As de la gâchette spécial «colt & revolver»

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Duel épique entre Lee Van Cleef et Gian Maria Volontè, d'une intensité rare grâce aux prestations des deux comédiens qui sont monstrueux ainsi que la mis en scène fantastique de Sergio Leone, sans oublier la fameuse composition musicale du grand Ennio Morricone qui confère une véritable aura à ce duel épique. Un véritable culte du flingue, dans lequel Leone extériorise tout son talent dans un puissant, impressionnant, violent et brutal ballet de la mort. Avec sa caméra Leone scrute, observe et jauge au plus près les visages transpirants de ses personnages, l'étincelle perçant de leur regard, les mains tremblantes prêtes à dégainer. Le temps s'immobilise, l'espace se rétrécit, la silhouette grossit peu à peu, les souffles sont bloqués, chacun affute son esprit, jusqu'à ce que la mort retentisse. L'on trouve également dans ce film deux autres duels de qualité entre Lee Van Cleef et Kinski, et Gian Maria Volontè et le traitre qui l'a fait enfermer en prison.

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S'il n'y avait pas eu le duel incroyable de "...Et pour quelques dollars de plus", se serait celui-ci mon préféré. Un grand duel générationnel entre deux hommes de bien qui s'affronte dans un duel dont on ignore totalement l'issue car les deux personnages s'affrontant étant les héros du film.
Duel au sommet entre mon chouchou : Glenn Ford et Ted McGuire.

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Un duel à quatre remarquable à l'origine d'un affrontement anxiogène où on s'inquiète de l'inévitable... John Wayne y livre son ultime duel contre trois tireur expérimenté. Un grand duel.

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Glenn Ford vs Brawderick Crawford : duel au sommet!
Le duel au révolver le plus anxiogène que j'ai pu voir, où le héros surpasse sa peur pour affronter l'antagoniste. La tension mis en place autour de cet affrontement et des plus stressant avec un Glenn Ford qui transpire et tremble de peur, il est trop fort.

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Klaus Kinski alias Tigrero vs Louis Trintignant alias Silence, pour certainement le duel le plus original de l'histoire du cinéma. Préparez-vous au choc !

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La générosité de Sergio Sollima! Pas moin de trois duels pour le final de ce film jouissif. Révolver vs révolver, révolver vs fusil et révolver vs couteau. Que du bonheur. Le duel entre Lee Van Cleef et Gérard Herter, alias Baron von Schulenberg. Le duel s'illustre via une identité musicale au piano du titre connu : Lettre à Elise de Beethoven. Un vrai régal!

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Duel épique à trois! Un grand affrontement entre Lee Van Cleef, Clint Eastwood et Eli Wallach. Le cadre parfait dans un cimetière avec la gigantesque composition musicale d'Ennio Morricone qui fait toute la différence tout en pouvant compter sur l'excellente réalisation de Sergio Leone.

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La magnifique Raquel Welch qui livre pas moins de trois duels au révolver contre trois grosses tronches du cinéma avec Jack Elam, Stother bien vénère.

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Les scènes de duels au pistolet, élément central de Mort ou Vif, sont mises en scène de manière magistrale. Raimi utilise des angles de caméra inventifs et une édition dynamique pour créer une tension palpable à chaque confrontation. Une série de duels au pistolet captivants et distincts, chacun offrant une confrontation unique qui accroche incontestablement le spectateur. Ces duels sont des moments intenses qui contribuent de manière significative à l'atmosphère du récit. Une caméra qui tournoie avec une agilité impressionnante autour des duellistes, créant une sensation tourbillonnante d'anticipation chez les spectateurs. Les regards furtifs entre les adversaires sont chargés de tension, tandis que ceux déterminés traduisent la détermination qui anime chaque personnage. L'intensité émotionnelle est palpable, les visages des protagonistes témoignent de l'enjeu de chaque confrontation.

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Kevin Kline vs Brian Dennehy. Un super duel final entre deux personnages charismatique. J'adore le petit échange qu'ont les deux personnages avant de se tirer dessus. "Aurevoir Cobb". "Aurevoir Paden."

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Des actions généreuses adressées aux amateurs de duel dans une grande ruelle poussiéreuse avec les regards perçants et les mains tremblantes constituant les archétypes du western. La confrontation finale entre Talby (Lee Van Cleef) et Scott (Giuliano Gemma). Une grande séquence merveilleusement mise en scène sur un suspense haletant alimenté par l’intensité dramatique. Un duel crève cœur pour le spectateur mais aussi pour les deux hommes, qui malgré tout éprouvent mutuellement l'un envers l'autre de l'estime et de la considération.

