Clive Barker au cinéma

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Là également, il s'agit d'une histoire originale mélangeant science-fiction pure, horreur et surnaturel. On y retrouve la même esthétique de la damnation que dans l'oeuvre de Barker.

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Necromentia décrit une histoire originale , très influencé par Clive Barker tant dans ses thématiques que dans son esthétique.

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Le célèbre réalisateur David Cronenberg joue les comédiens sous la caméra de l'écrivain Clive Barker. La rencontre est d'autant plus notable qu'elle reste logique, leur oeuvre respective partagent quasiment les mêmes thématiques, dont la corruption de la chair, l'amalgame entre plaisir et souffrance. Chez Barker, tout comme chez Cronenberg, le corps humain devient le principal enjeu. L'esprit ne peut s'en émanciper et reste conditionner par le désir et les pulsions primaires.

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Pas encore vu le film mais bien aimé la nouvelle du même titre dans laquelle un étudiant fasciné par les phobies et la peur kidnappe et séquestre d'autres étudiants et les confronte à leurs terreurs.

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Adapté de l'une des meilleures nouvelles du recueil Le livre de sang, Rawhead Rex a la réputation d'être un véritable navet dont l'indigence aura poussé Barker a passer à la réalisation pour transposer plus fidèlement ses écrits (Hellraiser, Cabal).

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Un curieux film à sketch que l'on doit au plus ou moins inspiré Mick Garris. S'étant fait une spécialité des adaptations low cost des récits de King, c'est sans surprise que le premier sketch s'inspire d'une remarquable nouvelle du maître (Dentier claqueur). La seconde histoire, elle, s'inspire d'une des meilleures nouvelles de Barker, Le corps politique, superbe délire horrifique que l'on peut trouver à mi-volume du Livre de sang. Il va sans dire qu'il vaut mieux pour l'un et l'autre privilégier la lecture au visionnage.