Année 2023 : richesse filmique ?

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1er Janvier / Re(...)visionnage :

Encore un visionnage ! Cette fois-ci pour inaugurer l'année en beauté, qui plus est une année que j'ai nommée Kubrickienne pour pouvoir revoir un film par mois du grand génie. Cette œuvre est toujours aussi intelligente, tout simplement du génie, chaque plan, chaque dialogue pourrait porter à l'analyse tant son propos est magistral. Les thèmes y sont abordés sous une vaste palette dans le laboratoire urbain qu'est New York. La sexualité se conjugue au pouvoir, à l'argent, à la tromperie, à l'aliénation. C'est un film avant tout porté sur la vision de la femme, bien que notre aventurier soit "Bill", les portraits féminins s'acheminent au fil du film sous des traits essentiellement de domination sociétale, le propos est rigoureux dans son approche et appelle à moult sujets philosophiques. Une œuvre d'art qui effare, rend pantois et délaisse de tout commentaires.

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2 Janvier / Rattrapage :

Une petite surprise dans le sens que je ne m'attendais pas à grand chose, et il se trouve que le film livre des moments plutôt drôles. Certes, il ne surpasse pas la Folle aventure de Max et Léon mais les acteurs arrivent toujours à rendre attendrissants leurs personnages. En somme, il s'agit d'un film [barré] et extravagant, avec des admirables talents de la part des vedettes. Quelle voix !

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2 Janvier / Grande Découverte :

Henri Verneuil est un réalisateur dont j'apprécie le travail, et il signe avec ce film policier un récit captivant. Captivant par ses acteurs, en particulier le trio de choc Gabin, Ventura et Delon. Captivant par sa grande musique composée par Ennio Moriconne. Captivant par son suspens, de l'évasion au braquage grandiloquent. Et enfina, captivant par sa représentation familial de la mafia, avant la composition détaillée de Coppola. Sublimé d'une réalisation aux petits oignons, le film surprend pour un cinéma français qui peut être fier d'avoir un polar de cet acabit.

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3 Janvier / Rattrapage :

Une certaine déception même si le film reste regardable avec des acteurs bien investis. J'avoue que le fameux mystère de la maison est utilisé de façon simple, je m'attendais peut-être à plus d'utilisations différentes. Malgré tout, Dupieux dénonce comme à son habitude, des besoins vains des humains. Alain Chabat parle, c'est sublime en toute simplicité.

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3 Janvier / Découverte :

Film sûrement mineur où l'on peut noter quelque carence en rythme mais on y trouve toutefois des moments intéressants, en passant de dialogues aux accents français avec notamment Charles Vanel, aux dialogues et scènes d'amour plus marquantes (il s'agit sans doute de l'atout du film).

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4 Janvier / Beau Rattrapage :

Superbe film porté tout d'abord par un paysage somptueux sous une musique traditionnelle captivante. Les acteurs apportent en plus, une force au récit, baignant alors à travers des dialogues merveilleusement bien écrits. Colin Farell en tête d'affiche est vraiment incroyable dans son personnage, la performance est saisissante. L'accompagnant à ses côtés, on peut évoquer l'intelligente Kerry Condon et l'imposant Brendan Gleeson. L'ouvrage de Martin McDonagh propose une palette réflexive sur les relations et les sens de la vie humaine, ici en marge d'une petite île. C'est un véritable portrait sociologique sur les visages variés d'un village, les conséquences de conflit, les changements, la gentillesse et la méchanceté.

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4 Janvier / Belle Découverte :

Bertrand Tavernier invite avec brio la vie, le réalisme de ces dialogues et de ces personnages, l'hommage à une période qu'il a vécu : étant lui même membre du comité de défense de son immeuble. Pour lui, son film est "purement, froidement, un acte de vengeance envers [son] propriétaire", et qu'il est beau cet acte ! Convoquant une œuvre engagée, naturaliste et rafraîchissante, avec la perle féminine Christine Pascal qui illustre l'indépendance et la force féminine. Autre grande figure, cette fois-ci imbriqué comme cinéaste dans son rôle, Michel Piccoli largue son talent à chaque passage. Les autres acteurs environnents sont également bons, on note par exemple la présence de la troupe du Splendid. Enfin, quelle joie d'entendre une chanson composée spécialement, intitulée "Paris jadis" et interprètée par Marielle et Rochefort.

