Roads ? Where we're going, we don't need roads... Ou pas hein !

C'est sur ces paroles que se termine le premier opus de la trilogie et j'ai encore ce souvenir dans ma tête du moment ou la Delorean s'envole, ce moment si jouissif où la seule chose que t'aie envie c'est de voir le deuxième. A l'époque, rien à dire, c'est kiffant, les voitures volent, les fringues s'ajustent automatiquement, les skateboard deviennent des overboard... A l'époque aucun souçis, on se laissait aisément berner.

Nous sommes en 2011, 2015 approche et pour le moment, je n'ai rien vu voler d'autre que des avions, des oiseaux et des chauves souris. Le film perd donc aujourd'hui en crédibilité mais est très bien rattrapé par un scénario qui depuis le premier ne flanche pas et explore de nouveaux horizons. La trouvaille qui m'a le plus marqué est certainement cet instant où le Doc explique à Marty dans le passé parallèle que si il retourne dans le futur à partir de ce moment là, il retournera dans le futur de ce passé parallèle et non pas dans le futur du présent normal...

C'est tiré par les cheveux mais c'est tellement bon de se laisser embarquer et d'y croire...

Et évidemment le kiffe ultime, comme si les 3 films auraient pu être regroupés en 1 seul film de 6 heures, cette scène où Marty débarque en courant comme un dératé devant un Doc qui vient de réussir la prouesse de ramener ce même Marty dans le futur...

Excellent ! Juste excellent, une synchronisation de dingue ! J'adhère :)