Cover Le temps est un prédateur qui vous traque pour toujours

Le temps est un prédateur qui vous traque pour toujours

Citation de Star Trek : Generations, preuve que le temps est une thématique qui dépasse notre propre galaxie. Thématique qui a toujours su me marquer et particulièrement me toucher lorsqu'elle était bien exploité, voilà quelques films qui m'ont ému, fait réflchir ou tout simplement touché à travers ...

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270 films

créee il y a presque 8 ans · modifiée il y a 2 mois

Trois sublimes canailles
8

Trois sublimes canailles (1926)

Three Bad Men

1 h 32 min. Sortie : 28 août 1926 (États-Unis). Western, Muet

Film de John Ford

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Avec Three Bad Men, il évoque le destin d'un couple durant la ruée vers l'or et plus précisément durant une "course à la terre" au Dakota où trois hors-la-loi vont s'y immiscer malgré l'oeil d'un néfaste shérif. Et là où c'est formidable, c'est que John Ford réussit à faire ce que peu ont su faire (on peut citer George Stevens et son Giant ou Victor Fleming avec Gone with the wind) à savoir faire emboiter la petite histoire dans la grande, celle de ce couple avec la fameuse ruée vers l'ouest, là où les nouvelles terres, souvent riche en matières importantes, attendaient les résidents de ce pays. Et finalement John Ford nous fait passer par tout un panel d'émotion, dès le début l'histoire est rendue intéressante, la construction du récit est remarquable, tout comme la présentation des personnages (notamment pour les trois hors-la-loi). C'est à la fois beau, triste, très drôle, touchant, lyrique ou encore passionnant, que ce soit par son contexte ou l'évolution du récit. Aucun centimètre de pellicule ne laisse indifférent, c'est d'abord intrigant, puis on s'attache très vite aux personnages, souvent surprenants d'ailleurs, comme l'ensemble du récit, ou au contraire d'autres deviennent antipathiques. Ford se montre incroyablement humaniste, notamment dans le portrait des trois hors-la-loi et il en fait ressortir toute la dimension, tout comme un soupçon de mélancolie qui plane sur l'ensemble de l'oeuvre jusqu'à un final bouleversant. Une immense oeuvre, tant dans le fond que la forme et aussi ambitieuse que majestueuse.

Autant en emporte le vent
7.1

Autant en emporte le vent (1939)

Gone with the Wind

3 h 58 min. Sortie : 20 mai 1950 (France). Drame, Historique, Romance

Film de Victor Fleming

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Demeurant toujours le film le plus vu au cinéma dans l'Histoire, Autant en emporte le vent traverse le temps et garde toujours un pouvoir de fascinant, notamment par le biais du contexte de l'oeuvre, mais surtout de deux personnages et comédiens inoubliables et vecteur de nombreuses émotions.

Les Fantastiques Années 20
7.8

Les Fantastiques Années 20 (1939)

The Roaring Twenties

1 h 46 min. Sortie : 27 juillet 1966 (France). Gangster, Drame, Thriller

Film de Raoul Walsh

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Sans lendemain
6.6

Sans lendemain (1940)

1 h 22 min. Sortie : 22 mars 1940. Drame

Film de Max Ophüls

Docteur_Jivago a mis 7/10 et a écrit une critique.

Heureux mortels
6.8

Heureux mortels (1944)

This Happy Breed

1 h 47 min. Sortie : 14 janvier 1948 (France). Comédie dramatique

Film de David Lean

Docteur_Jivago a mis 7/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Lettre d'une inconnue
7.9

Lettre d'une inconnue (1948)

Letter from an Unknown Woman

1 h 27 min. Sortie : 5 novembre 1948 (France). Drame, Romance

Film de Max Ophüls

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Si le terme de chef-d'œuvre n'est pas toujours utilisé à bon escient, il prend tout son sens ici tant Lettre d'une Inconnue est d'une grande force mélodramatique, bénéficiant d'une immense maîtrise de Max Ophüls, dirigeant magnifiquement ses deux comédiens dans une histoire d'une rare sensibilité, élégance ou encore justesse, une histoire touchée par la grâce.

Colonel Blimp
7.7

Colonel Blimp (1943)

The Life and Death of Colonel Blimp

2 h 43 min. Sortie : 15 août 1952 (France). Drame, Guerre, Romance

Film de Michael Powell et Emeric Pressburger

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

L'exemple parfait de la mélancolie liée aux temps qui passe et de l'émotion qui en découle.

