"Je suis né pour te connaître, pour te nommer LIBERTE!"

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film sorti en 1935

"Errol Flynn a l'élégance innée. Le regard impétueux, sourdement fier et révolté, monté sur un visage entier digne d'un super-héros de comics. Et, pour passer de médecin à esclave, d'esclave à pirate et de pirate à Gouverneur, il n'en fallait pas moins : la trajectoire fantastique du personnage fait tout le sel romanesque (et romantique, vive les beaux yeux de Olivia de Havilland) de l'aventure. Entouré des décors fantasmagoriques de studio, il croise, tantôt les bandages pour sauver l'opprimé, tantôt le fer pour s'opposer à la tyrannie du belliqueux capitaine Levasseur..."

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Merci Docteur_Jivago

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"Après sa sortie de prison, Eddie Taylor ne peut profiter d'un répit. Accusé à nouveau d'un meurtre qu'il n'a pas commis, il est emprisonné à tort. Alors que la justice se rend compte de son erreur, Eddie Taylor s'évade. Il devient un véritable meurtrier en abattant un curé. Il doit partir en cavale avec sa femme Joan et son bébé. Une fuite éperdue qui ne lui laisse aucun répit."

Merci Docteur_Jivago

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Une guerre toujours présente par la mise en scène, les décors, les sons et la narration mais une guerre qu'on ne verra jamais avec sa dure réalité.
La première scène ne laisse d'ailleurs pas de surprendre par son côté presque insouciant et ludique dans un tel cadre : un disque tourne tandis que s'égrène l'air bien connu de Frou-Frou que reprend Gabin de sa voix gouailleuse, regard voilé et sourire vaguement mélancolique.

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"Si le film est une telle réussite et jouit encore d’une réputation sans faille, c’est évidemment grâce au scénario de John Huston, à l’interprétation de Bogart et dans une moindre mesure à celle d’Ida Lupino. Mais tout cela ne serait rien sans le talent de Raoul Walsh. Le réalisateur qui fut d’abord acteur chez Griffith, est définitivement passé derrière la caméra depuis la mésaventure qui lui fit perdre un œil."

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"A une époque où le cinéma américain se définissait par « genres », Les Démons de la liberté surprend comme une oeuvre inclassable. Au départ tiré d'une histoire banale de ­détenus obnubilés par l'évasion, il gagne vite en profondeur, mélangeant l'expressionnisme du film noir et l'emphase du film politique.
Car le propos de Jules Dassin dépasse l'action pure au profit d'une description étouffante du quotidien. Le réalisateur s'attarde ainsi surtout sur l'inhumanité d'un univers gouverné par la fatalité, symbole paroxystique d'une société d'entraves d'où « personne ne s'évade jamais »."

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"Marseille, 1814. Le trois-mâts Le Pharaon, appartenant à l'armateur Morel, revient d'un voyage commercial aux Indes. Le lieutenant Edmond Dantès, en a pris le commandement après la mort du capitaine Leclerc. Le poste aurait dû revenir au second Caderousse, mais l'équipage n'a pas voulu de cet officier toujours ivre. Celui-ci en a conçu un vif ressentiment envers Dantès. À peine débarqué, Dantès va rejoindre sa fiancée, Mercédès..."

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"Le film raconte l'histoire de prisonniers américains dans un camp allemand (le "stalag 17") pendant la Seconde Guerre mondiale qui tentent de débusquer un traître dans leurs rangs et de s'évader."

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"D'une façon minoritaire dans l'œuvre de Mizoguchi, c'est ici par son sujet et ses personnages, un film plus masculin que féminin ; et l'oppression qu'il dépeint touche autant les hommzs que les femmes, les enfanst que les adultes. A travers les malheurs de Tamaki, de Zushio et d'Anju, Mizoguchi a voulu décrire l'aube des valeurs morale à une époque où elles ne sont pas encore des valeurs objectives mais seulement le parti pris de quelques uns (ex. le père de Zushio)."

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Sous l'Occupation, le lieutenant Fontaine de l'Armée Secrète est arrêté par les Allemands et condamné à mort. Dans sa cellule, il attend chaque jour son exécution. Son seul espoir, l'évasion. Commencent alors dans l'angoisse, les minutieux préparatifs techniques. Il aiguise une cuiller, attaque la porte, confectionne des cordes, des crochets. L'action se précipite. Enfin, il réussit à s'évader entraînant avec lui son nouveau compagnon de cellule. Un chef-d'oeuvre signé Robert Bresson."

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"En 1943, un régiment anglais interné dans un camp de prisonniers en Birmanie est affecté a la construction d'un pont en pleine jungle. Après s'être opposé à ce projet, le colonel cède aux exigences japonaises. Il ignore que les Américains préparent le dynamitage du pont..."

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"Le film est salué comme étant le meilleur film de Jacques Becker ; il est salué comme un chef-d'œuvre par François Truffaut. L'attention donnée aux détails des préparatifs de l'évasion éclipse presque le jeu des acteurs pour donner au film un caractère de documentaire."

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"Capturée par des soldats français du parti adverse devant Compiègne puis vendue aux Anglais, Jeanne d'Arc est emprisonnée depuis plusieurs mois dans une chambre du château de Rouen.

Elle comparaît devant un tribunal composé presque exclusivement de membres de l'université anglophile de Paris, présidé par l'évêque Cauchon."

