Journal de bord de mes écoutes 2021

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Plusieurs écoutes m'ont été nécessaire pour véritablement apprécier cet album et y entendre toutes ses subtilités. Car oui Fleet Foxes ne révolutionne pas sa recette originale de folk/ballade ambiant qu'il maitrise à la perfection. Tellement bien rodé que la première écoute avait été pour moi assez ennuyeuse. Mais au fur et à mesure, on se laisse encore bien emporter par ces compositions plus complexes qu'ils n'ont l'air et le groupe enrichit sa musique d'influence subtile comme dans Going-to-the-sun road avec son final au chant de bossa. Beaucoup de ballade dans cet album qui ne demande qu'à murir dans nos oreilles au fur et à mesure de nos écoutes.
Titre favori: Quiet Air/ Gioia https://www.youtube.com/watch?v=59aZZnDgV-k

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En vérité je ne m'en rappelle plus beaucoup de cet EP. Pas son meilleur en tout cas.

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Il fallait bien que je réécoute du MF Doom après avoir appris la mort de ce grand MC. J'étais passé complétement à coté de cette triste nouvelle. Certains critiquent le flow de MF Doom, pas assez bien calé sur les beat peut-être. Mais c'est pourtant ce qui fait son charme et sa particularité ! Un flow faussement nonchalant et reconnaissable entre tous.

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Toujours aussi bon ce Colter Wall, digne héritier de Johnny Cash et Hank Williams.

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Une Soul/Funk bien sympathique surtout dans la première partie de l'album.

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Ca valait presque un 8 mais même si la prod' est un parti pris je trouve ça dommage de faire un son aussi plat pour du Death/Grind qui reste bon mais ne révolutionne pas le genre.

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Réécoute d'un classique des bouchers américains. Ça fait du bien de retourner aux bases !

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Un jeu très riche et une énergie peu commune qui font penser à un Dave Graham mais en un peu moins bien.

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Retour sur un des classiques du groupe Jedi Mind Tricks, pas grand chose à lui reprocher mais ça ne sera pas celui que je préfère même si Speech Cobras défonce tout avec ce fond de basse oh là là ! : https://www.youtube.com/watch?v=VrMi2kNDtQI

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Découvert l'année dernière avec A Son, on y retrouve ici un peu les prémisses dans un ambient mélancolique qui m'a personnellement conquis.

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Deuxième album pour moi de Frankie Cosmos avec juste la frustration de morceaux très court mais cela permet peut-être aussi d'éviter la monotonie d'un album dont la fragilité artistique fait autant son charme et que son défaut. J'ai choisi de n'y voir que le charme.

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Miles Davis - trompette, orgue
Sonny Fortune - saxophones soprano et alto sax, flûte
Pete Cosey - guitare, synthétiseur, percussions
Reggie Lucas - guitare
Michael Henderson - basse
Al Foster -Batterie
James "Mtume" Forman - congas, percussions, water drums, boite à rythme

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Miles Davis (trompette),
Wayne Shorter (saxophone ténor),
Herbie Hancock (piano),
Ron Carter (contrebasse) sauf titre 9: Buster Williams,
Tony Williams (batterie)

Titre 7, Nothing Like You arrangé par Gil Evans, enregistré le 21 août 1962 par :
Miles Davis (trompette),
Wayne Shorter (saxophone ténor),
Frank Rehak (trombone),
Paul Chambers (contrebasse),
Jimmy Cobb (batterie),
Willie Bobo (bongos),
Bob Dorough (voix).

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Miles Davis - trompette
Wayne Shorter – saxophone soprano
John McLaughlin – guitare électrique
Herbie Hancock – piano électrique
Chick Corea - piano électrique
Joe Zawinul - orgue et piano électrique
Dave Holland - contrebasse
Tony Williams - batterie

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Miles Davis (trompette),
Wayne Shorter (saxophone ténor),
Herbie Hancock (piano, titres 2, 3 & 4, piano électrique, titres 1 & 2),
Ron Carter (contrebasse, titres 2, 3 & 4; basse, titre 1),
Tony Williams (batterie),
George Benson (guitare électrique) titre 2

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Miles Davis – trumpet
George Coleman – tenor saxophone
Herbie Hancock – piano
Ron Carter – double bass
Tony Williams – drums

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Retour sur l'un des premiers groupes de black metal que j'ai écouté dans ma vie, pourquoi j'ai mis autant de temps à m'y remettre ? Je ne sais pas.

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Là c'est du lourd, rien à dire. Je suis revenu au Jedi Mind Tricks plus ancien, moins hardcore mais avec des flows bien assurés.

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Album que même certains puristes du début du groupe death metal américain ont tendance à réhabiliter.

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Hank Mobley c'est ce saxophoniste qui vous fait revenir au base avec un jeu qui ne révolutionne rien mais qui vous emmène loin dans des balades jazzy au milieu d'un club de jazz enfumé.

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Un classique du rock 60' enfin écouté de bout en bout. De petit moment de faiblesse mais des balades qui rattrape bien le tout et un titre inaugurale mémorable: For What It's Worth https://www.youtube.com/watch?v=80_39eAx3z8

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Enregistré en 1967, c'est un bijou méconnu que Hank Mobley nous offre accompagné entre autre de Lee Morgan à la trompette et Cedar Walton au piano et d'une découverte pour moi, le guitariste Sonny Greenwich.

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Hank Mobley – tenor saxophone
Woody Shaw – trumpet, flugelhorn
LaMont Johnson – piano
George Benson – guitar
Bob Cranshaw – bass
Billy Higgins – drums

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L'œuvre pour piano de Philip Glass est l'une des plus bouleversantes que l'on puisse écouter. L'enregistrement et le jeu plein de subtilité de Olivia Belli s'adapte à merveille ici à l'écriture du compositeur.

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Découverte pour moi d'une pianiste avec des compositions simples mais avec un touché subtil et magnifique

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Un album classique de chez classique, pour piano. Il faudra surement écouté d'autres interprétations de cette pianiste pourtant assez réputée pour mieux explorer son talent. Le choix des morceaux est une sorte de best-of du genre, style "les classiques de la musique classique au piano pour les nuls". Ce qui pourrait être bien et d'ailleurs sauve l'album, pas du tout désagréable à écouter mais j'ai par exemple déjà entendu des interprétations plus subtiles des Gymnopédies de Satie.

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Un album incroyable avec des performances incroyables notamment du grand Eric Dolphy. Des compositions avant-gardiste mais largement abordable même pour les non-initiés. Ron Carter au violoncelle et Joe Benjamin à la contrebasse mélangent à merveille picking et jeu à l'archet. Découverte de l'incroyable Booker Ervin au saxo tenor et Charlie Persip à la batterie (j'ai cru un moment entendre Art Blakey même si ce dernier reste quand même un niveau au-dessus pour moi). Bref juste une grosse claque pour moi.
Mal Waldron – piano
Eric Dolphy – alto saxophone, clarinet
Booker Ervin – tenor saxophone (tracks 1-4, 6 & 7)
Ron Carter – cello
Joe Benjamin – bass
Charlie Persip – drums

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Booker Ervin - tenor saxophone
Zoot Sims - tenor saxophone
Tommy Turrentine - trumpet
Tommy Flanagan - piano
George Tucker - bass
Dannie Richmond - drums

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Mouais pas mal mais un peu décevant pour un saxophoniste que j'apprécie pourtant beaucoup mais le jeu est un peu naïf par moment. La tabla indienne apporte beaucoup par contre pas trop fan du jeu de guitare de John Parricelli.