Qu'elle était verte ma vallée
8

Qu'elle était verte ma vallée (1941)

How Green Was My Valley

1 h 58 min. Sortie : 25 juillet 1946 (France). Drame

Film de John Ford

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et l'a mis en envie.

Annotation :

Très belle fresque familiale signée John Ford, qui se serait inspiré de sa propre vie pour la mettre en scène. Assez vite on y est immergé, notamment grâce à une parfaite, minutieuse et belle reconstitution de cette contré Irlandaise. John Ford arrive à aborder de nombreux thèmes différents à l'image du travail à la mine, du lynchage, des grève, l'ordre familiale ou encore la place de la religion et tous, sont traités de manière subtile et intelligente sans apporter de lourdeur au récit. Il filme sans point de vue, il observe cette famille, ses joies, déchirements et péripéties et arrive à la rendre passionnante. La mise en scène très propre est parfaitement adaptée à son récit tandis que la photographie est vraiment magnifique. Les acteurs sont très bons, et notamment une sublime Maureen O'Hara qui s'intégre parfaitement à cette ambiance mélacolique, touchante et teintée de rêves...

Boulevard du crépuscule
8.2

Boulevard du crépuscule (1950)

Sunset Boulevard

1 h 50 min. Sortie : 18 avril 1951 (France). Film noir

Film de Billy Wilder

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Nuages flottants
7.9

Nuages flottants (1955)

Ukigumo

2 h 03 min. Sortie : 15 janvier 1955 (Japon). Drame, Romance

Film de Mikio Naruse

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Géant
7.2

Géant (1956)

Giant

3 h 21 min. Sortie : 9 janvier 1957 (France). Drame

Film de George Stevens

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

George Stevens réunit trois remarquables comédiens pour mettre en scène les débuts de la richesse du pétrole, faisant de Géant une passionnante fresque où la petite histoire se mêle à la grande, avec des personnages intrigants, un souffle parcourant l'oeuvre, de l'émotion ou encore de nombreux moments mémorables, du très grand art.

Vivre
8.1

Vivre (1952)

Ikiru

2 h 23 min. Sortie : 31 août 1966 (France). Drame

Film de Akira Kurosawa

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Les Feux de la rampe
7.9

Les Feux de la rampe (1952)

Limelight

2 h 17 min. Sortie : 31 octobre 1952 (France). Drame, Romance, Musique

Film de Charlie Chaplin

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur, l'a mis en envie et a écrit une critique.

La Prisonnière du désert
7.6

La Prisonnière du désert (1956)

The Searchers

1 h 59 min. Sortie : 8 août 1956 (France). Western, Aventure, Drame

Film de John Ford

Docteur_Jivago a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

"On peut voir et revoir maintes fois La Prisonnière du désert, y découvrir toujours plus de sens, et s'y identifier toujours plus profondément. C'est un film d'une richesse inouïe" force est de constater que Martin Scorsese a raison lorsqu'il parle de cette oeuvre. La première chose qui frappe lorsque l'on voit "The Searchers" (mal traduit dans sa version française), ce sont les décors tout simplement somptueux, grandiose et minimaliste à la fois, et comme souvent dans les westerns de Ford, rendant l'humain plus petit et vulnérable. Et puis il y a le personnage d'Ethan Edwards, haineux envers les Indiens dont on se demande même si sa quête n'est pas plus motivé par du racisme que l'envie de retrouver sa nièce, et toute la fin nous donnera cette réponse (et quelle fin ! Superbe). Et la où Ford fait très fort, c'est que l'on a de la sympathie pour ce personnage merveilleusement incarné par John Wayne, alors qu'au final ce n'est qu'un tueur raciste. Mais les Indiens ne sont pas non plus décrit comme des sains, bien au contraire et notamment le chef Commanche, violant et tuants ses victimes. Ford ne prêche pas la bonne parole, ne nous fait pas de morale et c'est tant mieux, il dresse une peinture qui peut faire le lien avec les problèmes racistes des États-Unis dans les années 1950. On notera aussi la présence de la jeune Natalie Wood, jouant cette fameuse prisonnière (et c'est sa soeur Lana qui joue ce rôle enfant). Un très grand western dont la réputation est mérité…

Ce n'est qu'un au revoir
7.5

Ce n'est qu'un au revoir (1955)