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“ Oeuvre touchante sur l'univers carcéral et la quête de rédemption inspiré de la vie de R. Stroud parfaitement interprété par B. Lancaster. ”

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"La grande évasion est l'histoire vraie d'une des plus grandes évasions en masse de prisonniers de guerre de la deuxième guerre mondiale. L'action se situe au Luft Stalag III, un camp allemand de prisonniers de guerre placé sous contrôle de la Luftwaffe et situé à Sagan (aujourd'hui en Pologne), à environ 150 km au Sud Est de Berlin.
Le camp avait été établi pour les aviateurs alliés capturés et était censé être mieux gardé que d'autres camps de prisonniers en raison du regroupement dans ce camp d'un certain nombre de spécialistes de l'évasion plusieurs fois évadés et repris."

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"Dénonciation impitoyable du racisme qui anime une petite ville du Texas, La Poursuite impitoyable, dominée par l’interprétation de Marlon Brando, n’a rien perdu de sa force."

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"Vive dénonciation du traitement des détenus dans les prisons et du fonctionnement de la justice, Luke la main froide est aussi le portrait juste et sensible d’un incompris (magistralement interprété par Paul Newman) et de ses rapports biaisés et sans issue avec son entourage."

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"Henri "Papillon" Charrière, un malfrat de petite envergure, est jugé à tort pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Celui-ci est condamné à vie dans une prison d'une colonie française : le bagne de Cayenne. Mais Papillon n'a qu'une seule idée en tête : s'évader. Malheureusement, ses régulières tentatives sont toujours restées sans réussite. Devant son acharnement, les dirigeants l'envoient sur Devil's Island, une prison dans la prison, dont jamais personne n'a réussi à s'échapper. Une épreuve terrible pour Papillon, qui découvre l'enfer de l'environnement carcéral..."

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"Jay Wagner, un homme d'affaires américain, est injustement accusé d'un meurtre et incarcéré dans une prison au Mexique. Son épouse engage Nick Colton, un pilote d'hélicoptère aguerri, pour libérer son mari..."

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"1963. Afin d'échapper à la prison, le facétieux Randle Patrick McMurphy (Jack Nicholson), 38 ans, se fait passer pour fou après un viol. Interné dans un asile, il découvre une galerie de personnages attachants, dont Big Chief (Will Sampson), un Indien gigantesque qui se fait passer pour sourd-muet, Martini, un débile léger (Danny De Vito), Billy Bibbit (Brad Dourif), bègue et suicidaire ou encore Charlie Cheswick (Sydney Lassick), qui souffre de peurs paniques. Ils sont tous chaperonnés par une infirmière très sévère, Miss Mildred Ratched (Louise Fletcher)..."

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"Billy Hayes est un jeune Américain arrêté et emprisonné pendant quatre ans à Istanbul, pour avoir transporté quelques sachets de haschich. Avec certains de ses compagnons de geôle, il essaye de nombreuses fois de s’évader et subit de nombreux outrages en représailles."

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"Face à San Francisco, se dresse l'ilot d'Alcatraz, célèbre pénitencier dont on ne s'échappe pas. Pourtant en 1962, après deux années d'un régime implacable, un prisonnier d'une intelligence supérieure, Frank Morris, aidé de trois complices, John, Clarence et Charley, va minutieusement préparer un ambitieux plan d'évasion..."

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"En 1942 à Java, le Capitaine Yonoï dirige un camp de prisonniers de guerre. La liaison entre geôliers japonais et détenus anglais se fait grâce au Lieutenant-Colonel Lawrence, un ancien diplomate. Un jour arrive un nouveau prisonnier, le Major Jack Celliers. Yonoï très «sensible» au charme de l'Anglais, se met en devoir de rallier les deux hommes à sa philosophie."

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"Une oeuvre troublante avec les jeunes stars d'alors, Matthew Modine et Nicolas Cage . Un scénario "flash-back / présent" très bien pensé, le film se propose de rendre hommage aux soldats US de l'après-guerre du Vietnam en affichant les séquelles que sont le choc psychologique et les blessures physiques. Un film qui traite aussi de l'amitié."

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"Une évasion laconique, en noir et blanc, moite et décalée, qui rend un magnifique hommage au cinéma de Wim Wenders."

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"Ce film de prison s’impose comme un maître-étalon du genre grâce à son atmosphère pesante et sa réflexion audacieuse sur toute forme d’emprisonnement. Tétanisant.
La vie de petits malfrats et de grands criminels dans une prison ultra-moderne construite en plein désert australien."

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"Seule survivante d’un carnage sur une planète lointaine, Ripley s’échoue sur Fiorina 161, planète oubliée de l’univers, balayée par des vents puissants.
Une communauté d’une vingtaine d’hommes y vit. Violeurs, assassins, infanticides, ce sont les plus dangereux détenus de droits communs de l’univers. L’arrivée de Ripley va les confronter à un danger qui sera plus fort qu’eux."

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"Au Nom du Père, raconte l’histoire vraie, le scandale d’une incroyable bavure judiciaire, en s’appuyant sur le livre autobiographique « Proved Innocent » de Gerry Conlon, l’un des Quatre de Guildford."
Magnifique interprétation de DDL

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http://www.senscritique.com/film/Les_Evades/critique/7403831

Critique de Samu-L

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William Wallace : Tous les hommes meurent un jour, mais peu parmi eux vivent vraiment.