When light is shining through all things

Ce texte se veut être une succession de fragments, mis bout à bout, de réflexions et d'émotions que je souhaitais partager (merci à Thekla et à Colorful_S pour m'avoir poussé à publier mon avis en critique).


Je vais commencer par vous raconter mon rapport pour le moins particulier avec ce film. La première fois que j'ai regardé The Tree of Life, je suis resté parfaitement insensible à l'expérience, mystique et éthérée, proposée par Terrence Malick. En un mot, je me suis très clairement ennuyé. De Malick, j'avais pourtant déjà vu Song to Song et La Ligne rouge que j'avais tout deux (beaucoup) aimés pour leur côté hypnotique et leur splendide utilisation de la musique, que l'on retrouve d'ailleurs dans The Tree of Life, mais je devais être sourd pour ne pas m'en rendre compte lors du premier visionnage. Si on m'avait dit qu'il finirait par devenir un des films majeurs de mon existence et que je l'aurais regardé dans une version longue de plus de 3 heures, j'aurais bien rigolé... Qu'est-ce qui fait qu'un même film peut nous laisser indifférent la première fois et nous bouleverser si intensément la deuxième fois ? Qu'est-ce qui a été différent, qu'est-ce qui a changé entre temps ? Etait-ce seulement une question de "moment", de disposition et d'état d'esprit ? La deuxième fois, en effet, The Tree of Life m'a subjugué et ébloui comme très peu de films en ont été capables. J'avais alors écrit que c'était un film traversé de fulgurances, aussi bien visuelles que sonores, l'image n'allant bien souvent pas sans la musique (sans oublier la douce voix off tout en chuchotements), et vice-versa, qui durent parfois le temps d'un plan d'à peine quelques secondes. Au début du film, par exemple, quand Jack adulte (Sean Penn) se remémore son enfance, il lui vient alors des bribes de souvenirs sous forme de flashs. Il y a un plan en particulier qui m'a marqué, celui où ses frères et lui se baignent dans la rivière à la surface de laquelle se réfléchit le soleil déclinant. Ce plan fugace est repris plusieurs fois et surtout plus longtemps au cours du film, comme pour nous montrer que les souvenirs initialement confus finissent avec le temps et l'effort de rappel par s'éclaircir et devenir limpides. La troisième fois, j'ai regardé le film dans sa version étendue et ce sont mes impressions à la suite de ce visionnage que je vais maintenant vous livrer.


J'ai parfois tendance à oublier que The Tree of Life est un film très controversé, suscitant des réactions et des émotions aussi diverses que contraires : l'amour, l'émerveillement, l'enthousiasme, l'indifférence, l'ennui, l'irritation et quelquefois la haine. C'est un film qui peut nous toucher au plus profond de notre être, de notre coeur, et nous bouleverser viscéralement en remuant des choses à l'intérieur de nous, mais il peut aussi s'avérer une expérience cinématographique particulièrement désagréable. Ça a d'ailleurs été le cas pour ma mère et ma soeur qui s'en souviennent comme de la pire séance de leur vie et qui, depuis, voient la Palme d'Or comme une vaste fumisterie récompensant des films "bizarres". Personnellement, je ne peux que saluer le choix audacieux du jury présidé par Robert De Niro qui a sacré le film malgré les divisions dont il faisait déjà l'objet à l'époque et qui témoignaient, justement, de ces émotions contraires. Tandis que certains l'ont sifflé et hué lors de sa projection au festival de Cannes, d'autres l'ont encensé. A nouveau, comment est-ce qu'un même film peut être à ce point appréhendé différemment ? Pour celles et ceux que le voyage aura laissés insensible, il sera facile de qualifier le film de vain et de prétentieux, ou de tourner ses propositions en ridicule ("caricature du style de Malick par lui-même", "bondieuserie", "voix off chuchotante et explicite", etc.). Et c'est tout à fait légitime, même si ça m'en coûte de le dire. Car à mes yeux, The Tree of Life n'est pas moins qu'un des plus beaux films qui soient, et ce troisième visionnage le confirme encore un peu plus.


La mise en scène de Terrence Malick pour The Tree of Life est également une des plus belles que j'ai pu voir. Outre un montage absolument prodigieux, c'est peut-être plus encore sa façon de filmer, tout en légèreté, qui impressionne. La caméra, spécifiquement, est littéralement éthérée. Elle virevolte tandis que l'image reste toujours fluide et lisible. Elle semble même flotter. Les mouvements de caméra sont d'une agilité rarement vue, on a réellement l'impression d'être au plus près des personnages, de leur visage et donc des émotions qu'il laisse transparaître, et de les suivre dans la moindre de leur action, dans le moindre geste.
Pour moi, la première heure touche clairement à la perfection.


