Critiques de Uzak

Sergent_Pepper
7

Seul le silence.

Remonter dans la filmographie de Ceylan permet de faire un constat étonnant : aux sources du fleuve de parole qui irrigue Winter Sleep comme Il était une fois en Anatolie siège le silence. Soit...

le 18 mars 2015

34 j'aime

Architrave
4

...

Ohlala. Ohlala mais qu'est-ce qu'on se fait chier. Remettons-nous dans le contexte. Film proposé, voire conseillé, par un professeur en école d'architecture pour appréhender l'atmosphère d'Istanbul...

le 17 déc. 2012

14 j'aime

6

Alexandre_Gauzy
8

Ce silence assourdissant

Quelle coïncidence... Après avoir vu Winter Sleep (qui était mon premier Ceylan) je décide de me trouver Uzak. Par pur hasard, étant donné qu'il ne s'agit pas spécialement de son plus connu. Mais, à...

le 7 août 2014

9 j'aime

4

LeRossignol
8

Critique positive d'un film négatif.

Simple, et bon. Superbe peinture de la solitude, la solitude dans la ville moderne, surtout, avec bien sûr les plans larges et contemplatifs, les focales qui bien souvent coupent les protagonistes du...

le 20 févr. 2012

4 j'aime

Procol-Harum
7

Au loin s'en va le bonheur

Comme son titre l'annonce si bien - Uzak signifiant « lointain », « distant », en turc - tout sera affaire de distance ou d'éloignement dans ce film : distance géographique entre monde urbain et...

le 15 mars 2022

3 j'aime

B-Lyndon
10

Sur la fin d'Uzak

On croit d'abord que le lointain du titre du film n'est nulle part. Nous le cherchons dans ces rituels, dans ces tentatives d'approche, dans ces paysages enneigés, cet ennui existentiel. On regarde...

le 12 août 2018

3 j'aime

monvoisintotoro
7

Le lointain

D'une grande beauté, la narration est maîtrisée de manière quasi parfaite et insufle avec une simplicité filmique déconcertante, dans chaque scène, ce lointain dont il est question. (Uzak veut dire...

le 16 nov. 2014

3 j'aime

Jduvi
8

Nuri, bigre, c'est lent !

Oui, c'est lent. Mais il y a de quoi ravir le cinéphile. Un très beau départ : d'abord ce plan fixe sur un village turc, le soleil mourant (ou naissant ?) délimitant les montagnes au-dessus, d'où...

le 15 avr. 2019

2 j'aime

klauskinski
8

Critique de par klauskinski

Le film se mue rapidement en un affrontement quasi-muet entre les deux protagonistes. Superbement filmé en longs plans-séquences parfaitement composés. Belle leçon sur la manière de transcender une...

le 28 févr. 2011

2 j'aime

4A3C
8

Ce silence qui me plonge dans une douce torpeur

Première incursion dans le cinéma de Bulge Ceylan pour ma part, on suit Mahmut, photographe ayant renoncer à son art pour photographier des carreaux. Un jour son cousin Ysuf arrive car ayant perdu...

Par

le 26 avr. 2021

1 j'aime