J'ai pas eu le même engouement

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On m'a toujours présenté ce film comme le plus grand chef d'oeuvre de toute l'histoire du cinéma et il trust d'ailleurs les plus grands classements (si tant est que j'en ai quelque chose à faire de ces classements).
Effectivement, la technique mise en avant sur le film est bluffante, la patte d'Orson Welles fonctionne bien mais j'ai été quelque peu déçu par le déroulement de l'histoire et encore plus par son dénouement. Et oui je suis conscient de tous les easter eggs qui se cachent derrière ce film et non je ne pense pas que ce film possède tous les attributs pour être au-dessus. Je considère la Soif du Mal de ce même Orson bien supérieur notamment au niveau de la tension.

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Ah je sens que je vais me faire découper en 6 par la garde royale de SC avec l'étiquette que je colle à Persona. Ma première expérience avec Bergman a été compliquée. Sans comparer les deux films, j'avais plutôt apprécié Eraserhead de Lynch et donc je me suis dit que j'étais fin prêt pour d'autres films expérimentaux. Ouais mais non. Il m'a été difficile de rester concentrer tout du long même si la qualité de la musique, du montage et certains plans sont à saluer.
Le fait d'avoir beaucoup aimer le Septième Sceau me poussera peut-être à revoir Persona pour me faire une autre idée mais pour l'instant, c'est niet.

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Vu à l'occasion des CinéClassics au festival de Cannes en version restaurée 4K malgré une climatisation insupportable... il m'a fallu lutter pour ne pas m'endormir et pourtant je suis assez résistant. Plus que le style japonais, c'est le style d'Ozu avant tout qui m'a gêné ici.

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Très plat, très engagé mais à aucun moment l'histoire m'a touché alors que son sujet est plutôt grave.

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Symbole du film d'enfance, je n'ai malheureusement jamais réussi à rejoindre les avis très positifs sur ce Spielberg culte. Un peu trop de naïveté à mon goût.

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Je connaissais déjà la réputation sulfureuse de Ferrara, mais je me suis dit qu'avec Harvey Keitel en tête d'affiche, ce policier pouvait me plaire. Que nenni, je suis tombé sur un film ultra malsain et inintéressant avec des personnages antipathiques au possible. A oublier.

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Je pense que c'est difficile de faire plus "cul-cul la praline". Bon c'est vrai que quand on a une tante et des cousins qui vous poussaient à regarder ce film pour la 15ème fois, je ne suis pas devenu ami avec la peuplade du Kansas.

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Dernière grosse déception qui vient du maestro Scorsese à ma plus grande tristesse... Je me suis terriblement ennuyé devant ce fouilli scénaristique sensé donné lieu à une comédie dramatique.

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On me l'a vendu comme le meilleur Godard donc j'ai voulu découvrir le bonhomme avec l'ami Pierrot surtout que j'adore Bebel. J'ai beau eu faire des efforts, je n'adhère pas au style pompeux et arrogant de "Dieu". L'esthétisme est certes bien travaillé et certains plans sont techniquement très beaux mais il a été difficile pour moi d'accrocher à cette histoire qui n'a aucun fil. Le montage (image et son) et le jeu des acteurs tous deux sabotés délibérément m'ont grandement agacé. C'est plus de l'expérimental que des films dits de la Nouvelle Vague. En tout cas j'apprécie beaucoup plus le travail de Truffaut. En bref, je pense pas me mater un Godard avant un bon bout de temps.

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Plutôt agréablement surpris par l'adaptation américaine en série sur la chaîne TNT, j'étais assez curieux de voir le film d'origine dont j'avais lu des avis très positifs. Force est de constater que le rythme du film est compliqué à encaisser et j'ai de surcroît eu du mal à m'accrocher aux personnages que j'ai du coup trouvés sous-développés. Bien sûr, le fait d'avoir vu la série avant y est pour quelque chose, mais je n'ai pas réellement été conquis outre mesure par ce film australien indépendant.

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Pas forcément un grand fan du cinéma nombriliste de Sean Penn, les critiques dithyrambiques sur Into the Wild m'ont poussé à le regarder. Mais si l'on enlève la bonne performance d'Emile Hirsch et les paysages magnifiques, j'ai du mal à fermer les yeux sur l'ennui dans lequel j'ai été enfermé pendant une bonne partie du film.

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Un film qui sois-disant doit faire la part belle au jazz mais qui ne joue pas de morceaux de jazz, c'est un peu embêtant. L'histoire reste assez convenue et m'a quelque peu déçu malgré une photographie soignée et une mise en scène de Chazelle tout à fait àgréable.

