Suite directe du Garde du corps, Sanjuro reprend le principe fort sympathique de la dynamique de l’opus précédent ; soit le samouraï vagabond, Mifune plus ours que jamais, déboulant au milieu d’un coup d’état au sein d’un clan. A la noirceur grotesque succède désormais un humour plus affirmé : si Sanjuro se distingue, c’est moins par son appât du gain que par ses manières qui tranchent singulièrement avec le... Lire la critique de Sanjuro