Le XXI siècle des indépendants

La grâce et l’envoûtement de cet album magique et pourtant épuré, et plus intime. Sufjan touche le fond de son émotion.
Un classique.

Folk liturgique. Album prenant des maîtres de la lenteur. Le duo vocal revient avec des arrangements légèrement électroniques et plus organiques

Pour moi, Low, c'est aussi fondamental que l'eau...
(si si j'ai osé !)

Album aux arrangements complexes et aux idées neuves, paru sur le mythique label Mute records. Une aventure musicale passionnante si vous en prenez le temps.
Un des albums les plus mal compris et mal digérés de ces dernières années.

C'est le monstre à multi-têtes de Sufjan Stevens.
Folk, électronique, orchestral, il a tout mis et c'est vertigineux.

ici, Sufjan mêle tout : de ses expériences électroniques aux orchestrations complexes, cet album peut mener à l'indigestion si tu n'es pas préparé. Après, lorsque ton oreille est prête, c'est génial...

Second album plus maturé, plus complexe, et plus touchant.

Pop rock indie complexe et aux contours jazz. Un miracle américain.

La grande fanfare folk indie de Sufjan Stevens qui embrasse la culture américaine, de la folk à Steve Reich.
L'album avec choristes, piano, banjo, guitare, marimba, flutes, violons etc...
Excellent.

folk liturgique, magique. Un classique à pleurer

fanfare indie-pop avec sons de synthé cheap. Très chouette

Double album : premier album de perles pop-music-hall revitalisant, très Broadway. J'adore.

Et second album "In May", à une écriture résolument classique, genre Mychael Nyman : musique de chambre pour cordes et piano, et la voix classe de Neil Hannon, nous narrant les lettres tristes d'un fils à son père, entre tristesse, espoirs, une histoire poignante.

C'est frais et pourtant ça touche une sorte de nostalgie. Un album dont on finit par être accro...

Spacieux, cinématique, c'est une sorte de far-west contemporain. Magistral
Entre Morricone et Steve Reich, Others nous embarquent dans une musique riche et raffinée

Indie-folk aux harmonisations vocales magnifiques, proche de l'univers de Fleet Foxes, cela rappelle les harmonies de "Because" des Beatles, les Beach boys et le "Carry & Lowell" de Sufjan Stevens. Rien que ça. Une sentiment de bien-être à l'écoute de cet album

Vampire Weekend, c'est un congrès de musicologues : rythmes africains très diversifiés, musique baroque, rock, ska, reggae, classique...et c'est un album rare, rempli de joie et d'énergie, ici plus électronique que leur précédent album.

1998, c'est déjà le XXI siècle, non ?

Un des meilleurs albums du XXI siècle indie-pop

pop de chambre. Ici, on écrit des chansons pop avec de la musique classique de chambre.
Démarche très différente des gens qui font de la pop et y insèrent des éléments classiques. Ici, c'est bien des éléments pop qui s'insèrent dans de la musique classique.
T'as compris le délire ?

Découvert dans la compilation indé "Dark was the night", Dirty Projector nous propose un R'nB décalé et mutant, puissant et émouvant, dans la famille de MIA ou FKA Twigs avec un air du dernier Bon Iver. Pour vous convaincre : "Up in Hudson" et "I see you". De plus, vous pouvez toujours vous plonger dans l'album "Mount Wittenberg Orca", collaboration en Björk et Dirty Projector, paru en 2011