Ça me va bien les concepts action débridé des dernières années, entres Tyler Rake et John Wick, ce sont d'excellents substituts aux Marvel pour les soirées végétation pizza du vendredi soir.
Gray Man est tout en pédance numérique façon Netflix, de l'action illisible par ordinateur, mais avec l'habitude c'est plus un problème, le film s'en sort car le personnage joué par Gosling ferme sa gueule, encaisse les coups sans broncher, est un peu drôle (merci Nice Guys), et que l'acteur en question semble tout à fait confortable là-dedans.
En deux fois 60 minutes, j'ai pas vu le temps passer.