10 albums qui testent vos limites

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L'un des premiers albums de post-rock.
Comportant 3 pistes (2 sur la version vinyle) durant respectivement 16, 17 et 29 minutes, cet album prend tout le temps nécessaire pour instaurer son ambiance post-apocalyptique. Long et parfois répétitif, il demande de la patience pour être apprécié à sa juste valeur.

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2 heures de musique, parfois brutale (les DEUX notes du riff de Mother of the World), parfois détendue (Song for a Warrior). Cet album est extrêmement long, souvent incompréhensible. Il est même plus sage d'assister à un concert du groupe pour commencer à cerner la violence hypnotique qui l'entoure (sans oublier vos boules quies, si vous tenez à vos tympans).

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Un excellent représentant du math-rock.
Morceaux instrumentaux, riffs bordéliques, batterie déchaînée... le tout dans une sorte de jouissance psychédélique. Et cerise sur le gâteau, l'album n'est pas trop long, histoire de pouvoir souffler un peu.

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Australasia est probablement l'album le plus massif que j'ai jamais entendu. Sorte de sludge metal en plus lumineux, il s'agit d'une collection de riffs lents, joués sur des guitares accordées très bas, dans des ambiances allant du brûlant (Drought) au solennel (Australasia).
Mais malgré ces caractéristiques, il peut parfois se montrer plus paisible, comme dans les ponts du morceau éponyme. Un album paradoxal, en fait.

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Le dark ambient peut-il vraiment être considéré comme de la musique ?
Si cet album des scandinaves de Halo Manash ne répondra pas à cette question, il vaut le détour, de par ses ambiances parfois terrifiantes.

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Riffs bourrins, ponts expérimentaux, rythmiques destructurées, ambiances hispaniques, et une épopée psychédélique de 32 minutes. L'apogée de The Mars Volta.

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Si le CD 1 est sympathique, car rassemblant des lives de 4 chansons phares du quatuor (Astronomy Domine, Careful With That Axe, Eugene, Set the Control for the Heart of the Sun et le mythique A Saucerful of Secrets), le second montre malheureusement que le génie du groupe ne viens pas de l'un de ses membres, mais bien de leur association.

En effet, chacun des quatre membres du groupe a composé seul une ou plusieurs musiques sur ce CD. Mais aucune de ces pistes n'est enthousiasmante, et certaines peuvent même se montrer pénible (la deuxième piste de Roger Waters).

Au final, en dehors du fait d'entendre les seules compositions de Nick Mason, ce CD2 a peu d'intérêt. Et 4 versions lives, ça ne suffit pas à rattraper l'album.

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Une bonne occasion de placer la lettre "ẁ".

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Cet album n'a pas de titre.
Ses pistes non plus.
Et les paroles ne veulent rien dire.
L'abstraction à l'état pur.

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Après ça, vous ne direz plus jamais qu'un album est "triste" ou "bizarre".

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