A Touch of Noir

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Film qui nous maintient sous tension avec deux très bons personnages et une écriture de qualité, en plus de la mise en scène du Maître du suspens of course.

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Un peu plat

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Tous les ingrédients pour un noir bien corsé. Un classique qui a la classe, et puis quand Bobby te dit: "Oh baby, I don't care" y'a plus rien à faire ;)

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Les ravages d'après guerre...

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Plongée hitchcokiennne
Fou ! A big piece of a thriller.

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Le culte de la nuit !

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Dans la série "coupable jusqu'à preuve du contraire". Ici le sort s'acharne et c'est le Maître Hitchcock qui nous raconte cette spirale infernale relatant une histoire vraie, et ce de bien belle manière.

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Cet opéra visuel !! Et une bonne concentration de bad cop dans le seul corps du Cpt. Quinlan (Welles himself). Un petit régal de film noir.

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Trois poissards dans la nuit

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Corruption à tous les niveaux d'une pyramide au sommet invisible. Un Mifune presque méconnaissable dans son costume de bureaucrate aux cheveux pommadés. Un plat qui se mange froid et un pessimisme qui brûle les ailes de la justice. Le Sensei nous offre ainsi un noir tragique.

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Allure Homme

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Cine_Cycle_Film & psychanalyse: die Nacht
Pfiouuu cette séquance de braquage de tous les diables vaut à elle seule le coup. A great moment, et tout le film et les personnages sont au top.

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neo-noir. Polar des 70s
Thriller sensoriel (la bande son n'y est pas étrangère). Ambiance sombre et atmosphère glauque pour ce polar des 70s, avec 2 acteurs, Jane Fonda et Donald Sutherland, qui portent le film du début à la fin.

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neo-noir
Le film noir aux mains de Polanski, et avec la gueule de Nicholson !

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Du rouge et du noir pour ce cauchemar faustien. Un thriller ésotérique qui déroule une allée jonchée de visions d'horreur, et de superbes plans d'escaliers en tout genre et les ventilateurs :) Rourke plonge dans le souk et De Niro fait son numéro. Lilange <3

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La grande illusion ! Un film qui raconte Hollywood et les ravages du temps sur une industrie qui file à toute allure. Mais c'est compter sans la grande Norma Desmond qui vit en dehors du rythme du monde.
"The stars are ageless, aren't they?"

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Ou: The Biggest Fool ^^ Quand O. Welles nous balade dans son parc d'attractions, au milieu de requins sanguinaires, de menthe religieuse, de miroirs éclatants et éclatés... alors que des chinois auraient pu faire le job tranquille ;)

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Charbon maudit. Sombre thriller chinois aux allures noires et à la mise en scène qui vaut le détour. J'ai été un peu perdue sur les paliers de l'intrigue et dans les longueurs, mais les changements de tons, ainsi que certaines belles séquences ont réussi à me requinquer (l'ellipse du tunnel number one, le salon de coiffure number two, le patinage et le final...). Il y'a donc de belles choses dans ce Black Coal, Thin Ice malgré la baisse de régime et l'embrouillage narratif.

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Le film noir par excellence. Une atmosphère captivante dès le départ, avec sa noirceur et son mystère. Une femme fatale qui mérite le culte qu'on lui voue (sublime Gene Tierney) et des protagonistes à couteaux tirés pour une enquête prenante. Ajoutez à cela une belle photographie, des dialogues percutants, une superbe musique et de l'amour !

"Love is stronger than life. It reaches beyond the dark shadow of death."

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Macadam Cowboy. Un chauffeur mutique, incarné par un Ryan, slalome à vive allure à travers la ville, de nuit comme de jour... :p The Driver, c'est un cowboy charismatique et insaisissable, un shérif persistant, de vilains gangsters et surtout des bagnoles qui se coursent et jouent à cache-cache avec une grande maitrise.

"It's just a game."

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La sauce Coen est un élixir qui peut vite griser. On est dedans, pris au piège de ce noir et blanc, de cette voix rauque qui chante la mélancolie d'un fantôme de son temps, sous les traits sur-mesure d'un Billy Bob Thorton grandiose. On est pris dans la spirale du film noir, hommage réussi des frangins pour un genre qu'ils distillent souvent dans leur filmographie.