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Une période qui m'intéresse particulièrement et qui est rarement présentée dans les documentaires. J'aime beaucoup Michael Fassbender, je pense que c'est l'un des acteurs les plus talentueux de sa génération. Mais c'est plutôt la façon dont le film se met en place (se met-il vraiment en place) qui me pose un problème. Je me suis terriblement ennuyeux devant le film de McQueen et je n'ai pas du tout été atteint par le personnage qu'il a voulu mettre en exergue.

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David Lowery, tu te toucherais pas un peu trop avec ton film en 4/3 et ta tarte aux pommes ?

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A ma plus grande surprise, je n'ai pas du tout adopté l'humour de ce Monty Python réputé culte et doté d'un groupe de fans pléthorique...

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Un des films les mieux notés sur ce site et une moyenne de 9,1 chez mes éclaireurs. Aucune excuse pour ne pas découvrir cette fresque de Kobayashi. Et si les choix de mise en scène et les personnages sont particulièrement biens, je me suis encore une fois ennuyeux comme un rat mort. Je pense que cela vient surtout de moi, j'ai tout simplement encore du mal avec le cinéma japonais. Mais je vais persévérer, après tout j'avais plutôt bien aimé Rashômon sans pour autant l'adorer.

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Un film ultra convenu, chiant au possible et qui ne dégage aucun suspense alors que les films journalistiques doivent jouer dessus. On sent qu'il a été fait en deux minutes en attendant que la post-production de Ready Player One se termine. Spielberg réussit pourtant à avoir son film nominé pour les Oscars, n'importe quoi.

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Première déception chez Lumet. Encore un film très réputé chez mes éclaireurs et acclamé par les critiques qui m'a laissé sur le carreau. J'ai trouvé John Cazale insupportable et je n'ai pas du tout été touché par l'histoire de ces deux mecs. Serais-je sans coeur ?

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Déçu par Inárritu que j'affectionne beaucoup. Un film beaucoup trop lourd pour ce qu'il a à raconter. Et oui sans coeur je vous dis.

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Le fait que je déteste le gars qui a écrit le bouquin duquel ce film a été tiré n'a pas arrangé les choses. Je reste quand même surpris par la moyenne qu'il trouve ici.

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Le film mérite un nouveau visionnage mais je ne me souviens qu'il ne m'avait pas tellement enchanté à l'époque.

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J'ai été très déçu par ce Her qu'on m'avait vendu par monts et par vaux. L'interprétation de Joaquin Phoenix tout en subtilité et douceur est à saluer, la construction scénaristique est elle aussi à souligner. Mais l'histoire m'a quelque peu laissé sur ma faim. Au bout de plusieurs films qui traitent de l'intelligence artificielle, on devient peut-être un peu compliqué. J'ai trouvé la première heure très longue à mettre les choses en place et on peut regretter des retournements de situation un peu trop téléphonés.
En revanche, j'ai particulièrement apprécié la scène avec Portia Doubleday où Theo et Samantha tentent d'avoir une relation sexuelle. Cette scène ressemble fortement à la scène d'amour "numérisée" entre K et Joi dans BR 2049. Pas de doute que Villeneuve a apprécié le film de Jonze.
Pas sûr malgré tout que je revisionne ce film tout d'aussitôt.

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Pfiou difficile d'émettre de (grosses) réserves sur un film qui a tendance à faire consensus un peu partout. Je précise d'abord que je découvre le cinéma coréen et que je suis encore loin d'être un spécialiste. De Park Chan-wook, je ne connais que Old Boy et j'avais déjà apprécié l'esthétique et la mise en scène intéressante de ce dernier.
La patte de PCW se revérifie pour Mademoiselle. La mise en scène est léchée, on assiste à toute une palette technique qui n'est pas pour autant pompeuse. Les décors et les costumes sont magnifiques mais c'est toute la photographie et les partis pris esthétiques qui sont à saluer. La bande originale est très belle et colle parfaitement à l'histoire. Le découpage en trois parties avec le changement de point de vue est intéressant mais il possède aussi des inconvénients puisqu'on perd de vue certains pans du scénario.
Mon gros point noir repose sur l'aspect érotique du film... embêtant vu qu'il s'agit d'une histoire d'amour. Je trouve que toutes les parties saphiques et SM ne sont pas nécessaires tout comme la scène de torture gratuite. Pour moi ça gâche le film, les scènes d'amour auraient dû rester suggérées comme lors de la scène du bain. J'ai eu du mal à vraiment ressentir des émotions vis à vis des personnages ce qui rend la tâche difficile pour l'appréciation générale du film. Et malgré tous les points positifs précédemment cités, je me suis un poil ennuyé à certains moments.

Je suis le premier à être déçu de ne pas partager l'engouement général pour ce film.