C'est un film sur la Beauté, représentée par la lumière que Terrence Malick, Emmanuel Lubezki (le talentueux directeur de la photographie), et l'Homme de façon plus générale, recherchent au point de la capter à chaque occasion et de la sublimer. Elle fait ici l'objet d'une quête perpétuelle, elle est quasi de tous les plans, qu'on la voie frontalement ou qu'on la devine seulement. The Tree of Life est la quête de cette lumière, une lumière divine pour les uns, plutôt spirituelle et sans dimension religieuse pour les autres. Elle est en fait la lumière qui nous anime tous.


L'origine de cette lumière se trouve dans la scène de la création de l'univers et en particulier dans ce plan où le sublime et puissant Lacrimosa se déploie véritablement, fortissimo. C'est comme si, à cet instant précis, il s'était passé quelque chose. Quelque chose de grand. Comme si l'univers avait été "animé", mis en mouvement. Par Dieu ou par un formidable hasard. Qu'importe la raison, ce moment est bouleversant car il montre le commencement, le début de toute chose qui a mené au monde tel qu'on le connaît aujourd'hui et à notre existence.
Quelques larmes ont coulé.



The nuns taught us there are two ways through life - the way of Nature and the way of Grace. You have to choose which one you'll follow. Grace doesn't try to please itself. Accepts being slighted, forgotten, disliked. Accepts insults and injuries. Nature only wants to please itself. Get others to please it, too. Likes to lord it over them. To have its own way. It finds reasons to be unhappy when all the world is shining around it, when love is smiling through all things.



https://youtu.be/oVFvS9vUSNk


Je pense que tout a déjà été dit sur ce film, et sûrement de plus belle façon que je ne saurais le faire, mais je voulais partager mon expérience personnelle, de ma perception du film aux vives émotions qu'il a fait naître en moi.


Avec The Tree of Life, Terrence Malick me semble soulever deux questionnements majeurs.


Le premier concerne les forces contraires qui nous animent, appelées ici les voies de la Grâce et de la Nature. S'il est évident que Jessica Chastain est l'incarnation de la grâce (en plus de l'être le plus doux qui soit) et Brad Pitt celle de la nature, j'ai finalement compris qu'ils ne s'y limitaient pas. Elle n'est pas seulement "grâce" et lui n'est pas uniquement "nature". Les deux forces les traversent l'un et l'autre, nous tous en réalité, mais elles ne pèsent pas la même chose dans la balance. "You have to choose which one you'll follow." A ce propos, la mise en scène nous fait clairement comprendre quelle voie suivent les personnages. Dans le monologue ci-dessus et au moment où la voix off aborde la nature ("Nature only wants to please itself"), on voit d'abord le père (Brad Pitt) de dos, puis la caméra change d'angle, se déplace lentement et on le voit alors de face : "Get others to please it too."


La mère (gracieuse Jessica Chastain) accepte certes le comportement parfois tyrannique de son mari dans une attitude de soumission, mais ça ne veut pas dire pour autant qu'elle n'en souffre pas ou qu'elle n'essaye jamais de se rebeller, de remettre en cause cette domination (voir à cet égard le moment où elle en vient aux mains dans une vaine tentative puisqu'il la maîtrise facilement). Sur le même raisonnement, le personnage du père, nettement plus ambivalent, n'est pas seulement cet homme autoritaire et strict avec ses enfants. Il exerce effectivement un fort ascendant sur sa famille, on le voit d'ailleurs très bien lors des scènes de repas durant lesquelles la tension et le malaise sont palpables. Les couverts raclent l'assiette, le bruit du verre posé sur la table est sourd et tous le regardent, craintifs, de peur qu'il réagisse mal ou qu'il s'emporte. Tandis que la mère est idéalisée dans les souvenirs de Jack, ces derniers entretenant l'image pure et immaculée qu'il se fait d'elle, le père est la bête noire, l'ombre au tableau, celui dont la présence dérange. Mais il aime vraiment sa famille, il fait ce qu'il pense être juste et bon pour elle, mais ça ne veut pas dire non plus qu'il ne se remet jamais en question ni qu'il ne porte aucun regret en lui. D'ailleurs, il n'a pas totalement tort lorsqu'il dit de la mère qu'elle est trop naïve, car notre réalité peut être cruelle et elle fait malheureusement de la gentillesse un signe de faiblesse plutôt qu'une qualité.


