.2023 Journal de bord/mémo

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01/01

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02/01
https://www.senscritique.com/film/le_gladiateur_du_futur/critique/252442508

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02/01

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02/01 (en vf

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02/01
https://www.senscritique.com/film/mutant/critique/231550396

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02/01 vf
https://www.senscritique.com/film/m_n_i_mutants_non_identifies/critique/24176176

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02/01
https://www.senscritique.com/film/insect/critique/233404571

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03/01

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03/01

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04/01 https://www.senscritique.com/film/les_insectes_de_feu/critique/27412352

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04/01

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04/01
Film gentiment anar comme la France en déroulait à la pelle, même si on approche du crépuscule dans le genre.
C'est assez factice mais on sent un véritable plaisir des comédiens et du réalisateur pour nous offrir ces inoffensives histoires de mœurs légères et de discours politiques anarchistes.

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05/01

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05/01
https://www.senscritique.com/film/l_enfant_miroir/critique/93278843

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06/01
Film à thèse qui prétend nous décrire le cheminement mental d'un père de famille rigide à la limite de l'autisme et qui va s'épanouir dans le nazisme naissant dans ce qui fut le royaume de Bohème.
C'est pas très subtil et hors norme; il va jusqu'à zigouiller toute sa petite famille dont il était si fier pour expurger toute trace de judéité. Un bon élève.
C'est extrêmement bavard, le personnage principal ressassant sans cesse ses propres névroses et manies. C'est un parti pris qui ne m'a pas forcément séduit.
Par contre c'est un magnifique film de monteur, une véritable leçon de tout les instants, avec un matériel fort joliment mis en image.

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06/01
https://www.senscritique.com/film/darkly_noon_le_jour_du_chatiment/critique/103781638

Philipe Ridley est décidément un cinéaste qui semble se pougner sur la couleur. Alors évidement ce film a la colorimétrie complètement aux fraises, je plains l'étalonneur qui a du mordre sur sa chique pour se plier aux bons vouloir du réalisateur-oteur.
Le film n'est pas franchement désagréable quand bien même Brendan Fraser cabotine son personnage pour en faire une sorte d'attardé.
Mais l'ambiance pue la frustration sexuelle qui explose littéralement dans son final dantesque.

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06/01
Huit clos dans un appart crado post guerre nucléaire entre une bombe et un robot. C'est fort bien fait pour l'époque et le budget qui semble être rikiki.
Bonne exposition d'un cadre diégétique.

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06/01
Ce qui est marquant dans cette complicité entre une pute à grande gueule et une gamine ingénue, c'est cette séquence finale, magnifique où la femme de mauvaise vie prend conscience qu'elle a loupé la maternité.
Evidement ça peut paraitre très cul-cul, mais ce film est fort amusant quoi qu'un peut simplet il expose une relation assez bien mise en scène.

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06/01

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07/01
D'une facticité sincère, remplit de références à l'histoire du cinéma français et à certains cinéastes (sans prétendre être un expert et en me basant sur les remerciements on y trouve pas mal de Renoir); ce film n'est pas déplaisant.

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07/01
J'ai beau essayé autant que possible de détacher l'œuvre de tout rapport émotionnel afin de poser un regard froid, analytique et autant que possible objectif aux films. L'entreprise s'avère souvent être un échec et ma subjectivité prend souvent le dessus.

J'ai aimé ce film; pour ce qu'il est en tant qu'objet, fasciné comme un gosse face à ce montage d'images hétéroclites et pas vraiment intelligible.
La voix monocorde exprimant sans passion un texte -fort- écrit achève de conférer à ce film une certaine attraction quasi hypnotique.