The Long Gray Line

2 h 18 min. Sortie : 20 juin 1955 (France). Biopic, Comédie, Drame

Film de John Ford

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Capable de s'attaquer avec brio à de nombreux genres différents, John Ford, avec The Long gray line, met en scène plus de cinquante ans de la vie d'un immigrant irlandais, notamment lorsque celui-ci fréquentait l'école militaire de West Point. À première vue, cet homme ne semblait pas forcément être intéressant pour un biopic mais c'était sans compter l'immense talent de John Ford, capable de faire ressortir les émotions et la richesse de toutes sortes de récit. Il arrive à le rendre intéressant, présentant un homme un peu maladroit, ne sachant guère se battre ou nager mais courageux et très optimiste et on le suit à travers de nombreuses péripéties au sein de cette école et durant trois générations qui verront deux Grandes Guerres. Ford s'intéresse surtout à l'humain et aux émotions, tout en rendant un bel hommage à son Irlande natale et en mettant en avant le temps qui passe, les dilemmes de la vie et la difficulté de celle-ci et de ses épreuves, thématique qui a toujours su me passionner et toucher lorsqu'elle était bien mise en scène. Le metteur en scène de Rio Grande capte avec brio le contexte des époques qu'il met en place, que ce soit dans les moeurs, l'ambiance ou les décors, sachant nous y immerger pour nous donner l'impression d'être aux côtés des personnages.Il signe là son premier film en Cinémascope, procédé qu'il n'aime pas, et pourtant l'effet se ressent aussitôt, bien aidée par un très beau technicolor captant parfaitement, surtout dans la seconde partie, l'atmosphère froide et de temps qui découle. 

L'Homme tranquille
7.4

L'Homme tranquille (1952)

The Quiet Man

2 h 09 min. Sortie : 7 novembre 1952 (France). Comédie dramatique, Romance

Film de John Ford

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

"C'est ma première tentative d'histoire d'amour. Je voulais tourner une histoire d'amour entre adultes"
C'est en 1952 que sort "The Quiet Man" où John Ford nous narre l'histoire de Sean Thornton, un boxeur américain qui revient sur ses terres natales en Irlande.Ici, il met en scène une Irlande plutôt calme et paisible où débarque cet américain ne demandant qu'à être, lui aussi, paisible et vivre au calme. Passionnant de bout en bout, Ford sait prendre le temps lorsqu'il le faut et fait ressortir toute l'émotion des personnages. Il mélange différents genres où l'équilibre est parfait, allant du mélodrame à la comédie en passant par le drame pour donner à son récit une dimension tendre, lyrique et attachante. Plusieurs scènes sont marquantes et là où beaucoup les auraient rendu naïves, Ford sait les rendre belles, simples et touchantes.Lorsque ce n'est pas tourné en studio, il sublime les paysages et les contrées irlandaises qui sont déjà superbes, notamment ses longues campagnes verdoyantes. Visuellement le film est d'excellente qualité, bien aidé par un beau technicolor et une superbe reconstitution (costumes, décors...) Mais Ford sublime aussi ses acteurs, que ce soit John Wayne qui s'avère parfait dans ce rôle ou la belle rousse Maureen O'Hara.

La Fièvre dans le sang
7.8

La Fièvre dans le sang (1961)

Splendor in the Grass

1 h 59 min. Sortie : 31 janvier 1962 (France). Drame, Romance

Film de Elia Kazan

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Le Docteur Jivago
7.6

Le Docteur Jivago (1965)

Doctor Zhivago

3 h 17 min. Sortie : 7 décembre 1966 (France). Romance, Historique

Film de David Lean

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Petite histoire dans la grande, celle d'un docteur libre intellectuellement, poète et attachant et de son amour de toujours puis celui de celle qu'il va rencontrer avec comme fond cette révolution d'abord dans les rues et qui gronde, puis mise en place dans une Russie enlisée dans la guerre et ses conventions. Une fresque romanesque, poignante, lyrique, magnifique et intelligente.

L'Homme qui tua Liberty Valance
8

L'Homme qui tua Liberty Valance (1962)

The Man Who Shot Liberty Valance

2 h 03 min. Sortie : 3 octobre 1962 (France). Western

Film de John Ford

Docteur_Jivago a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

"Quand la légende rejoint la réalité, on publie la légende"… Cette conclusion de John Ford résume pas mal de choses et, avec cete oeuvre immense et crépusculaire, il nous livre sa version des "légendes de l'ouest" et plus précisément sur celle de l'homme qui tua Liberty Valence. Un avocat endosse le mérite d'avoir tué un abject hors-la-loi, puis va mener une brillante carrière politique pendant que le véritable héros décèdera dans la misère et l'alcool. C'est sur son enterrement que le film s'ouvre. Le noir et blanc est sublime, et la mise en scène de John Ford l'est tout autant et il évite toute mièvrerie mal venue. Le scénario est très bien écrit et construit, on est captivé de bout en bout par ce western lent et sublime. James Stewart et John Wayne sont grandiose, comme souvent, Vera Miles est charmante et Lee Marvin est impeccable. John Ford jette un regard froid et cynique sur la construction de son pays, et il en découle un chef d'œuvre.