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Duel épique entre Gian Maria Volontè et Clint Eastwood. Bon ce n'est pas à proprement parlé un duel au révolver vu que Volontè utilise un fusil, mais vu que le héros joué par Clint se sert d'un révolver et que le combat se veut avant tout métaphysique pour savoir justement laquelle des deux armes est la meilleure, je valide donc à 100% ce duel.

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Tom Selleck vs Alan Rickman. Un duel que j'apprécie beaucoup pour la surprise du personnage de Selleck : Quigley qui depuis le départ masqué bien son jeu. Un duel rapide et efficace.

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Calibre 32 fait appel à 4 duels tous dans un contexte et une forme différente permettant ainsi un maximum de surprises. Le duel final dans le noir est bien fichu.

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Lee Van Cleef vs Stuart Withman.
Duel au révolver très appréciable qui prend une direction un peu différente de ce qu'on a l'habitude de voir, le tout lancé dans un train à pleine vitesse.

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Duel avant tout au couteau dans lequel Millian s'illustre admirablement, mais vu qu'il affronte en duel des gars avec des pistolets et que son camarade de jeu lui aussi en fait un au révolver, je valide. Duel final pour Millian superbement bien fichue et une fois encore sous la magnifique composition musicale d'Ennio Morricone.

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Deux duels pour un petit western très sympathique. Le duel final entre Glenn Ford et Leslie Nielsen est intéressant de par sa forme inhabituelle.

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Un affrontement culte où Rooster à dos de cheval brandit un fusil Winchester 1892 d'une main, et de l'autre un revolver Colt 1873 SAA, le tout avec les rênes en bouche, face à quatre bandits. Un grand moment pour John Wayne qui nous offrent l'une de ses confrontations les plus emblématiques.

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Glenn Ford vs Brian Keith.
Un duel tendu et attendu entre les deux hommes avec un Glenn Ford sur de lui.

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Woman vs Woman! Joan Leslie contre Audrey Totter dans un superbe duel aux colts en plein milieu d'une ruelle avec une mise en scène parfaitement soignée encadrant et sublimant la séquence.

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Clint Eastwood en tant que Pasteur vs John Russell en Marshal Stockburn. J'aime beaucoup tout ce qui entoure leur confrontation ainsi que la fameuse séquence où Clint se rapproche de Russel avant de dégainer son révolver, mais le duel en lui même est un peu trop facile pour Clint.

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Duel final dans la neige sympa entre Bronson et Ben Johnson

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Un duel final à 1 contre 4 qui promettait un affrontement intensif (ce qui n'est pas loin d'être le cas) mais c'est malheureusement filmé avec les pieds. Heureusement cela reste distrayant.

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James McCandles (Patrick Wayne) qui affronte avec un pistolet automatique Bergmann révolutionnaire pour l'époque un des hommes de mains du terrible gang de John Fain (Richard Boone). Duel sympathique en contre plongé depuis un rocher pour l'antagoniste et le sol pour le héros.

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Confrontation finale entre Ethan Hawk et Chris Pratt. Hawke alias Garrett qui lance un compte à rebours qui augmente le rythme cardiaque du spectateur et par la même la tension du duel.

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Terence Hill alias Personne vs Henry Fonda alias Jack Beauregard.
Duel avant tout d'ordre symbolique, du beau travail.

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Duel humoristique entre Joe Dalton et Lucky Luke. L'originalité vient de l'arme de Joe, qui est un chapeau magique, que Lucky Luke va réussir à faire retirer au bandit idiot à travers une série de tirs habilement exécutée. S'ensuit finalement un duel hilarant à 1 contre 4, entre Lucky Luke et les frères Dalton.

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Le duel est loin d'être fabuleux, mais toute l'intention dramatique autour avec le cadre enflammé offre une superbe silhouette à celui-ci.

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Film pas fou, mais duel final plutôt bien fichu à travers une bonne tension.

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John Wayne alias Bob Seton vs Walter Pidgeon alias William Cantrell. Petit duel rapide mais dramatiquement intense autour de la symbolique de l'antagoniste principal, autour d'une atmosphère savamment retranscrite.