Discographie Joe Bonamassa commentée

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Erin Davis (fils de Miles Davis) batterie
Waylon Krieger (fils de Robby Krieger) guitariste rythmique
Berry Oakley, Jr. (fils de Berry Oakley) bassiste et chanteur
Joe Bonamassa

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Premier album de Joe Bonamassa qui pose les bases de son style. Gros riffs et des soli à n'en plus finir, jusqu'à en vomir diront ses détracteurs, jusqu'à en jouir diront les Bonaholics. Car quand le guitariste se lâche, rien ne semble capable de l'arrêter vers sa quête du point culminant.

Composé pour moitié de reprises, l'album dévoile les influences de Joe. Une attirance, toute logique pour un amateur de blues rock, vers les Britanniques : Rory Gallagher, Free, Jehtro Tull. Mais comment ne pas noter cette tendance Vaughienne tellement évidente sur I Know Where I Belong. Colour & The Shape apporte la relative pause dont manque l'ensemble et contient les seuls passages acoustiques de l'album.

Malgré un groupe un peu trop carré et trop peu original, l'album est une réussite, et la voix particulière (beaucoup bloquent à cause d'elle) de Joe colle parfaitement à ce blues rock sans cesse dans le "toujours plus".

Le titre de l'album est une référence au morceau du même nom de Jehtro Tull, sur leur album Stand Up de 1969

http://www.senscritique.com/album/Stand_Up/1341223

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Constitué uniquement de morceaux originaux composés par Bonamassa lui-même, le deuxième album apporte son lot d'amélioration et de déception par rapport au premier album.

Le chant est plus maitrisé. Car le côté sauvage qu'on entend sur A New Day Yesterday est surtout, à mon avis, un manque de maturité. Ici la voix est plus posée et plus variée. Côté guitare, on a toujours des soli à profusion et des riffs lourds bien sûr mais beaucoup de morceaux mid tempo reposant sur de la guitare acoustique. Ce style sera celui de la plupart des compo de Joe Bonamassa sur ses prochains albums.

Je trouve ses riffs bons dans l'ensemble mais parfois on a l'impression d'avoir à faire à du mauvais Foo Fighters (que j'adore), voire, pire, à du Nickelback. Et parfois on jurerait entendre du SRV, le meilleur exemple étant le morceau éponyme. Enfin, on a aussi droit à des ballades pas toujours bien senties.

Pain And Sorrow avec son solo de plus de 7 minutes qui part totalement en c***** est le gros point fort de l'album.

Le principal défaut de cet album, je trouve, est l'ordre des pistes. Il ne démarre pas très bien, avec un morceau au refrain d'une grande banalité et continue avec une chanson qui ne reste, pour ma part pas en tête. Heureusement, No Slack et son côté Hendrix qui déborde sur Robben Ford sauve cette entame ratée.

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De la fougue, Joe Bonamassa n'en manque pas. Les 6 premières pistes sont jouées à fond les lampes et il vaut mieux profiter du relaxant I Don't Live Anywhere, compo perso du guitariste sur la solitude de l'artiste sur la route, car cela repart juste après.

La musique est surtout électrique mais les moments acoustiques ne diminuent pas l'intensité présente sur le disque, avec par exemple l'ahurissant Woke Up Dreaming, autre composition personnelle.

L'essentiel est constitué de reprises de très grands noms du blues et du blues rock avec la touche perso du guitariste : des solos de folie. La production générale est à souligner, j'aime beaucoup le son de cet album.

Le titre de l'album est un morceau du Jeff Beck Group qu'on trouve sur Truth, leur premier album de 1968

http://www.senscritique.com/album/Truth/1332846

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Après deux morceaux très énergiques en guise d'entrée dont un jump blues extra, les choses sérieuses commencent avec la superbe reprise de Reconsider Baby et Around The Bend, composé par Joe Bonamassa dans un style qui lui est reconnaissable (voir So It's Like That), tous deux l'occasion de solo exceptionnels.

Bref, si vous êtes pressés de découvrir Joe Bonamassa, jetez vous sur le morceau titre qui résume assez bien la tendance du monsieur https://www.youtube.com/watch?v=XPYpPwGm5GY : c'est-à-dire un gros gros riff et un, même deux énormes soli. Sa reprise au rythme infernal me rend l'originale assez fade... Notez que cette tendance s'accentue à présent dans le riff quasi graisseux.

Le titre de l'album est une référence au morceau de Blind Faith sur leur album album éponyme de 1969

http://www.senscritique.com/album/Blind_Faith/1357443

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Cela commence avec beaucoup d'envie par deux titres au riff entêtant, puis enchaîne sur deux autres qui se rejoignent un peu par leur langueur. Toutefois So Many Roads est bien explorée et me plait mieux. Le morceau inévitable qui sonne très blues rock est bien présent avec I don't believe, joué sans particularité, assez bateau. Le passage acoustique qui suit est légèrement plus mémorable que celui qui vient encore après, lui-même n'étant rien de plus qu'un interlude technique. Le tout se termine comme il a débuté avec deux morceaux entrainants aux guitares rugissantes.

Ce sont bien les reprises Django et Tea for one qui sont les pièces maitresses de You & Me. La simplicité formelle de la première et l'efficacité de la seconde (avec un chanteur inconnu mais doué), malgré la présence, possiblement rédhibitoire pour certains, de violons électroniques, me séduisent.

J'ai bien conscience d'être indulgent car il n'y a finalement que peu de saveur pour qui n'est pas fan de guitare ou du guitariste en question, qui d'ailleurs a mis 2 ans pour sortir un album à la sonorité très semblable à son précédent. Rien d'important mais je parie que ce délai, très long pour Joe Bonamassa qui d'habitude ne laisse pas passer 6 mois avant de faire parler de lui, n'est pas sans rapport avec le titre de l'album, qui en passant est le premier et je crois le seul (?) de sa discographie à ne pas provenir d'un morceau.

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Le titre de l'album est une référence au morceau de Tim Curry sur son album Read My Lips de 1978

http://www.senscritique.com/album/Read_My_Lips/357613

Pour moi son album le plus varié et original

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Premier enregistrement de la reprise de Just Got Paid de ZZ Top par Joe Bonamassa

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Pour moi son album le plus "heavy"

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Pour moi son moins bon album

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Glenn Hughes
Jason Bohnam
Derek Sherinian
Joe Bonamassa

Vu en concert au Bataclan à l'occasion de la tournée promo

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Une grosse claque que je recommande chaudement aux amateurs de blues classieux.

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Vu en concert à l'Olympia à l'occasion de la tournée de promo.

cf critique

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Vu en concert pour à Lyon à l'occasion cette tournée acoustique.

Une tuerie.

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Acoustic/electric night

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Power trio jam

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Blues jam

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Rock & roll night