Le Guépard
7.6

Le Guépard (1963)

Il gattopardo

3 h 06 min. Sortie : 14 juin 1963 (France). Drame, Historique

Film de Luchino Visconti

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

L'Arrangement
7.5

L'Arrangement (1969)

The Arrangement

2 h 05 min. Sortie : 20 mai 1970 (France). Drame, Romance

Film de Elia Kazan

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur, l'a mis en envie et a écrit une critique.

El Dorado
7.2

El Dorado (1966)

2 h 06 min. Sortie : 28 juin 1967 (France). Western

Film de Howard Hawks

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Immense et magnifique western au ton mélancolique et humain, "El Dorado" voit un Howard Hawks au crépuscule de sa carrière qui observe le temps qui passe et en retranscrit toute l'ampleur et la richesse pour un film qui est très loin d'être mineur dans sa pléthorique filmographie.

America, America
7.9

America, America (1963)

2 h 54 min. Sortie : 17 juin 1964 (France). Drame, Historique, Biopic

Film de Elia Kazan

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Baisers volés
7.3

Baisers volés (1968)

1 h 31 min. Sortie : 4 septembre 1968. Comédie dramatique, Romance

Film de François Truffaut

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Avec Baisers Volés, François Truffaut continue d'explorer la vie dans sa globalité à travers son personnage d'Antoine Doinel, de plus en plus attachant, toujours décalé et passionnant dans les aléas simples et complexes qu'il rencontre, en sublimant un récit pour en faire ressortir en profonde légèreté, mélancolie et poésie.

L'Île nue
7.7

L'Île nue (1960)

Hadaka no shima

1 h 34 min. Sortie : 29 novembre 1961 (France). Drame

Film de Kaneto Shindō

Docteur_Jivago a mis 7/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Le Parrain
8.5

Le Parrain (1972)

The Godfather

2 h 55 min. Sortie : 18 octobre 1972 (France). Policier, Drame

Film de Francis Ford Coppola

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Dès les premières secondes, un long plan-séquence, sous une lumière obscure, où l'on découvre Marlon Brando de dos avant que la caméra n'arrive sur son visage, Coppola donne le ton. D’une immense richesse, que ce soit scénaristique (dans les thématiques abordées, les personnages, les liens entre ceux-ci…) ou cinématographique, Le Parrain se révèle remarquable de bout en bout, prenant une immense dimension tragique, immersive et émotionnelle, porté par d’exceptionnels interprètes, et ce jusqu’au final et cette dernière image où le regard de Diane Keaton fait froid dans le dos.

Nous nous sommes tant aimés !
7.9

Nous nous sommes tant aimés ! (1974)

C'eravamo tanto amati

2 h 04 min. Sortie : 5 mai 1976 (France). Comédie dramatique

Film de Ettore Scola

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Que le spectacle commence...
7.6

Que le spectacle commence... (1979)

All That Jazz

1 h 58 min. Sortie : 16 juillet 1980 (France). Drame, Comédie musicale, Musique

Film de Bob Fosse

Docteur_Jivago a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Une fascinante, bouleversante et brillante vision auto-biographique du monde du spectacle, où l'on passe par tous les sentiments à travers le portrait d'un chorégraphe usé, campé par un inoubliable, mélancolique et très émouvant Roy Scheider.

Solaris
7.7

Solaris (1972)

Solyaris

2 h 47 min. Sortie : 27 février 1974 (France). Drame, Science-fiction

Film de Andreï Tarkovski

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Barry Lyndon
8.1

Barry Lyndon (1975)

3 h 04 min. Sortie : 8 septembre 1976 (France). Drame, Historique, Aventure

Film de Stanley Kubrick

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Et si la perfection cinématographique existait ?
On en est pas loin en tout cas avec Barry Lyndon, où tout semble parfait, des cadres aux personnages en passant par le souffle, l'émotion ou encore le contexte historique. Kubrick signe là une immense oeuvre, passionnante, tant à regarder qu'à analyser.

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