“Quatre beaux vers valent mieux dans une pièce qu’un régiment de cavalerie.”

Citation de Voltaire

De l'incipit au grandiose, Les Chroniques de la GBA, Episode 11: The Legend of Zelda : A Link to the Past / Four Swords, Les 4 fantastiques

Cette critique ne se concentre que sur le jeu Four Swords, une critique sera réalisé prochainement sur A Link to the Past sur sa fiche personnelle

Oubliez tout, Ganon, la Triforce, le bien le mal on s'en fout un petit peu. On est pas dans un Zelda de Shigeru Miyamoto avec l'aventure personnelle, le rêve et l'éveille à la nature et tout le tralala, là on est avec 3 potes, une dizaine de bières, des GBA et un vieux jeux qui a oublié que la bêtise humaine et l'alcool pouvait complètement changer son ambiance.
Si je me souviens bien l'histoire commence avec notre meuf dans les bois (compliqué de la gérer chez elle avec tous les gardes et moi j'ai pas d'maison du coup la question elle est vite répondue) parce que ça commence à me faire chier la madame j'la sauve depuis 1986 et il s'est jamais rien passé mais elle a enfin accepté. Du coup j'là j'l'amène au temple du vent, vu que j'me dit vu qu'elle est en robe y'a p'tet moyen qu'elle nous fasse une Marilyn Monroe. Et c'est justement à ce moment là qu'une boule noir pédophile arrive et me pique ma meuf. Alors oui je sais bien qu'il a été enfermé pendant une éternité et qu'il est plus en chien qu'un snob devant un Kubrick mais j'ai pas passé 16 ans abstinence pour me faire voler ma poupée gonflable par un noir manchot d'un oeil, j'vous jure j'étais tellement véner j'étais à 2 doigts de devenir raciste, mais j'ai décidé de les préserver pour Zelda du coup j'vais juste lui niquer sa mère.
Heureusement pour m'aider il a laissé l'épée qui l'avait sellé ce con, du coup j'lai pris. C'est à ce moment là que j'suis tombé dans un bad mood, ouais encore pire qu'une gueule de bois ou après avoir tépa d'la Marie-Jane au fleuriste de Cocorico; c'est à ce moment là que je suis devenu 4. Bon je savais que j'étais pas normal, je fuyais la société pour me battre contre des monstres, je parlais jamais à personne, je ravageais les jardins des gens et je leur volait leur poule, c'était donc logique de je sois fou, mais je savais pas que j'étais aussi schizophrène, à ce rythme là le prochain opus se passera dans un asile c'est moi qui vous le dis. Mais bref je devis de l'histoire. C'est justement là qu'arrivent mes potes bourrés. On était chacun moi, à nous 4 on était les 3 mousquetaires: le con, la pute et le pédant...et D'Artagnan.
Bon vu qu'on était aussi fort pour lire une carte que les 3 attardés du Projet BlairWitch le jeu nous a sorti un Skyward Sword ou on a juste à sélectionner les niveau. Notre objectif était clair, ramasser masse boulasse pour que Zelda arrête de se faire la malle avec le premier venu parce que c'est bien connu, les nanas qui croulent sur l'or depuis leur naissance ce qui les intéressent c'est les rubis. Ourf ma cocotte t'es pas prête, moi x4 et mes 16 ans d'abstinence on va devenir tellement riche qu'à coté le lit de Smog ça sera qu'un compte secondaire au Panama, tu verras on est tellement chaud qu'on a roulé sur tous les bosses du jeux tout ça pour te ** faire de gros câlins ** (ok ok on était 4 garçons mineurs blonds insociales, violents et armé mais t'inquiètes on a de l'imagination)
Bon vu qu'à nous 4 on réunissait pas le tiers d'un cerveau opérationnel on a refait chaque donjons...3 fois. On a tellement tabassé la faune locale qu'on a reçu des lettre de la SPA mais on s'en battait les couilles on était plus riche que Crésus.
Du coup on est venu à la fête de son retour sur Terre, c'était mignon il avait invité la classe maternelle de Cocorico, faut dire que notre Borgne est quelqu'un qui croit (du verbe croitre) dans l'avenir. On est arrivé et on l'a tabassé comme jamais, les dégâts collatéraux pas encore morts chialais dans une si belle mélodie. Bref on a renvoyé ce bâtard dans son épée pour pas qu'il revienne de si tôt. Malheureusement vu que Zelda était pas chaude de notre service complet suite à une journée passé chez les mongoles on a du revenir en moi.
Ce qui s'est passé cette nuit appartient à l'histoire (en vrai on s'est tous endormi bourré à ce moment là donc on a pas pu voir la fin du jeu)

Et voilà les enfants, c'est comme ça que j'ai baisé votre mère. FIN

Il y a quatre types idéals : le crétin, l'imbécile, le stupide et le
fou. Le normal, c'est le mélange équilibré des quatre.

Citation d'Umberto Eco