La saga 007

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Un sommet du film d'espionnage ! Mais pour définir la saga, un seul Bond ne suffit pas.

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L'un des enfants légitimes de BONS BAISERS DE RUSSIE. Audacieux, adulte et déroutant.

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George Lazenby n'a pas vraiment de charisme, mais le scénario est suffisamment riche et les seconds rôles réussis (Diana Rigg, Telly Savalas) pour propulser cet épisode dans le peloton de tête.

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Un retour aux sources salvateur après 6 ans de "brosnâneries".

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Introduction solide à l'univers de James Bond. Paysages paradisiaques, "créatures de rêves" (comme on disait à l'époque), antagoniste mégalomane... Quant à Bond, il n'a jamais été aussi âpre. La première pierre d'un immense édifice.

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Conspué à sa sortie, cet opus est un brouillon de ce qui fera le succès des épisodes de Daniel Craig. Ce Bond-là est dangereux !

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Probablement l'un des premiers films d'action à grande échelle même si certaines séquences accusent forcément le poids des ans.

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Le film qui a définitivement ancré 007 dans la culture populaire. L'Aston Martin fait une entrée fracassante dans la franchise mais Bond paraît davantage spectateur de l'action qu'à l'accoutumée. Un peu moins classe que les films de Terence Young mais un grand film tout de même.

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Gadgets à foison, base secrète, ninjas, quelques scènes dans l'espace... Lewis Gilbert nous gratifie d'un des épisodes les plus jouissifs et décomplexés de la saga. Avec Donald Pleasence dans le rôle de Blofeld.

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Une élégante porte de sortie pour le Bond de l'ère Daniel Craig ! Il s'agit ni plus ni moins que du film que nous étions en droit d'attendre après SKYFALL. A la fois respectueux des codes de la franchise (sans sombrer dans le fan service bête et discipliné) et soucieux d'apporter une vision inédite, MOURIR PEUT ATTENDRE n'est certes pas un film parfait, mais il demeure un épisode nerveux, spectaculaire et touchant. Et ça, c'est déjà bien mieux que SPECTRE.

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Lewis Gilbert "remake" son ON NE VIT QUE DEUX FOIS en remplaçant les fusées par des sous-marins. Résultat : un film tout aussi excentrique et jouissif que son aîné. Avec Requin (Jaws), l'inoubliable homme aux dents d'acier.

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Le retour du James Bond adulte, plus fidèle à son alter-ego littéraire. Une nécessité après les ravages des derniers épisodes de Roger Moore.

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Deuxième épisode pour Sam Mendes. Moins réussi que SKYFALL, cet épisode convoque les ingrédients mythiques de la saga, surtout ceux de l'ère Sean Connery, citant par deux fois le sacro-saint BONS BAISERS DE RUSSIE. Malheureusement, les scènes d'action manquent de souffle et le jeu des acteurs n'est pas toujours à la hauteur (Christoph Waltz est décevant en Blofeld). Un épisode à la facture trop classique qui n'évite pas quelques fautes de goût.

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James Bond à Las Vegas ! Les ingrédients qui ont fait le succès de la saga sont toujours au rendez-vous, mais Sean Connery n'y croit plus. Reste un sympathique divertissement.

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Roger "Bond" Moore contre Christopher "Scaramanga" Lee : un duel au sommet qui fait oublier les faiblesses flagrantes de l'intrigue.

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Première incarnation du célèbre agent secret par Roger Moore. Le ton est sérieux mais certaines fautes de goût sont impardonnables (voir la fin du "méchant"). L'épisode "blaxploitation" de la série.

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Un scénario indigent mais le ton y est. Première apparition de l'organisation Quantum qui laisse entrevoir l'ombre du SPECTRE (en attendant que la production récupère les droits pour utiliser légalement le nom de la célèbre organisation criminelle). A voir comme un épilogue de CASINO ROYALE (2006).

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Un Pierce Brosnan bien trop poseur, une Izabella Scorupco trop fade et une musique insupportable signée Eric Serra ne rendent guère justice à cet épisode qui a pourtant fait grand bruit à sa sortie. Reste une Famke Jansen tout de même impressionnante en "villaine" sado-maso.

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Un épisode passe-partout, ni franchement réussi, ni franchement mauvais. La "James Bond girl" Michelle Yeoh a de quoi rivaliser avec 007. Les années 90 n'étaient définitivement pas faites pour Bond (à moins que ça ne soit l'inverse).

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La première parodie de James Bond, bien avant AUSTIN POWERS. C'est drôle, très "swinging sixties", mais aussi parfois très lourdingue. On retiendra tout de même son casting 3 étoiles.

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Remake d'OPÉRATION TONNERRE très en-deçà du film original. Mais face à OCTOPUSSY sorti la même année, il n'y a pas photo : "Sean Connery does it better!"

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Un récit d'espionnage pas inintéressant, mais niveau excitation visuelle, ça frôle le néant. Roger Moore commence vraiment à se faire vieux pour ces conneries.

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Papy fait de la résistance ! Le quasi-sexagénaire Roger Moore veut nous faire croire qu'il peut être le héros d'un film d'action branché des 80's. Résultat : le plus nanar de tous les 007. Ringard mais marrant !

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De bonnes idées (le duo de méchant Carlyle/Marceau) diluées au sein d'un grand n'importe quoi (et je ne parle pas de Denise Richards). Une occasion manquée de renouveler la franchise !

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De bonnes idées (James Bond abandonné par le MI6) diluées au sein d'un grand n'importe quoi (tout le reste du film). Une porte de sortie glaciale pour Pierce Brosnan !

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James Bond veut rivaliser avec STAR WARS... Mon Dieu !

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Sorti la même année que JAMAIS PLUS JAMAIS, cet épisode aurait dû s'appeler TROP C'EST TROP. Malgré une première partie plutôt intéressante, il s'agit définitivement d'un épisode dispensable pour tonton Roger. Et le plus triste c'est que ce n'est pas son dernier.

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Feuilleton diffusé en direct à la TV américaine... ça limite niveau mise en scène. Cette version s'attarde sur la confrontation entre Bond et Le Chiffre à la table de Baccara et en propose probablement la version la plus fidèle au livre. Cependant, les limites techniques et un "Jimmy" Bond américanisé ne jouent guère en faveur de cette version. Reste Peter Lorre, impeccable en Le Chiffre, qui aurait fait un excellent méchant de la saga officielle.