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5 Janvier / Beau Rattrapage :

Le film de Ali Abbasi est prenant dans son histoire entre enquête et thriller sous tension. Il s'avère être intelligent dans sa mise en scène, montrant un monde à l'envers où les propos les plus abjects peuvent être acceptés par une fausse morale.
Zar Amir Ebrahimi est extrêmement talentueuse et témoigne d'une journaliste forte et courageuse dans la réalisation de son enquête. Mehdi Bajestani est également très bon, à la fois écrasé par Allah, par l'introspection de sa culpabilité puis (léger spoil) devient psychopathe visible dans la suite de son incarcération en voyant que son discours semble être accepté.

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5 Janvier / Découverte :

Mis à part que la grand mère doit s'inquiéter énormément suite à la disparition lente du petit. C'est magnifique comme histoire, toutes ces petites scènettes sont drôles et touchantes, originales dans leur amusement. Kitano présente un personnage fort en tempérament, au mot "con" à tout va. Le jeune est également bien dans son acting.

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6 Janvier / Rattrapage :

C'est pas mal du tout comme film, captivant, énervant de voir des personnages bien faux-cul qui défendent des produits de merde, mais il y a également des bons personnages : en particulier, le rôle de Gilles Lelouch qui est véritablement exceptionnel dans sa performance. Le seul problème et qu'il renforcerait l'idée de complot en France, entre intérêts scientifiques et économiques. Entre justice, mensonge d'Etat et questions environnementales. C'est toujours un plaisir de voir aussi Marie Gillain. Jacques Perrin, quelle voix et quel charisme, paix à son âme.

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7 Janvier / Rattrapage :

Un visionnage fort surprenant tant le style de Ruben Östlund m'avait irrité dans The Square. En l'occurrence avec Triangle of Sadness (titre bien mieux), procède à un tableau intelligent de la haute bourgeoisie sur un tas de passages satiriques qui font sourire. Le point majeur du film étant la 2ème partie sur le Yatch qui est excellente: remarques déplacées, sujets égocentriques, surplus de boulimie sous un cadre déséquilibré par le va et vient des vagues. La 1ère partie m'a peu convaincu même si son propos peut être accepté. La 3ème, bien moins impactante que le Yatch, demeure convenable avec quelques critiques qui font de nouveau sourire avec les décisions des personnages.

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7 Janvier / Découverte :

Superbe œuvre que nous propose Scott Cooper, qui réussi à faire briller le XIXème siècle avec talent, après Hostiles qui se déroulait à la fin de ce siècle, The Pale Blue Eye prend place en 1830 dans l'État de New York. Costumes et période rares dans le cinéma, le cadre est déjà inscrit et plus qu'original. On plonge dans une enquête parsemée de mystères et de mysticisme mais également de poésie ! L'ambiance plutôt sombre apporte cette atmosphère lourde dans l'avancée du récit, jonchée de meurtres de jeunes officiers de l'académie. On se surprend à voir autant de performances majeures à l'écran, à commencer par Harry Melling (E. A. Poe) qui mériterait beaucoup plus de rôle de premier plan car il est impressionnant, touchant dans ses pensées, intelligent dans sa diction et séducteur hors pair. Ensuite, il y a bien sûr Christian Bale (Landor) qui est comme à son habitude excellent. On pourrait citer aussi Toby Jones, Timothy Spall, Simon McBurney, Lucy Boynton... Les dialogues sont clairs et bien menés, sous fond parfois d'une musique efficace dans l'apport de cette atmosphère.

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8 Janvier / Rattrapage :

Je voulais le voir car la bande annonce m'avait marqué et réussissait à émouvoir dans les perspectives de son récit. Il se trouve que s'est un petit bijou français, qui prône la bonne humeur et le délestage des codes à travers des mises en scènes excentriques, des danses survoltées et des dialogues agréables. Virginie Efira demeure rayonnante, Romain Duris est superbe, et également Grégory Gadebois. La narration dépeint la folie de vivre, de son imagination à ses excès, et la destruction mentale. C'est traité de façon touchante, c'est beau et rafraîchissant.