La question est légitime. Comment aimer ce père trop dur et aux exigences trop grandes dont les moindres actes et paroles crient de le détester ? La scène du duo père-fils au piano et à la guitare apporte un élément de réponse en montrant qu'il existe des moments où les barrières cèdent et où une proximité émotionnelle est alors possible. Durant cette scène, le spectateur se trouve à la place de Jack qui est témoin de la complicité entre père et fils, les observant à distance et se demandant, j'imagine, comment son petit frère peut éprouver de l'affection pour ce père méprisable qui ment et ordonne aux autres de ne pas faire ce que lui ne se prive pourtant pas de faire. Par son regard et son silence éloquents, Jack semble réprouver et condamner ce moment d'intimité. Mais en réalité, c'est parce que le père a peur, peur de montrer son amour pour ses fils et sa femme, qu'il préfère diriger les marques d'affection plutôt que de les susciter, en s'imposant au lieu de laisser ses garçons venir à lui. Ce n'est pas un hasard si, lorsque le père les prend dans ses bras ou leur met la main sur l'épaule, ils cherchent rapidement à se défaire de son emprise, forcée. Pour revenir à la scène du duo, quand le père entend son fils reprendre à la guitare la mélodie qu'il était en train de jouer, il hésite à continuer ou à l'écouter, et son hésitation est traduite par le mouvement bref, à peine perceptible, de ses mains qui d'abord avancent comme pour rejouer puis qui reculent finalement. C'est vraiment très beau.


Le morceau en question, Les barricades mystérieuses de François Couperin, est d'ailleurs utilisé à trois reprises dans le film. La première lorsque Jack prie Dieu de l'aider à être bon (aidez-moi à respecter mon père, à me satisfaire de tout ce que j'ai, etc.), la deuxième lors du duo et la troisième (une de mes scènes préférées du film) lorsque les enfants apprennent que leur père est parti en voyage d'affaires. Pour moi, il exprime ce sentiment dual d'une enfance qui s'estompe peu à peu. Dual car à la fois euphorique pour la composante liée à l'enfance et mélancolique pour celle liée à la perte, l'innocence et la félicité de cette période de la vie faisant place aux responsabilités et aux contraintes de l'âge "adulte". La troisième reprise du morceau fait ainsi écho à sa première utilisation en rappelant aux trois garçons les joies de l'enfance dans leur plus vif éclat. Ils peuvent courir dans la maison, claquer la porte, crier, être libres de s'amuser et vivre, tout simplement...


Si les deux forces nous traversent bien, il semble dès lors nous appartenir, au moins en grande partie, d'en maîtriser les intensités respectives et ainsi de "choisir sa propre voie". C'est d'ailleurs le propos du père qui dit qu'on est maître de son destin. Pourtant, il y a des choses qu'on ne contrôle pas et contre lesquelles on ne peut rien. Mais si l'Homme peut être naturellement considéré comme égoïste, il est également doué de bienveillance.


https://youtu.be/yDum3gehFg0


Pourquoi le vélociraptor n'a-t-il pas tué et achevé l'autre dinosaure gisant au sol ? Ce qui était pure nature (caractérisée par une violence instinctive) se trouve alors touchée par la grâce, littéralement. Ce moment, par sa durée, la focalisation dont il fait l'objet et par le simple fait d'être une séquence de cette scène du film sur les origines du monde, est présenté comme quelque chose d'important. Il apparaît en effet comme une première marque de compassion dans la nature, voire même d'empathie en élargissant à l'Homme.


Le deuxième questionnement est plutôt relatif à Dieu, à sa place dans le grand tout, et peut-être plus encore à son silence face aux malheurs de la vie. Jack l'accuse d'ailleurs d'avoir laissé un petit garçon mourir. Pourquoi être bon si Lui ne l'est pas ? Où était-il lorsque le petit garçon est mort noyé et lorsque le cadet de la fratrie est mort à 19 ans ? Un deuil aussi douloureux que celui-ci amène nécessairement des questions. Et c'est en ce sens que le montage du film est absolument brillant. Malick établit toute une connexion entre l'Homme et la nature qui se répondent ainsi mutuellement, ou plutôt, le premier cherchant des réponses à ses questions existentielles dans la deuxième. Avec par exemple cette image récurrente d'algues mises en mouvement par le courant et selon son gré, l'Homme apparaît semblable à ces algues, mû par des forces (celles de la vie et de la mort) qui le dépassent. La création de l'univers fait d'ailleurs suite, dans le film, aux questions "Pourquoi ?" et "Où étais-tu ?" L'Homme cherche des réponses, des signes d'une présence et d'un sens à ce qui lui arrive. Cela peut être la lumière du soleil qui perce à travers les branches d'un arbre, la pluie ruisselant sur les feuilles et poursuivant son chemin sur le sol, l'eau calme d'une rivière troublée par des enfants qui jouent dedans... Car après tout, si Dieu est là, s'Il est tout autour de nous, dans le plus mince rayon de lumière, dans la plus fine goutte d'eau, dans la plus douce brise printanière, la possibilité de retrouvailles dans un autre monde (le paradis) est dès lors une certitude pour les croyants qui voient dans tous ces éléments le signe de la présence de Dieu. De son omniprésence et de son omnipotence. Ils se retrouveront. Jack retrouvera son frère, la mère retrouvera son fils, la famille sera à nouveau réunie au complet. La dernière partie, fantasmée, du film semble être ainsi l'expression de l'apaisement de son réalisateur.


