Roland Emmerich est né le 10 Novembre 1955 à Stuttgart.
A 22 ans ans, il part étudier le cinéma à Munich et entame une carrière de cinéaste assez rapidement remarquée dans son pays au cours des années 80, notamment pour deux films explorant le thème de l’espace: "le principe de l’arche de Noé" et "Moon 44".

Mais ce ne sont pas forcément les producteurs américains tant désirés qui se sont manifesté les premiers.
La nuit du 15 avril 1991, Roland disparait mystérieusement pendant plusieurs heures, sans qu’aucun proche ne soit capable de dire où se trouvait le réalisateur, une période d’autant plus étrange qu’il fût le premier à ne jamais dire un mot de ce qu’il s’était passé, arguant une amnésie totale.
Pourtant, "un jour un destin" se propose ce soir de vous révéler les dessous d’un évènement… encore plus étrange que tout ce à quoi on pourrait croire.

Rencontre du troisième type

Vers 23h40 ce soir là, alors que Roland sort la poubelle, dans la rue du petit quartier tranquille dans lequel il habite, son regard est attiré par une lumière inhabituelle dans le ciel. Alors qu’il fixe ce qu’il croit être les signaux d’un satellite, son corps est soudain victime de fourmillements inhabituels, vite remplacés par un engourdissement généralisé. La suite, en effet, semble impossible à croire ou à reconstituer. C’était sans compter sur notre reporter de l’inconnu, Jesus Méjavalpa, qui s’apprête ce soir à vous révéler… l’inconcevable.

Au delà de tout ce qui serait raisonnable de croire, Roland Emmerich est tout simplement emporté par un vaisseau extraterrestre et accepte bientôt un pacte incroyable…





… haha, Trêve.
Bon, en fait, je crois que c’est la seule explication possible.
Deux responsables Aliens se sont disputés pour savoir s’ils doivent ou non détruire l’humanité.
La thèse du pacifiste (celui qui a enlevé Emmerich) est que cette humanité est trop bête pour constituer une menace.

Ayant étudié la culture globalisée de cette espèce, il prend le pari qu’un pion, sous ses ordres, réalisant une série de films (media culturel le plus large) mettant en cause
son intelligence
son histoire
les risques de fin du monde
ses rêves d’enfants
son humour
…et rencontrant malgré tout le succès, sauverait les siens, malgré lui.

Avec White House down, le test a été poussé à son paroxysme.
Il est définitivement concluant.

Mais pour notre plus grand malheur, Roland, débarrassé de toute menace, va continuer.
En roue libre.
guyness

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