
Je vais être expéditif (plein de choses ont déjà été écrites).
Enfiler ses godillots pour réparer des blessures (mais se choper des ampoules) suppose que le cadre < ce Wild qui sert de titre au film et qui ne fait pas que référence au passé douloureux, aux égarements, aux excès > investi par la randonneuse soit magnifié.
Or si les efforts de photographie sont clairs, NON SEULEMENT ils sont offerts au compte-gouttes, comme le note ici JimBo Lebowski :
... MAIS SURTOUT, comme le souligne cette fois Ligea :
Thibault_du_Verne résume ainsi cette erreur :
Quant aux nombreux flashbacks, trop souvent maladroits, ils ne nous aident pas plus à approcher la personnalité d'un personnage < " psychologie de surface" dit Flaw 70 > qui a probablement dû, à notre insu, trouver la rédemption seule sous sa guitoune.
L'interprétation de Reese Witherspoon sauve le film de la chute dans le ravin...