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9 Janvier / Découverte :

J'ai inconsciemment associé ce film à Funny Games par ses similitudes de tortures psychologiques et physiques envers une famille. Robert est vraiment incroyable, jouant une brute intellectuelle et psychopathe terrifiante. Nick est aussi très bon. Les thèmes de justice, d'injustice sont intéressants. On y questionne également la bienséance par rapport à une norme imposée par la société. Cette sorte de traque en tout cas bien maîtrisée, saupoudrée de suspens et de frayeur.

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10 Janvier / Rattrapage :

C'est bien filmé et bien raconté, les juges portent le charisme tandis que Bruno, frêle et famélique, décrit crûment sa vie jusqu'à l'assassinat cruel et immoral d'un jeune garçon. Globalement, la gestion du temps n'est pas ennuyante, assez diversifié entre la ruralité du Cantal ou encore l'académie religieuse.

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11 Janvier / Revisionnage :

Bah j'aime toujours autant, humour potache et lourd dans un récit bourré d'invention, de gags et de références. Les personnages sont excellents avec la venue de Mini-moi et ce répugnant Gras-double.

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12 Janvier / Revisionnage :

https://www.senscritique.com/film/licorice_pizza/critique/227268592

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14 Janvier / Belle Découverte :

Bien que l'on puisse chipoter sur un ensemble de petites bizarreries dans le début du film, le récit prend vite le pas sur une dénonciation puissante du pouvoir. C'est le cas notamment d'une scène que j'avais étudiée en philosophie, sans savoir qu'elle venait de ce film, quels souvenirs invoqués par cette expérience scientifique basée sur le questionnement de l'obéissance à une institution. La mise en scène est superbe, on raffole des informations que l'on apprend à la chaîne tout au long de l'enquête. Yves Montand est bien entendu majestueux.

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15 Janvier / Très Grande Découverte :

Avec un petit avis, si vous avez envie.
https://www.senscritique.com/film/babylon/critique/198475911

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19 Janvier / Revisionnage :

Toujours aussi merveilleux, des chorégraphies et des musiques sublimes, entraînantes. L'alchimie de Ryan Gosling et Emma Stone semble faire des étincelles d'authenticité pour nous livrer un final somptueux, hommage au jazz et au cinéma, une hymne aux rêves signée par le talentueux Damien Chazelle.

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20 Janvier / Découverte :

Superbe. À hauteur d'enfants, Céline Sciamma livre une œuvre d'un naturalisme captivant. On assiste à des moments de vie et de dialogues extrêmement bien filmés mais surtout très bien interprétés par les jeunes acteurs. C'est prenant, beau et interroge sur la place des enfants voire des parents dans leur impact de résolution.

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21 Janvier / Revisionnage :

Un long-métrage millimétré de talent, il demeure incroyablement captivant durant ces 2h17 bien que le revisionnage (au cinéma) a été un peu plus laborieux dans la longueur. Nous retrouvons des performances d'acteurs vraiment saisissantes, Marina Foïs et Denis Ménochet sont remarquables, de même pour leurs détracteurs, Luis Zahera et Diego Anido. Le récit dispose d'une tension prenante, agrémentée d'émotions. L'écriture des personnages et des symboliques utilisées est superbement maîtrisée. Les dialogues sont impeccables par leur réalisme et les sujets qu'ils évoquent (argent, projet de vie, travail...). En bref, Rodrigo Sorogoyen parvient à surpasser largement le film Madre pour lequel je n'avais su qu'apprécier la traitement des scènes de tension.

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21 Janvier / Découverte :

Bon film qui réussi son côté désagréable avec un personnage pervers et horrible à souhait. Toutefois, je n'ai pas été forcément embarqué par ce style assez particulier, notamment ces moments érotiques tout sauf légers, dénués de subtilités. Certains passages de meurtre sont difficilement compréhensible dans les mouvements et brouillage des plans et le film dispose d'une fin assez brutale et pas très marquante, bien que la symbolique soit pertinente au premier abord. À noter que la scène de la robe est intéressante et la musique est véritablement maîtrisée.