Mais voilà toute cette litanie d'un monsieur prout-prout parisien, vivant sa ''solitude'' ponctuée ci et là de visites de sa famille, de ses très nombreux amis m'est profondément antipathique.
Ce gars aime s'écouter, m'étonnerait pas qu'il devait être à poil la bite à la main face au micro.
Si on excepte quelques idées intéressantes sur la place du spectateur, pertinentes d'autant plus qu'il est cinéaste, le tout pouvant être réduit à 10 minutes grand maximum, tout le reste n'est que pleurnicheries exaspérantes et autres inepties témoignant d'une vision étroite du bourgeois bohème.
Sans concession il est, sans concession je serais.
Et je me trouve déjà magnanime avec cette note, mais comme dit plus haut c'est le coté hypnotique de l'objet qui m'a séduit.

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08/01
Ce film, si on excepte le final flamboyant est assez raté. Plombé par une lenteur à force de ne rien exploiter comme matériel scénaristique, de ne pas étoffer la diégèse et d'avoir une dramaturgie assez pauvre alors que quand même on parle de l'exploitation d'êtres humains (et d'une gosse) par un gouvernement à des fins militaires.
George C Scott porte le film pour les trop rares moments où il est présent, non pas pour son personnage (mal écrit), mais parce que c'est une putain de présence et un acteur redoutable.
A coté de lui tout le monde fait pâle figure.

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09/01
Baby Face c'est la vie, ni plus, ni moins d'une pute arriviste. Le qualitatif est cinglant et sans concession mais c'est ce que ce scénario s'efforce à faire et penser le contraire c'est simplement s'aveugler comme tout les hommes de ce film au joli minois d'une Barbara Stanwyck solaire.
Ceci dit il ne faut pas voir là un propos dégradant pour ce plus vieux métier du monde, qui exploite les faiblesses de l'homme pour parvenir à faire son nid dans un monde dominé par les hommes.
Et c'est tout ce que ce film dit en substance, surligné maladroitement par un coach en développement personnel incarné par un cordonnier 'libre penseur' qui cite Nietzche à tout va (ironie).
Ce qui me fascine c'est que ce film de presque 100ans est toujours d'une incroyable actualité, plus que jamais, tant il est démonstratif qu'une faune jeune et hypnotisée par l'individualisme continue de pulluler avec une visibilité effrayante sur les réseaux sociaux. S'érigeant malgré eux en des parangons libéraux alors qu'ils ne sont que des rouages dociles du capital.
Seul l'amour, véritable, permet de sortir de cet enfer mental et c'est ce que le film propose en substance dans un final précipité que j'aurais aimé plus cynique pour rester dans le ton.
Car oui, ce retournement de veste de baby face, je n'y crois pas.

Coté mise en scène le film est fort bien tenu, suggestif, tantôt maladroit mais souvent efficace, c'est donc un bon film pre-code que j'avais négligé pendant des années.

https://www.senscritique.com/film/liliane/critique/9303945

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09/01

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10/01
J'ai été mis un peu de coté par ce délire Grand-Powhatan-y-a-des-loups-dans-la-villet-en-fait-non, un truc holistique à base de réalité modelée par nos pensées et nos actions, ça m'en touche une sans toucher l'autre surtout que c'est brusquement amené vers la fin tandis que tout le long du film on nage en eau trouble dans cette enquête poisseuse.

Mais ce film est bourré de qualités, à commencer par cette ambiance d'une Grosse Pomme qu'on croirait gâtée, mais aussi par le jeu des acteurs et ces petits détails de direction (Albert Finney et la bouffe, Gregory Hines en coroner déjanté et un indien qui se fout à poil sur une plage pour imiter un loup...).

Evidement difficile de ne pas passer à coté du propos central du film à base de ''L'homme est un loup pour l'homme'', surligné par cette mise en parallèle entre la bête (en point de vue subjectif jusqu'au dernier quart) et la société des hommes qui ne manque pas d'inventivité quand il s'agit de surveiller, traquer, jauger son prochain (les scènes d'interrogatoires avec images de scanners, la police privée).

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11/01

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12/01

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12/01

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13/01

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15/01