Si The Tree of Life a l'air aussi vrai et authentique dans le portrait évanescent qu'il fait de cette famille (les premiers pas de Jack dans le jardin, les histoires avant de s'endormir le soir, etc.), s'il est aussi émouvant, c'est peut-être parce Terrence Malick raconte et nous livre ses propres souvenirs, son vécu personnel. Comme Jack, il a deux petits frères et comme Jack, un de ses frères (qui s'appelait Larry) est mort à l'aube de sa vie. Il se serait apparemment suicidé. Rien n'est dit à ce sujet dans le film mais on peut tout à fait imaginer qu'il en va de même pour le frère de Jack, rendant le deuil, auquel s'ajoute nécessairement un fort sentiment de culpabilité, peut-être encore plus difficile. The Tree of Life peut dès lors être vu comme un film "catharsis" tant il semble être le fruit des réflexions du réalisateur, de ses nombreuses questions et de ses quelques réponses, de ses doutes et de ses certitudes réaffirmées.


De façon plus terre-à-terre, je serais incapable de dire si j'ai préféré la version longue à celle d'origine et voulue, je crois, par Malick. Il y a de très bons ajouts dans cette version, d'autres moins pertinents même si je ne les ai jamais trouvés inutiles car ils apportent tous quelque chose à l'édifice. La plupart des scènes supplémentaires sont concentrées dans la partie sur l'enfance de Jack et de ses frères. La partie sur sa vie adulte est également enrichie, ce qui renforce ce sentiment d'errance et de perte dans un monde auquel il ne semble pas appartenir (et qui préfigure Knight of Cups). De la même façon que quelques plans du lieu de travail du père (une usine) suffisent à exprimer l'aliénation qu'il exerce sur lui, le quartier et l'immeuble modernes où travaille Jack semblent désincarnés et ne pas répondre pleinement à ses aspirations profondes. L'opposition avec la nature comme lieu de ressourcement apparaît claire.


Je ne cache pas sinon avoir pensé que certaines scènes s'étiraient parfois un peu en longueur durant la partie sur l'enfance comparativement à mon dernier visionnage du film, même si les 3 heures ne se sont que très peu faites sentir. Mais la cohérence de l'ensemble en sort grandie, consolidée par les ajouts de la version longue, et elle justifie la présence de toutes ces scènes dans le film. On a presque l'impression de passer d'une histoire à une véritable fresque familiale, car longue et plus "habillée", sur la vie d'une famille et plus particulièrement sur l'enfance. Ce sont quelques scènes ici et là qui permettent de mieux comprendre les personnages, comme celle de la tempête que je trouve magnifique et pour le coup très pertinente. Agissant comme un rappel nécessaire, cette scène montre que la nature est violente et que cette violence, lorsqu'elle ne peut plus être contenue (j'emploie volontairement des termes qu'on pourrait utiliser pour parler d'une émotion comme la colère), se déchaîne, par exemple lors des catastrophes naturelles pour prendre le cas extrême. Jack, qui avoue tenir plus de son père (la nature) que de sa mère (la grâce), est témoin de cette tempête et il tire quelque chose de cette soudaine démonstration de violence en donnant libre cours à la frustration et à la colère, notamment, qui bouillonnent en lui et qui peuvent d'autant mieux s'exprimer que le père est alors absent. Le parallèle entre l'Homme et la nature que je mentionnais plus haut est ainsi évident dans cette scène qui aurait parfaitement eu, à mes yeux, sa place dans la première version du film.


Pourtant, et je trouve ça incroyable, malgré les 50 minutes supplémentaires et le temps qui peut sembler un peu long à de rares moments (je me répète mais c'est important), je n'ai jamais eu autant de mal à quitter le film et ses personnages que lors de ce troisième visionnage. Je redoutais la fin, encore plus lorsque je savais qu'elle était proche (à partir du déménagement). Je ne voulais pas que ça se termine, je voulais prolonger encore un petit peu l'expérience, rien qu'un peu, rien que quelques minutes... Puis viennent le générique et les premières notes de musique que je sens vibrer et résonner en moi avec une étonnante clarté, presque cristalline. Je suis apaisé, je sens un bien-être en moi, au moment et à la place où je suis, immobile et regardant défiler les noms du générique sans y prêter tellement d'attention, trop submergé par l'émotion et mon esprit étant encore ébloui par ce que je venais alors de voir, d'éprouver et de vivre.


The Tree of Life est un film d'une beauté absolument terrassante qui confine au sublime, et c'est tellement précieux que je tenais à partager mon amour pour ce film.

Edelwice
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le 28 mai 2019

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