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25 Janvier / Découverte

Petit film doux, baigné d'une atmosphère généralement bienveillante. La petite fille est très bien dirigée, exprimant innocence, tristesse et joie avec authenticité. Son aventure demeure captivante avec ces discussions qui la feront grandir en croisant des portraits de personnages différents. En revanche, à un moment donné, j'ai trouvé une certaine longueur avec le problème du billet qui se poursuit (sous la grille). La fin est rapide, il aurait été peut-être plus plaisant de la voir allé un peu plus loin dans son objectif initial.

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28 Janvier / Revisionnage :

Magnifique histoire sur la vie et l'amour, sous un ton magique assez proche du style de Hook. On est émerveillé par ces moments d'humour et d'émotion gérés avec précision par Steven Spielberg. Sa réalisation combinée à la photographie est énormément plaisante, d'autant plus lors des scènes de tension de pilotage. Richard Dreyfus est parfait pour le rôle, Holly Hunter est véritablement rayonnante de sentiments, John Goodman présente un personnage vivant et très comique, et enfin j'ai été surpris en voyant le générique de découvrir que Audrey Hepburn a joué dans un Spielberg, marquant son dernier rôle au cinéma.

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30 Janvier / Découverte :

Un bon film très dense et à étudier davantage en raison de son fond historique. En outre la mise en scène déploie des scènes marquantes, notamment deux : celle où la femme joue du piano en exprimant toute sa douleur, puis l'autre scène construite en parallèle avec l'homme dans le petit cimetière, son cœur tourmenté par la culpabilité, il s'excuse en exprimant lui aussi toutes ses lamentations. Le montage jonglé entre passé et présent est également assez pertinent. Enfin, le personnage principal exprime parfaitement ce visage triste, seul, enfermé quasiment dans le mutisme, où ses pensées longues seront la seule véritable expression du personnage.

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31 Janvier / Belle Découverte :

Un très bon film, avec de superbes actrices jouant le rôle de deux sœurs véhémentes entre elles. En particulier, "Baby Jane" parfaite hystérique et jalouse à l'image de la poupée fragmentée tandis que Blanche exprime une forme de gentillesse et de pitié pendant une grande partie du film. Les moments horrifiques et désagréables s'enchaînent face à cette maltraitance malsaine, privation de lettres, de nourriture, "help me" en pleurs... Jane est aussi construite comme un mélange de sa folie d'adulte et sa gloire d'antan de petite fille, elle se retrouve notamment en train de se remémorer, chantant ses vieilles chansons face au miroir. En plus de ces personnages, les autres sont bien construits, en partant de la domestique, au petit couple mère/fils assez drôle.

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4 Février / Très Grande Découverte :

Une œuvre incroyable dès la présentation des personnages qui est déjà grandiose en nous montrant le charisme des acteurs. La construction du triangle amoureux, puis la relation des deux soldats avec le sauvetage de Jean (sorte de proximité qui se crée) forme un récit cohérent et intéressant. En outre des moments de guerres, il y a aussi l'illustration de la joie en province avant le hibou qui annonce le cataclysme au bout de l'an.

On a des scènes marquantes avec une maîtrise de la mise en scène monumentale dont les retrouvailles de Jean et de sa mère.
"La guerre tue les mères aussi bien que les fils"

Les intertitres sont magnifiques, et bien écrits, très littéraires avec en plus des citations de lettres de soldats.
La scène des morts qui se relèvent relève de l'impressionnant, ils vont revenir si leur sacrifice à servi à quelque chose.
"Êtes vous restés fidèles ?"
Créant la petite larmichette face à l'émotion du soldat qui avait tué le poète et qui riait de ce fou qui chantait la paix annocant un message important juste après la guerre.

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6 Février / Découverte :

Réalisation sublime, Tarkovski livre des plans magnifiques en plus d'une réflexion sur la mémoire. En revanche, bien que j'ai saisi l'essence des scènes, je suis malheureusement passé à côté du lien entre elles, de la déconsctruction abrupte du récit. Effectivement, je reconnais son statut de mise en scène incroyable et j'ai constaté ensuite l'analyse du film, il me reste donc à la revoir un prochain jour afin de peut-être mieux comprendre le désordre dans la beauté.

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11 Février / Revisionnage :

Je remets mon dix car il le mérite
https://www.senscritique.com/film/titanic/critique/177774671
La 3D est très belle et surprenante même si je l'ai trouvé un tantinet sombre.