraisemblable, des personnages fatigants à force d'être hystériques et cons. La douche froide.

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Une héroïne vulgaire, des graphismes laids pour l'époque et des décors disproportionnés (les marches d'escaliers arrivent aux genoux), une saga qui s'étale sur 20 ans grâce aux gros nichons de Lara Croft (imaginez un héros à sa place, on en parlerait encore aujourd'hui ?).

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On achète des super pouvoirs dans des distributeurs à Pepsi. Je crois que tout est dit.

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Soi-disant le renouveau du survival horror, Dead Space est un gloubiboulga des classiques du cinéma d'horreur spatiale sans un iota de personnalité. Moi qui stresse comme un fou face à ce type de jeux, je n'ai pas eu peur une seule fois tant tout est prévisible.

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Des décors disproportionnés, vides et artificiels, des dialogues longuets et peu crédibles tant ils sont explicatifs, des choix qui ne changent pas toujours les répliques de l'interlocuteur, et un jeu qui se résume finalement à un shooter. Même chose pour les 3 d'ailleurs.

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Les ennemis attendent qu'on entre dans le cercle de leur script pour réagir, on peut donc en tuer à distance sans qu'ils viennent nous déranger. Artificiel et archaïque.

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Énigmes à résoudre par l'erreur, histoire floue, graphismes NB sans justification particulière. On joue un petit garçon mort qui peut... mourir. Logique.

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Un jeu assez scolaire et sans grande personnalité avec une DA fluctuant entre le neutre et le mauvais goût, ce n'est pas un mauvais titre mais il a été clairement surestimé.

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Un jeu absurde auquel plein de joueurs ont essayé de trouver un sens caché. On commence avec un jeu de survie prometteur pour être 3 heures plus tard un Schwarzy de commando dans un titre vulgaire et con où on voit à travers les murs.

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C'est le Fight Club du jeu vidéo. N'importe quelle critique peut être annulée par un "Mais c'est justement ça que voulaient les devs !!!" Vouloir critiquer les CoD n'empêche pourtant pas ces devs de fournir un jeu générique, chiant et au final assez peu pertinent.

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Bourré de cinématiques incessantes qui ruinent le rythme, de caprices de level-design où par exemple les armes possédées l'arène auparavant disparaissent, malgré pas mal de qualités on passe d'une licence légère et parodique à un jeu lourd, connement sarcastique et noyé dans des effets visuels grossiers.

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Déjà on aurait pu trouver mieux qu'un shooter pour réaliser un jeu sur un écrivain, mais en plus ce côté shooter n'est pas intéressant du tout. On avance pour déclencher des cinématiques. Le jeu piochant beaucoup chez Stephen King, il souffre du syndrome de "J'ai pas de personnalité donc je copie les autres" qu'on trouve malheureusement dans de nombreux jeux vidéo.

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Possédant un charme certain, Ico est tout de même un jeu aux combats frustrants car brouillons, et aux énigmes méchamment simplistes.

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Le mélange des deux univers ne fonctionnent pas du tout et le gameplay est brouillon.

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Un jeu que j'apprécie mais qui a été encensé jusqu'à la folie. On rencontre des gorilles mauves et des mecs habillés comme Neo dans Matrix alors qu'il s'agit d'un univers inspiré des Vikings... où on peut manger des sushis dans un restaurant japonais dont le cuisinier porte des lunettes !

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Graphiquement affreux avec son flou dégueulasse et sa distance d'affichage tristounette pour un jeu d'une console en fin de vie, TP nous ressort le vieux gimmick du jeu sans imagination, à savoir ramasser des orbes disséminées n'importe comment dans les niveaux.

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Reposant sur des idées originales et un univers rappelant Lovecraft, ED n'en reste pas moins un jeu assez moyen dans l'éxecution.

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Juste non !

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Un Zelda cheapos qui dure 7 heures, un titre nietzschéen sorti de nulle part, du... vert à lèvres.

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Il se pose sur l'éternel débat de la nécessité ou non du gameplay dans le jeu vidéo. Le propre du jeu vidéo serait d'après certains l'interactivité. Sauf que Word aussi c'est interactif.

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Titre controversé qualifié de film interactif par ses détracteurs, c'est surtout sa totale nullité scénaristique et ses contrôles en dépit du bon sens qui font d'Heavy Rain un navet impérial.

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Flower est idéalement un titre qui repousse la définition du jeu vidéo, on serait alors plus proche de l'expérience. Bon personnellement je n'y crois pas du tout.

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J'ai découvert les J-RPGs avec lui, comme bien du monde. C'est probablement ce côté "première fois" qui a hissé ce titre au panthéon même si au final, et à la même époque, il n'était pas forcément le meilleur. Donc pas un mauvais titre, juste surestimé par la nostalgie.

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Pour moi ce titre a surtout joui de la quasi-absence de J-RPGs sur la (le ?) Gamecube. La famine créant des hallucinations, un titre pas très beau sur la 3D, avec une DA quelconque et un système de combats original mais brouillon est devenu un incontournable. Après il y a aussi l'effet "exclu Nintendo".

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Une cinématique géante nulle plagiant Hollywood où on accumule des mini-jeux dirigistes pour déclencher des cinématiques. Mon héros porte quinze armes à feu dans sa poche magique, les voitures sont indestructibles. Super.

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Au début on est en prison et, allez savoir pourquoi, y'a des trous au niveau du plafond si on monte sur les tuyaux. Et y'a personne qui trouve ça étrange comme architecture carcérale ? Jeu avec des super-pouvoirs sortis de nulle part, un level-design artificiel, Dishonored se repose sur sa DA pour cacher sa misère.

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Alors perso j'aime bien y rejouer de temps à autre, mais quelle folie autour de ce titre ! Les passages les plus spectaculaires ne demandent aucun skill, y'a des mini cut-scenes partout qui hachent le flow, le genre de titre sympa devenu le porte-étendard d'une génération !

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Je déteste la caméra collée au cul du héros qui le coupe au niveau de la taille, cette impression que le bonhomme cache une part de l'écran, l'impossibilité de faire tourner la caméra autour de lui. C'est gris, c'est beauf, les humains et ennemis sont carrés. C'est lourd à manier et les headshots n'existent pas.

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Le Bien et le Mal version binaire, sans aucune nuance. Le système s'effondre dès l'intro.