Critiques de Vaurien

Cinephile-doux
6

Mauvais genre

Quand on demande à Peter Dourountzis, le réalisateur de Vaurien, comment qualifier son premier long-métrage, il parle de "mauvais genre." De fait, le film raconte moins une histoire qu'un personnage,...

le 16 déc. 2020

15 j'aime

Fleming
6

D'un naturel et réalisme impressionnants

C'est un premier film et je l'ai trouvé réussi. J'ai été pris par le sujet, l'histoire, le climat. Pierre Deladonchamp est excellent dans le rôle du psychopathe. Et Ophélie Bau est charmante et...

le 31 oct. 2022

9 j'aime

Ismael24
8

Dans le sillage d'Hanecke

Dérangeant ? Sans aucun doute. Malsain ? Peut-être. Immoral ? Je ne sais pas. Ce qui est certain c’est que le premier film de de Peter Dourountzis frappe fort dans un registre de surcroît assez...

le 11 juin 2021

7 j'aime

thomaspouteau
7

Robin déboires

Vaurien est la contraction de « valoir » et « rien ». Cette révélation, aussi inattendue soit-elle (ne me remerciez pas!), est à la langue française ce que l’empathie est au spectateur de cinéma, à...

le 16 déc. 2020

6 j'aime

Val_Cancun
7

La république en marge

Entre chronique sociale et thriller oppressant, un premier film remarquable, bien qu'un peu frustrant car limité dans ses intentions, et redondant sur le plan narratif."Vaurien" bénéficie de la...

le 1 juin 2022

5 j'aime

Thuguy
1

Eloge de la médiocrité

Je n'attendais rien du film, je suis allé le voir parce qu'il y a Ophélie Bau dedans et que je suis amoureux d'elle. Ce film arrive à compiler tous les pires clichés grossiers progressistes en...

le 17 juin 2021

5 j'aime

4

VioletteVillard1
6

Errances franches

Exploration des marges avec sécheresse, droiture et justesse. Franchise du climat malsain: qualité de l’obscurité et de la non-explication d’une logique des personnages . Saisissement de leurs...

le 9 juin 2021

3 j'aime

Christoblog
7

Original et dérangeant

Vaurien énerve tout d’abord un peu par son apparente décontraction, par la nonchalance affectée de sa narration à trou. Mais passé ce premier mouvement instinctif, il faut reconnaître au film une...

le 24 juin 2021

2 j'aime

Spectateur-Lambda
7

Critique de par Spectateur-Lambda

Peter DOUROUNTZIS signe un premier long métrage d'une maîtrise formelle dingue, et s'offre le luxe grâce à un postulat et un point de vue sur son récit respecté de bout en bout du film, de laisser...

le 31 oct. 2022

1 j'aime

Fatpooper
5

Une gueule d'ange

Un peu mitigé. L'idée n'est pas vilaine mais le récit manque de scènes fortes et le personnage a finalement assez peu l'occasion de montrer son visage, ce qui est regrettable car lorsqu'il le fait,...

le 4 oct. 2021

1 j'aime