En partant de l'ambiance hitchcockienne de "The man who knew too much" (version de 1956), je me suis retrouvée plongée dans les "vacances d'Hercule Poirot". A la façon dont on concevait le film noir il y a de cela ... quelques années, je me suis transportée dans une zone glauque, suintante, sordide où s'entrechoquent le complexe d'Oedipe (en Grèce c'est normal !), le pardon du père précédent sa mort, l'escalade des sentiments destructeurs : envie, haine, escroquerie sur fond d'un amour tellement entaché qu'il est impossible d'en croire ni l'absence ni la présence.
D'incertitudes en évidences, la morale reste sauve, malgré des apparences trompeuses, auxquelles nous le savons bien, il ne faut jamais se fier, surtout dans la famille ;)
Bonne séance :)