Gerardmer 2019

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Film d'ouverture, je m'attendais à quelque chose d'efficace et de convenu. Ça a parfaitement fait ce qu'on attendait de lui. On l'aura oublié dans 3 mois.

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Un docu dont la présentation qui précédait laissait espérer un regard particulièrement nippon sur le cinéma de genre français. Il n'en est rien, ce prisme n'est que très peu exploité.
On est contents d'entendre les représentants de la Nouvelle Vague du Cinéma d'Horreur Français raconter leur parcours, mais ça n'est pas très bien monté (un son assez inégal et parfois mal enregistré) et ça part du principe que le spectateur a vu l'intégralité des œuvres dont il est question.
Et aussi, ne faites pas parler en anglais des Français qui ne maitrisent pas leur expression orale dans la langue s'il vous plait, c'est douloureux pour tout le monde.

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C'est globalement fourre-tout (beaucoup BEAUCOUP de thèmes abordés en moins de deux heures) mais j'ai apprécié la façon dont Pella Kågerman et Hugo Lilja nous racontent cette société du futur, qui emprunte à Wally et à l'animisme (entre autres).
Mon regret aura été de le voir en salle au rang en-dessous de gens qui ont la maturité intellectuelle de collégiens.

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Ce film aborde des thèmes plutôt durs avec beaucoup de justesse sans tomber dans le pathos, les deux personnages sont attachants mais c'est peut-être un peu mou. Réalisateurs à suivre en tous cas.

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J'en attendais beaucoup au niveau des thématiques sociétales. It delivers.
Mais la fin m'a un peu laissée sur le côté.

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C'est court mais ça arrive quand même à être répétitif. Rajoutez à ça qu'on sait où ça va, on n'en gardera pas un souvenir impérissable.
Le film aura eu le mérite de me faire découvrir Jack Foley et son samouraï bun et ça, je prends.

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Un très bon film d'action, un très mauvais film de romance.

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La mycophile en moi a forcément apprécié les maquillages (qui ne sont pas sans rappeler les créatures de The Last Of Us). Bon, l'héroïne qui n'a pas étudié les zombies avant de sortir de sa ville protégée, j'ai pas trop tendance à m'y identifier.

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Comme le film d'ouverture, c'est totalement convenu et lisse. Ça n'a même pas le mérite de nous proposer une bonne montée en tension.

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Sûrement le film que j'ai préféré sur ce festival, avec Aniara, même si c'est peu original (ça emprunte à Heroes et ce genre de divertissement). Les personnages du père et du grand-père me plaisaient bien.

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C'est chiant, c'est lent, c'est convenu et c'est beaucoup trop long.

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Je voulais l'aimer ce film, mais je n'ai pas réussi à vraiment rentrer dedans. C'est bien joué et ça n'hésite pas à faire prendre de la drogue à ses protagonistes (merci le Royaume-Uni) mais, à un moment, t'as l'impression que le réal n'avait rien d'autre à raconter alors il fait reprendre un rail de coke à ses personnages.

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Fidèles à la tradition, nous avons raté le Grand Prix cette année. Sans vraiment de regrets non plus.

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J'ai choisi de ne pas m'infliger ça.

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xUMi le sentait pas, on ne l'a pas mis au programme. Ça n'a pas l'air d'être une grosse perte, vus les retours.

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Merci mais non merci.

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Plutôt crever que de m'asseoir à nouveau dans une salle de cinéma devant un film de Panos Cosmatos.

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On ne l'avait pas mis au programme, on a vaguement entendu parler d'une créature tentaculaires/phallique après coup.

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On comptait le voir et finalement on a fait nos poules mouillées et on est allés se coucher plutôt que d'assister à la séance de nuit. On le rattrapera peut-être plus tard.

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Séance de nuit, on dormait.