"I was a ghost; I didn't see anyone. No one saw me. I was the barber."

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Sous ses allures de film noir, Victim dévoile petit à petit sa nature de drame psychologique et de critique sociale qui aura son importance à l'époque. Un film qui gère bien son rythme au fil d'une enquête qui nous présente quelques portraits de la société britannique du début des années 60 sur un sujet, pour la première fois, ouvertement abordé dans son cinéma. Et quand le cinéma veut essayer de changer les mœurs, il lui faut une gueule, et c'est là qu'intervient Dirk Bogarde dans un rôle prenant et couillu pour son temps. La société crée toujours ses victimes.

"Well it used to be witches. At least they don't burn you."

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Un remake assez réussi du M de Lang qui se retrouve transposé dans le Los Angeles des années 50. Un vent de paranoïa teinté d'un joli noir et blanc dans de beaux décors urbains. Il y'a certes beaucoup de ressemblances avec l'original mais Joseph Losey arrive à donner du relief à son M, toujours maudit.

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Voyage en train sous tension. Sympathique thriller ferroviaire/neo-noir qui nous fait passer un bon moment devant ses scènes d'action bien fichues et ses touches d'humour bien senties. Remake d'un film de Richard Fleischer qui rentre de suite dans mes envies.

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Les oies se noient dans le noir. Un film qui contemple plus qu'il ne raconte avec sa belle mise en scène qui alterne les décors pour mieux sublimer les plans. Il aurait quand même gagner à être un peu plus court pour ne pas nous perdre dans ses longueurs, certes jolie, mais très prononcées. C'est un peu le même constat que pour Black Coal, un film dont on gardera peut-être les traces esthétiques sans se rappeler de quoi ça parle. Tout dépend de ce que'on recherche.

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A bittersweet lady blood. Thriller qui rencontre le drame identitaire en s'attaquant au thème de "virilité masculine". Non sans défauts mais un film touchant, indubitablement grâce à son ma-gni-fique acteur principal Cha Seung-won qui sait jouer de son charisme, que ce soit dans les scènes de bastons stylisées ou celles plus dramatiques. On passera outre les longueurs et les flashbacks trop nombreux pour ne retenir que la beauté sanglante d'un être mal dans sa peau.

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Ambiance film noir parisien aux déambulations nocturnes sous les airs jazz de Miles Davis. Ça c'est tout ce qui est bien, en plus du huis clos en ascenseur que j'aurais aimé voir plus longuement. Je dois avouer que toute la partie du jeune couple m'a moyennement emballée vu qu'on perd toute cette ambiance. Un classique tout de même dont certaines scènes resteront en mémoire: celles d'ouverture et de clôture en particulier, et puis Jeanne Moreau la nuit, la classe !

"Si je n'entendais pas ta voix, je serai perdu dans un pays de silence."

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The noir in the snow. Avec Nightfall, on se laisse rapidement emporter dans un scénario solide qui se construit entre présent et flashbacks, et qui nous balade entre ses décors néons urbains et le souffle des montagnes enneigées. Des personnages qu'on prend plaisir à suivre chez un Tourneur qui fait tourner le noir.

"The top of your head never closed up when you were a kid. Neither did your mouth."

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L'ange exterminateur. Une sombre histoire qui se dénoue dans une lumière surbrillante. Un thriller dramatique qui nous plonge directement dans la violence avec ce regard apeuré au premier plan, et qui nous fait suivre ensuite le chemin vengeur de son tueur. Il n'y a pourtant pas que ça dans cette alternance entre horreur et douceur, accentuée par une délicate musique, avec parfois une touche d'humour. Mais ce qui reste a un goût amer.

"The cycle of divine punishment must be fullfilled."

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Mind manipulation in London. Un joli petit thriller psychologique de la MGM, remake d'une première adaptation britannique d'une pièce de théâtre, avec un face-à-face génial et inquiétant entre la belle Ingrid Bergman et l'impassible Charles Boyer. Une lente descente dans l'aliénation mentale induite qui est parfaitement incarnée par Miss Bergman, jusqu'à cette libération finale.

"Yes, well, I'm afraid I enjoy a good murder now and then." (me too :))